Nous préparons la
VERSION 3
WSA FOREVER ♥️
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
» potins : 320
» double compte : nope

» emploi/étude : 12th
» numéro de maison : 19

Can you keep a secret ?
greatest fear ?:
what Bee's thinking.:
Brooklyn V. Wills
OMG! Brooklyn V. Wills is gorgeous!

MessageSujet: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitimeSam 7 Jan 2012 - 10:00

JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple 1140595348

    J’étais rentrée il y a quelque jour de mon voyage en Europe, entre le décalage horaire, la rentrée que je devais faire, l’équipe de pom pom girl à diriger, les amis qui voulais me voir obligatoirement à la fin des cours sans oublier la disparition de Brittany. Tout ça me prenait un temps fou. Je courrais sans arrêt à droite et à gauche. Je peux vous dire que cela me fatiguer et que le soir je dormais comme un bébé. Enfaite j’en pouvais de passer en coup de vent chez l’un puis chez l’une parce que je leur manquer trop, qu’elle voulait me montrer leur souvenir de vacances, me parler de Brittany, et ne pas me laisser seule de peur que je déprime suite à sa disparition. On dirait que les gens on oublier comment elle était. C’est vrai tout d’un coup tout le monde est gentil envers elle. Mais pas moi, je savais comment elle était et ce qu’elle aimait faire. Pourtant elle me manque beaucoup c’est tant ci. Même si chez moi on me comprend, on est avec moi, ils ne l’ont pas connu et ne le vivent pas comme moi. Enfaite il y a que notre petit groupe qui pouvais comprendre parce qu’on la connaissait vraiment plus que les autres. Les cours une fois fini je rentrai chez moi avec pour une fois rien à faire et là je me rendis compte que je n’avais pas encore vu mon petit Jules. Et oui avec moi il était le gentil Jules. Enfaite j’ai jamais compris pourquoi il était gentils avec moi, certes on se voyait souvent grâce à Bee, mais il n’était pas comme ça avec tout le monde. Bon je ne vais pas m’en plaindre parce je l’adore et je ne saurais pas ce que je ferais sans lui. Il a toujours était là pour moi quand j’en avais besoin, il m’a soutenu suite à la disparition de Bee. Quand on est en soirée il est près de moi s’il voit qu’il y en a un qui me colle trop ou qui m’embête. Enfin bref Jules est le grand frère que j’ai toujours voulu avoir. Et oui Jules me manquait on avait passé tout l’été séparer et on ne s’était toujours pas revu. Le hasard faisait bien les choses je n’avais rien à faire et chez moi tout le monde était partit. Maintenant il fallait plus qu’espérer qu’il n’avait rien prévu lui aussi. De toute façon j’avais toujours ma méthode pour le faire venir à moi et ça sans qu’on couche ensemble, incroyable n’est pas ?! Je prit mon portable pour lui envoyer un message :
    Citation :
    Mon ptit amour faut que je te vois retrouve moi toute suite chez moi !!!
    Bon d’accord je reconnais que ce n’est pas loyale car on pourrait penser qu’il m’arrive quelque choses d’urgent et que non enfaite. Mais le connaissant s’il est avec une fille, sa peut durait des heures et des heures alors le côté urgent est nécessaire. Et puis je ne l’avais pas vu depuis tellement longtemps qu’on ne s’est pas vu que cela devient urgent de se retrouver. En attendant qu’il arrive je cherchais dans les placards les listes des traiteurs et du la pizzéria pour ce faire une petite soirée tranquille

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
» potins : 450
» double compte : Hazel B. Monroe

» emploi/étude : Lycéen / barman
» numéro de maison : N°6 - T'as qu'à entrer, c'est toujours ouvert.
Jules H. McDowell
OMG! Jules H. McDowell is gorgeous!

dragueur professionnel pour lycéennes
MessageSujet: Re: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitimeSam 7 Jan 2012 - 17:51

JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Tumblr_l83ut0tIwt1qcqg9so1_500


Le temps été maussade en ce jour de janvier. Les oiseaux avaient cessé de chanter, le soleil avait laissé sa place aux nuages gris, noirs. Et ça me mettait le moral à zéro. Cela faisait déjà quelques jours que je n'étais pas sorti de chez moi, du moins que je n'avais pas fais la fête avec d'autres gars, comme j'avais l'habitude de faire. Bien sur j'étais allé au lycée, mais ils m'avaient tous casser les noix. Puis j'avais vu Hell, qui était toujours aussi heureuse de me voir... Puis Liz, qui commençait à me les briser sévère. Visiblement pas beaucoup de monde ne m'aimait - du moins les filles que je cotoyais ne me témoignaient pas vraiment tout leur amour. Par chance j'avais Mike, mon meilleur ami, qui avait passé la semaine chez moi. Nous avions passé nos nuits à regarder des films de cul avec un pack de bière, ce que font les ados mâles en mal d'amour. Que voulez-vous ? On en peut pas changer ce que nous sommes. Les filles adorent les films d'amour, nous on adore les films où ils font l'amour, c'est presque pareil dans un sens.

Puis au lycée, cette semaine je n'avais pas eu grand chose à faire. Car la petite demoiselle qui m'occupait habituellement mes journées, été en voyage, Brooklyn, la seule avec qui j'étais gentil - pour ainsi dire - du moins la seule qui ne subissait pas mes railleries, et la seule que je n'avais pas envie de mettre dans mon lit. Non pas parce qu'elle était moche ou quoi, non, juste parce qu'elle n'était que ma protégée. J'étais pour elle une sorte de grand frère méga protecteur et lorsque nous étions ensemble, je n'arrivais pas à me détacher d'elle, de peur qu'il lui arrive une couille -même un truc tout con. Fallait dire aussi qu'elle était d'une gentillesse rare et même d'une naïveté extraordinaire. Enfin. Tout ça pour dire, surement, qu'elle me manquait beaucoup. J'avais même hésité à venir avec elle pour son voyage, mais je m'étais vite calmé "Hé Ho l'ami, t'es juste un pote, t'es pas son père, ni son frère et encore moins son copain, reste à ta place garçon." voilà ce que je m'étais dis, après tout il ne fallait pas que je pousse le bouchon un peu trop loin.

Encore une journée qui passait lentement, mais surement, comme on dit. Mike était parti ce matin parce qu'il avait à faire avec sa famille. Peu importe, nous n'allions pas non plus passer notre vie ensemble. J'en avais donc profité pour appeler la femme de ménage -non il ne fallait pas croire que je passais ma vie à faire du rangement et autres trucs qui me pompaient l'air. Mes parents avaient engagé Lyndy depuis bien plus de deux ans, nous nous parlions de temps en temps, et elle m'avait dis de l'appeler lorsqu'elle pouvait passer plus tôt, histoire de se libérer plus rapidement, ou d'avoir des jours, un truc comme ça. Lyndy était passée ce matin, avait tout rangé en un temps record et je ne vous raconte pas avec quelle rapidité elle avait tout lavé. La maison sentait enfin bon.
Puis j'étais sorti manger un bout au grill de la ville. J'étais rentré, m'étais lavé puis habillé pour ce soir -je travaillais au bar. Et alors que je me parfumais, j'avais reçu un message de ma Brooky, me disant de vite venir la voir, de me dépêcher. J'avais appris à reconnaitre les sms qui disaient : "Je suis en danger" ou " ça va pas là." de ceux qui me disaient : "Je me sens seule" ou même "j'ai envie de te voir". Et là c'était le deuxième type.

Moins de dix minutes plus tard j'étais devant sa porte, adossant au chambranle de la porte tout en toquant contre. "Brooky tu viens m'ouvrir stoplait. J'pensais que c'était urgent moi ..." Lui dis-je un peu taquin.
Revenir en haut Aller en bas
» potins : 320
» double compte : nope

» emploi/étude : 12th
» numéro de maison : 19

Can you keep a secret ?
greatest fear ?:
what Bee's thinking.:
Brooklyn V. Wills
OMG! Brooklyn V. Wills is gorgeous!

MessageSujet: Re: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitimeMar 10 Jan 2012 - 17:13

JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple 1140595348

    Entre Jules et moi c’est une histoire qui durait et qui n’était pas comme tous les autres. Enfaite il n’y avait jamais eu d’ambiguïté et il n’y en aurait jamais. Je le connaissais depuis que j’étais toute petite et même après qu’il est commencé à prendre sa réputation de Don Juan et de coucher avec toute les filles –enfin pas sauf moi- il était resté le même. On pouvait passer une soirée ensemble ce n’était pas rare qu’on finisse par s’endormir ensemble et à passer la nuit dans le même lit. Pourtant il n’y avait aucune gêne entre nous c’était comme mon grand frère. Tout le monde s’étonner dans les premier temps de le voir comment il était avec et me demander si je le tenais par le chantage ou s’il n’était pas amoureux de moi en secret. Personne ne comprenais mais pour nous c’était comme ça et cela ne seras autrement. Au bout te temps d’années passer ensemble, j’avais appris à connaître Jules par cœur tout comme lui avec moi. On lisait entre les lignes sans aucun problème c’est pour ça que je ne m’inquiété pas de ne pas avoir eu des nouvelles de Jules. Il était surement au boulot ou en route. Je l’avoue j’avais oublié qu’il travailler le soir comme barman, de toute façon je trouverais bien un moment de le voir. J’étais monté dans ma salle de bain et prête à me prendre un bon bain pour me reposer quand j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Ma première réaction fut de ne pas aller ouvrir, que s’il voulait quelque chose il repasserait et que ce n’était surement pas pour moi sinon ils m’auraient avertis par message. Puis j’entendis une voix que je reconnaitrais entre mille "Brooky tu viens m'ouvrir stoplait. J'pensais que c'était urgent moi ..." A peine entendu ses mots que déjà je dévaler l’escalier et ouvrit la porte et serra mon ptit jules dans mes bras. On ne peut pas dire que j’étais du genre à faire les choses à moitié. Ah ce qu’il m’avait manqué, le revoir me fit un bien fut. Je pouvais enfin sentir son odeur et sentir sa force quand il me prenait dans ses bras. Passez 2 mois sans lui avait était trop long. Au fond de moi quand je lui avait parler de ce voyage que j’allais faire, j’avais espérée qu’il vienne avec moi pour me surveiller et pour ne pas me sentir seule. Je lui en voulais pas du tout j’étais juste sa « brooky » sans plus, il ne devait pas passer ses vacance à côté à cause de moi. Quelque seconde plus tard je le lançai pour le regarder, il était toujours aussi beau et il le savait. « Salut beau gosse ! Alors t’en a mis du temps avant de venir me voir, tu m’as oublié ou quoi ? » Lui dis-je d’une petite moue boudeuse qui était bien sur ironique. A peine la porte refermer je me dirigeai vers le salon pour m’assoir en compagnie de mon cher Jules. Je le regardais tellement contente de le revoir. C’est pour ça que j’espérais pouvoir passer toute la soirée avec lui pour le retrouver et commencé à rattraper le temps qu’on avait perdu. Après il me devait bien ça, je l’avait pas vu depuis des mois il devait me raconter plein de chose, ce qui s’était passer pendant mon absence, comment aller sa relation avec Hell, comment elle allait elle, ce qu’il avait fait de beau…. Bref on en avait pour la soirée et surement la nuit aussi. « J’espère que t’a rien prévu pour ce soir parce que tu passes la soirée ici. Et puis de toute façon tu n’a pas le choix je te kidnappe jusqu’à demain matin. C’est ta punition de ne pas avoir sauté dans ta voiture pour venir me voir dès que j’étais rentrée. Et oui ce soir tu vas prendre cher mon juju» annonçai-je avec un sourire en sournois tout en me frottant les mains. Ah la soirée qui aller suivre n’allais pas être triste c’est moi qui vous le dit. Cela aller me faire du bien, décompresser un peu de tous ses regards de pitié pour la pauvre fille dont sa meilleure amie à disparut. D’accord c’est triste, tragique et tout mais bon à un moment faux arrêter de regarder bizarre et ce bouger pour la retrouver. Pour l’instant je voulais m’amuser et c’est tout, c’est pour ça que Jules était l’homme de la situation.
Revenir en haut Aller en bas
» potins : 450
» double compte : Hazel B. Monroe

» emploi/étude : Lycéen / barman
» numéro de maison : N°6 - T'as qu'à entrer, c'est toujours ouvert.
Jules H. McDowell
OMG! Jules H. McDowell is gorgeous!

dragueur professionnel pour lycéennes
MessageSujet: Re: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitimeMar 10 Jan 2012 - 22:31

JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Tumblr_l83ut0tIwt1qcqg9so1_500


La porte s’ouvrait à peine, que Brooklyn se jetait dans mes bras. Que pouvais-je bien faire d’autre que de la serrer contre moi ? Je fis alors comme elle, j’enfouis mon visage dans ses cheveux et serrais son petit corps frêle contre mon torse. Je la retrouvais enfin, cette petite merdeuse m’avait grandement manqué tout de même, il fallait bien l’avouer. « Salut merdeuse. Hé mais je vois que je dérange madame. Fallait m’le dire si t’avais envie d’un bon bain. Soit je repasse plus tard, soit je t’attends pendant que tu prends ton bain, soit on le prend tous les deux, ça ne me dérangerais pas-tu sais. » Je ne pus m’empêcher de rire au regard qu’elle me lança. Bien sur elle savait que je rigolais, jamais nous n’entretiendrons une relation comme celle que j’avais avec Hell. Notre mot d’ordre était : relation fraternelle. Elle était ma petite sœur et point finale. « J’aime bien te faire des petites blagues. Et là tu es entrain de te demander comme j’ai fais pour savoir que tu allais prendre un bon bain chaud … je suis médium chérie, ne l’oublie jamais … allez, j’arrête mes conneries, je le sais parce que je te connais et surtout parce que tu as laissé la lumière de la salle de bain allumée. Je ferais bon détective, t’en penses quoi ? » J’avançais alors d’un pas, et la poussais délicatement avant d’aller poser mon sac de sport sur la seconde marche des escaliers. J’avais pris l’habitude, lorsque je venais chez Brooklyn, de prendre un sac emplit d’affaires de rechanges et de choses quoi seraient susceptible de nous servir durant la soirée. Je savais pertinemment que j’allais passer la nuit chez elle, je qui ne me dérangeait en rien. Nous avions du temps à rattraper. Brooky me passa devant, et se dirigea dans le salon, d’une démarche qui en aurait fait pâlir plus d’une. Elle alla s’asseoir sur le sofa - où j’avais l’habitude de dormir lorsque nos petites soirées étaient un peu arrosées. Puis tapota la place qui se trouvait à côté d’elle. Je ne me fis pas prier vingt fois avant d’aller me poser à mon tour. « J’espère que t’a rien prévu pour ce soir parce que tu passes la soirée ici. Et puis de toute façon tu n’a pas le choix je te kidnappe jusqu’à demain matin. C’est ta punition de ne pas avoir sauté dans ta voiture pour venir me voir dès que j’étais rentrée. Et oui ce soir tu vas prendre cher mon juju. » Qu’est-ce que je disais. J’aurais pu parier une demi million de dollars sur le fait que j’allais passer la nuit ici. Déjà j’avais sauté dans la voiture dès que j’avais eu son appel et de deux j’étais impatient de savoir ce qu’elle allait me faire quand elle disait que j’allais « prendre cher ». Je savais en tout cas que ce n’était pas dans le même sens que moi. C’était une phrase que j’envoyais souvent à Hell, si vous voyez ce que je veux dire. « Tu me donnes deux minutes. » Je sortis mon portable de ma poche et composais le numéro du bar où j’étais censé travailler ce soir, quelqu’un décrocha : « Salut mec, ouais, j’vais pas pouvoir venir bosser ce soir, tu m’remplace ? … Haha, non c’est pas Hell ce soir. Ouais t’en fais pas, j’te revaudrais ça. T’es super Ryan. A d’main soir. » Je raccrochais et balançais mon portable sur la table basse. Et voilà j’avais la soirée de libre pour la demoiselle. Je devais bosser ce soir, mais comme je faisais souvent des heures sup’ le patron ne disait rien lorsque j’échangeais avec les collègues, il était plus cool là-dessus, et c’était plutôt pas mal, mais je n’en abusais pas non plus, j’aimais bien aller bosser, surtout en tant que barman. « Je suis donc tout à toi. Et qu’entends-tu par « tu vas prendre cher? » Non parce que bon … » Je lui servis mon plus beau sourire avant d’enchainer : « Bon et toi alors, ce voyage ? T’as fait des rencontres ? Tu t’es protégée au moins ?! » J’avoue que j’aurais pu m’abstenir pour la dernière question, je n’étais pas son père, et je parie que même sa mère ne lui posait pas de telles questions. Mais après tout, j’étais en quelque sorte son frère, et j’étais chargé de sa protection, je ne voulais pas qu’il lui arrive quoi que ce soit.

En attendant sa réponse, je me levais et me dirigeais dans la cuisine, prenant au passage une bouteille d’alcool dans mon sac. J’ouvris le placard où était entreposaient les tabliers et torchons, me munis d’un de chaque avant d’ouvrir le frigo, à la recherche de quelques ingrédients. « Au fait Brooky, ce soir c’est moi qui régale. » criais-je à travers la maison attendant qu’elle vienne me rejoindre. J’avais décidé de lui préparer un bon petit plat, car en dépit des apparences je me débrouillais bien niveau cuisine, avant d’être barman, j’avais été apprenti cuisinier dans un grill, rien de bien extraordinaire, mais ça m’avait permis d’être au dessus des garçons moyens de mon âge, qui ne savaient même pas faire cuir des pâtes. « t'as envie d'quoi ? »

Revenir en haut Aller en bas
» potins : 320
» double compte : nope

» emploi/étude : 12th
» numéro de maison : 19

Can you keep a secret ?
greatest fear ?:
what Bee's thinking.:
Brooklyn V. Wills
OMG! Brooklyn V. Wills is gorgeous!

MessageSujet: Re: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitimeMer 11 Jan 2012 - 21:15

JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple 1140595348

    « Salut merdeuse. Hé mais je vois que je dérange madame. Fallait m’le dire si t’avais envie d’un bon bain. Soit je repasse plus tard, soit je t’attends pendant que tu prends ton bain, soit on le prend tous les deux, ça ne me dérangerais pas-tu sais. »Quand je l’entendis m’appeler par mon surnom pour lui cela me fit plaisir parce qu’il était vraiment là pour moi et totalement avec moi et pas à penser à quelqu’un d’autre. Ah ce dire bon après je dois faire ça, ça et ça… Ca n’est jamais arrivé mais j’avais quand même une appréhension vu que j’étais partie 3 mois. Il aurait pu ne plus être le même. En revenant j’avais peur de ce que je risquais de trouver, les gens changent tellement vite. Comme Liz elle est totalement différente et cela me faisait peur si Jules n’était pas le même. Je l’avoue ce surnom ne me plait pas trop je sais très bien que c’est gentil venant de lui. Enfaite il n’y a que lui que j’autorise à appeler comme ça sinon les autres perdre la vie ou du moins un membre. Et tout ça sans que je me salisse les mains comme on dit, une autre personne le fera pour moi : Jules. Je regardais Jules étonner de me dire ça je l’avais pas prévue que j’allais prendre un bain avant qu’il arrive vu que je ne savais pas quand il allait passer me voir. J’étais habillé, on n’entendait pas l’eau couler. « Oui justement tu dérange un peu enfaite j’avais prévue de prendre le bain avec un autre homme que toi. Je t’aurais bien invité mais la baignoire ne peut contenir que 2 personnes. Je suis confuse que tu l’apprennes j’étais mon secret depuis tellement longtemps comme quoi rien ne reste secret. » Je le regardais amusé, je le connaissais que trop bien pour savoir que c’était pour rire tout comme moi. Lui et moi ce n’était même pas envisageable de coucher ensemble même si on était tous les deux mort à une soirée. Il n’y aurait jamais d’erreur comme ça. Et c’est tant mieux, ce genre de bêtise ça change une relation comme la nôtre pour la rendre coincée et même si ça l’ai pas la relation change. Et ça je ne le souhaite pas, je ne le supporterais pas même. « J’aime bien te faire des petites blagues. Et là tu es entrain de te demander comme j’ai fais pour savoir que tu allais prendre un bon bain chaud … je suis médium chérie, ne l’oublie jamais … allez, j’arrête mes conneries, je le sais parce que je te connais et surtout parce que tu as laissé la lumière de la salle de bain allumée. Je ferais bon détective, t’en penses quoi ? » Ah enfin il répond à ma question que je n’ai pas poser. Comme je le disais on n’a pas besoin de parler pour ce comprendre, on se connaissait trop bien. Un jour on devrait essayer qu’une seule personne parle pour voir ce que cela donne. Ca doit être comique je pense. En tout cas tout s’explique c’est la lumière que m’a trahit. « Alors tu sauras que dans la salle de bain on y fait plein de truc et pas que prendre des bain, alors qui te dit que je faisais pas autre chose ? Tu peux t’améliorer je pense comme détective, mais te prends pas trop pour Véronica Mars tu n’as le profil, un mec comme toi ça se remarque Ill quo presto » lui dis-je en rigolant. Il savait très bien que ce n’était pas possible et que de toute façon il n’avait pas le temps pour ça. Il était trop occuper avec les filles avec qui il entrainait une relation dirons-nous, son job de barman, le lycée et moi. Il n’avait déjà le temps de faire tout dans la même journée alors si on en plus on lui rajouter le job de détective, je n’ose même pas imaginer ce que cela donne. Il ne survivrait pas à une semaine, ou alors il devrait faire des choix et abandonner quelque chose une chose sur cela n’aller pas être moi. Je le laisse dans la maison dans lequel il déposa le sac qu’il avait toujours avec lui sachant qu’il passerait là nuit ici. Si on devait rattraper tout le temps que nous avons en retard il passerait plusieurs jours même mais ça ce n’est pas possible, alors je me qu’on tant d’une soirée. Comme je m’en douter il avait quelque chose à faire, pour lui laisser un peu d’intimité le temps qu’il était au téléphone je remonter dans la salle de bain pour éteindre la traître. En revenant j’entendit qu’il parler à son patron, donc il devais travailler mais il annula sa soirée pour moi, comme d’habitude quand on passer la soirée ensemble et je pense que ce n’était pas qu’avec moi. Le connaissant au boulot je savais qu’il était contentieux et qu’il aimait son boulot. Sans oublier que quand il était là-bas tout le lycée ce déplacé dans le bar pour aller le voir et on consommer beaucoup ça compenser les soirs où il échanger ses soirs. Lorsqu’il évoqua ce qu’il allait prendre, je ne pus m’empêcher d’avoir un sourire mesquin en pensant à ce que j’avais prévu pour lui. Bien sûr tout ça était en tout bien tout honneur. « Ah ah tu sauras dans la soirée, si je te le dit ça ne seras pas une surprise. » Et oui j’ai ressorti la phrase que tout le monde dit et qu’on trouve stupide mais on ne peut pas s’en empêcher. Il fallait bien que je le punisse de ne pas être venue me voir dès que je suis rentrée sinon il recommencera. Il faut lui faire passer l’envie de recommencer c’est comme ça que ça marche. Si on fait une bêtise on puni c’est de tout temps comme ça. Avec le sourire qu’il me lançais j’avais du mal à ne pas craquer. Quoi j’ai jamais dû que je n’étais pas sous le charme de Jules, il était beau gosse je l’avoue. Mais contrairement aux autres filles moi ce sourire je le voyait depuis longtemps il ne me faisait pratiquement plus rien. Sur ceux il engendra sur Paris. Ah Paris c’était tellement bien. Je n’avais pas envie de rentrer tant que je m’amuser et que j’avais des choses à faire et à refaire. Mais maintenant que j’étais là je reconnais qu’être à la maison ça fait du bien et de surtout que mes amis m’avaient manqué. La seconde question de Jules m’a un peu surpris c’est vrai que j’étais à l’autre bout du monde mais je n’avais pas changé et les règles non plus. Après il se soucier de moi je l’avoue mais je ne comprenais pas pourquoi il me demandait ça j’étais sérieuse sur ça. Je savais ce que cela entrainerais si je le faisais pas. « Oh c’était génial tu aurais dû voir ça, c’est comme on ce l’imagine, bon les gens ne sont pas très courtois quand on les dérange mais sinon c’est génial. D’ailleurs je t’ai pas dit je suis tombé amoureuse et j’ai perdu mon côté raisonnable, mais vraiment je ne sais pas ce qu’il ma prit. Enfaite Paris m’a totalement changer. Je ne sais pas comment te le dire… » Je laisser passer un blanc et je n’oser pas le regarder de peur de voir ça réaction. Pourtant je savais qu’il fallait que je lui dise mais c’était trop dur de lui avouer ce qu’il c’était passer et ce qu’on avait fait. J’inspirai un grand coup et me lança d’un coup « on sait marier. Je reconnais on sait précipiter mais quand c’est l’homme de sa vie, ça n’a pas d’importance. Et je suis enceinte aussi mais on le garde c’est l’union de notre amour tu comprends je pouvais plus te le cacher ça faisait trop mal »J’avais débité cette phrase très vite pour que cela passe plus vite et je baisser la tête pour ne pas voir ça réaction. Bien sûr cela était faux mais j’avais tellement préparé cette phrase qu’on avait l’impression que c’était vrai. Un moment j’osai regarder vers Jules et je vis à son visage qu’il me croyait.
    Je le regardais aller à la cuisine en me doutant qu’il ferais à manger ce soir. C’était vraiment la cerise sur le gâteau de cette soirée. Je savais que Jules cuisinait très bien, et j’adorais ses petits plats qu’il me faisait. J’arrivai dans la cuisine pour l’aider à faire à manger, je regardais à travers le frigo ce qu’il y avait. Jules était plus douer que moi pour ça alors je le laisser faire quand je vis quelque chose qui attira mon attention. La bombe de chantilly. Je la pris et en mit un peu mon doigt pour en manger. Puis j’asperger Jules de chantilly. « Pourquoi de la chantilly ! » dis-je en rigolant. D’accord c’est vrai on fait ce genre de chose quand on est enfant mais je reconnais que c’est toujours aussi marrant.
Revenir en haut Aller en bas
» potins : 450
» double compte : Hazel B. Monroe

» emploi/étude : Lycéen / barman
» numéro de maison : N°6 - T'as qu'à entrer, c'est toujours ouvert.
Jules H. McDowell
OMG! Jules H. McDowell is gorgeous!

dragueur professionnel pour lycéennes
MessageSujet: Re: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitimeMar 21 Fév 2012 - 22:16

JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Tumblr_l83ut0tIwt1qcqg9so1_500


« on sait marier. Je reconnais on sait précipiter mais quand c’est l’homme de sa vie, ça n’a pas d’importance. Et je suis enceinte aussi mais on le garde c’est l’union de notre amour tu comprends je pouvais plus te le cacher ça faisait trop mal » QUOI ? Je faillis m’étouffer avec ma propre salive. Bien heureusement j’avais appris à garder mon self control. Alléluia ! Je fis mine de la croire. Et me lever pour aller dans la cuisine. Je devais réfléchir. Brooklyn, MA Brooky ne pouvait pas être enceinte, pas si jeune, pas maintenant, pas avec un mec qu’elle connaissait à peine. Et mariée en plus de ça ? Non je ne pouvais pas laisser ça comme ça. Elle me suivit alors dans la cuisine. « t'as envie d'quoi ? » Brooklyn ouvrit le frigo et une odeur de tomates fraiches envahit la cuisine. Alors que je me munissais d’une poêle et de la bouteille d’huile, ma petite protégée eut la merveilleuse idée de se munir, non pas du concentrée de tomate en tube, mais plutôt de la bombe de chantilly. Après m’avoir aspergé comme il fallait, elle eut la bonne idée de me dire : « Pourquoi pas de la chantilly ! » Parfait oui. J’essuyais de mon doigt la chantilly qui trônait sur ma joue avant de me jeter sur la jolie brune. Je lui chipais la chantilly avant de la menacer, hilare. « Fais bien attention Wills … Je suis un vrai massacreur, et je n’hésiterais pas à t’asperger de cette douce mousse de crème fouettée avant de venir te dévorer. Hahaha. » Je repris doucement mon calme. Cette fille m’en faisait voir de toutes les couleurs. J’étais prêt à tout faire pour elle, et ce n’était pas peu dire. Me retournant pour me caler contre le meuble, je fixais Brooky dans les yeux, attendant qu’elle cesse à son tour de rire.

« Brooklyn chérie, écoutes … Tu… tu ne peux pas m’annoncer ça comme ça. Je t’avais pourtant dis que tu devais te protéger. Tu ne peux pas être enceinte comme ça, tu es bien trop jeune pour être maman. Et … ce mec que tu as épousé. Epousé !! Non mais où avais-tu la tête ? Tu le connais à peine. J’te connais, et j’vais pas te dire que c’est mal d’avoir saisi ta chance, mais quand même. Tu n’es même pas encore majeure … Non Brook, ce n’est pas possible. Tu n’es pas sérieuse ?! Tu ne vas pas le garder ce bébé … » J’étais littéralement entrain de me torturer l’esprit. Je ne pouvais vraiment pas admettre qu’elle allait être mère.

Il fallait que je me remette à cuisiner si nous voulions manger avant dix heures du soir. Tout en ouvrant le frigo afin de prendre des tomates, je jetais un œil à la brunette, à sa silhouette, elle n’avait pas changé. Je revins près de ma poêle chaude à présent. Je découpais rapidement une échalote et la mit à revenir dans l’huile. Lorsque l’échalote fut caramélisée, j’y ajouté les tomates coupées en dé. A côté de ça je fis bouillir de l’eau. « Tu m’as vraiment manquée chérie. » Je pris alors Brooklyn dans mes bras, je ne pu me retenir. Nous ne nous étions pas vu pendant longtemps , trop longtemps à mon gout si vous voulez savoir et ce n’était pas ce que je préférais. Je n’avais pas l’habitude d’être séparé d’elle autant de temps. J’entendis l’eau frémir dans la casserole, j’y versais alors les spaghettis que j’avais amené. « Une vraie recette italienne pour la plus jolie des Wills. »

Mon portable se mit à vibrer dans ma poche, puis la chanson que nous aimions tant Hell et moi se mit à hurler. Pris d’un soudain excès de colère mêlée à la tristesse, je plongeais ma main dans ma poche et chopais mon portable. Je l’éteignis rapidement, le cœur battant. J’avais la haine, les boules, la rage… Je la detestais autant que je l’aimais. Mais je n’allais surement pas en parler à Brooklyn vue sa relation avec elle. C’est pourquoi je mis à penser à autre chose, comme à ma soirée avec ma protégée chérie.

Spoiler:

Revenir en haut Aller en bas
» potins : 320
» double compte : nope

» emploi/étude : 12th
» numéro de maison : 19

Can you keep a secret ?
greatest fear ?:
what Bee's thinking.:
Brooklyn V. Wills
OMG! Brooklyn V. Wills is gorgeous!

MessageSujet: Re: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitimeMer 25 Avr 2012 - 23:31




Jules H. McDowell & Brooklyn V. Wills



Ce que disais à Jules était totalement faux, jamais je n’aurais fait quelque chose comme ça. Je savais que c’était très stupide et de toute façon si ça avait était le cas je ne le dirais pas à Jules il serait capable de m’enfermer dans la cave jusqu’à que je change d’avis en me bourrant le crâne d’idée logique. Je savais que je pouvais compter sur mon frère de cœur pour toujours veiller sur moi et me protéger qui que ce soit les personnes qui s’en prenne à moi ou qu’ils veulent me changer. Et je ferais la même chose pour lui. Si jamais il m’avait ce coup je crois que j’aurais péter un câble et fait tout pour réparer ça. Bref de toute façon pour moi c’était une blague et j’avais du mal à garder mon sérieux, je savais que dans pas longtemps j’allais esclaffer de rire en lui annonçant que ce n’était pas vrai. Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire quand j’avais la tête baissais et essayer de garder mon sérieux. Ce qui m’étonna c’est que Jules me crut après tout je pensais qu’il me connaîtrait mieux que ça. Lorsque que le beau brun me demanda ce que je voulais manger je sortis la chantilly pour l’asperger. C’est vrai que quand on était ensemble c’était jamais tranquille, on fait toujours des conneries. Mais bon c’est ça qui est bon aussi. Malheureusement il me prit la bombe de chantilly avant de me menacer de m’asperger et de me manger après. Je le regardais en souriant avant d’exploser de rire « Comme si tu pouvais me manger je te manquerais trop si tu le faisait et tu t’en voudrais tellement que tu te suiciderais et moi je t’attendrais avec une méga bombe de chantilly » Je riais de plus belle avant de faire un bisous sur la joue de mon ptit Jules ( après avoir enlevé la chantilly bien sur)
J’eu du mal à m’arrêter de rire mais en voyant sa tête je compris qu’il voulait en revenir à l’annonce que j’avais fait toute à l’heure. Je trouvais d’ailleurs qu’il ne m’a rien dit mais bon ça vient maintenant. Alors je redeviens sérieux pour entendre ce qu’il avait à me dire : « Brooklyn chérie, écoutes … Tu… tu ne peux pas m’annoncer ça comme ça. Je t’avais pourtant dis que tu devais te protéger. Tu ne peux pas être enceinte comme ça, tu es bien trop jeune pour être maman. Et … ce mec que tu as épousé. Epousé !! Non mais où avais-tu la tête ? Tu le connais à peine. J’te connais, et j’vais pas te dire que c’est mal d’avoir saisi ta chance, mais quand même. Tu n’es même pas encore majeure … Non Brook, ce n’est pas possible. Tu n’es pas sérieuse ?! Tu ne vas pas le garder ce bébé … » J’avais baissé la tête comme chaque fois qu’on m’engueuler. Mais là c’était parce que j’étais désolé ou que j’avais honte. Non c’était parce que je ne voulais pas qu’il voit mon sourire sur mes lèvres. J’étais touché par ce qu’il venait de dire, il se souciait vraiment de moi et de mon avenir je l’ai toujours su. Même s’il était contre il ne m’avait pas envoyé boulé en me disant que j’étais une idiote et qu’il n’aimait la fille que j’étais. Non Jules était là calme à me dire simplement que je faisais une grosse bêtise. L’espace d’un instant j’avais envie de le mariner un peu je pouvais garder le self-contrôle encore un peu, mais j’avais pas envie de continuer à le torturais. « Mais non c’est faut t’inquiète pas je suis bien célibataire et pas du tout enceinte. J’arrive pas à croire que tu m’ai cru, enfin tu ne me connais donc pas avec tous ce temps ? Je souriais heureuse de voir que mon petit numéro est fonctionné. Ah j’avais dit que je me vengerais. C’est fait, et puis c’était pas bien méchant, ça aurais pu être pire si vous voulais mon avis. J’étais bien trop gentille avec lui j’aurais pu le faire mariné plus longtemps. J’avais plus qu’à attendre sa réaction
Mon meilleur ami se remit aux fourneaux nous préparer un somptueux repas. Je montai sue le plan de travail à côté de lui mais en lui laissant de la place pour pouvoir cuisiner. Il était vraiment douer pour ça, je ne dis pas qu’il aurait pu devenir un grand chef mais du moins il avait toujours une nouvelle recette à me faire essayer et il la réussissait pratiquement toujours. Il avait vraiment tout pour lui, si seulement il pouvait laisser son image de côté pour montrer ce qu’il est vraiment, comme avec moi. Il aurait toute les filles à ses pieds mais pas que pour coucher avec lui. Je savais que ça servais à rien de lui parler il ne m’écoutait pas j’avais déjà essayé. Et puis quoi qu’il arrive il savait qu’il pouvait compter sur moi. Quand Jules me dit que lui avait manqué cela me fit trop plaisir. Même si je m’en doutais et qu’il l’insinuait, l’entendre dire c’était encore mieux, ça devenais vraiment réel. Je descendis du plan de travail. « Oh toi aussi beau gosse c’était trop longs sans toi. Quand il me prit dans ses bras je souriais de plus belle et le serra fort contre moi. Il m’avait manqué tellement. J’avais dû mais bien lui manqué, il n’était pas du genre à me faire des déclarations comme ça, limite ça donne envie de repartir pour mieux revenir. Ah peine eu dit qu’il faisait une recette italienne j’en eu l’eau à la bouche. J’adorais manger italien. Bien sûr qui n’aimait pas les pâtes et les pizzas, surtout avec un bon cuisinier comme le beau brun ça ne pouvait pas rater. Il savait beaucoup de chose sur moi, et surtout comment me faire plaisir. « Tu veux boire quoi ? j’ai remplis le bar en début de semaine. J’étais une mauvaise hôtesse, j’invitais Jules, il faisait à manger et je ne lui avait pas encore proposer à boire . En même temps il connaissait la maison par cœur à force, il faisait comme chez lui. Je sortis donc deux verre à pied en lui attendant de savoir ce qu’il voulait.
Comme je le disais avant Jules me connaissait par cœur mais c’était aussi vrai pour moi. Je savais quant ça aller mal, quand il était heureux ou triste. Je connaissais son passée et ce qu’il avait endurais, et bien sur je connaissais la sonnerie qui venais de sonnait. C’était celle de Hell. Au début Hell, Jules et moi étions inséparable mais quand on a grandis les choses on changer Hell est devenu comme Bee et Jules un don juan. Bien sûr je savais que tout les deux il y avait un truc. Mais Jules ne m’en parlais pas et avec Hell on se parlait plus vraiment depuis quelque année. Pourtant j’aurais voulus pouvoir les aidés. L’un comme l’autre était sa meilleure partis et mais aussi la pire. Quand le portable sonna je vis qu’il était en colère, rah ils se sont encore disputer tout les deux que c’était il passer ? Pour savoir il me restait une solution. « Une partie d’action et vérité te tente ? »

Spoiler:
fiche par century sex.



Revenir en haut Aller en bas
OMG! Contenu sponsorisé is gorgeous!

MessageSujet: Re: JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple   JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

JULES&BROOK: Toi, moi une maison vide que demande le peuple

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ҩ I know what you're keeping. :: play with me :: 
WSA Version 1.0
 :: 
Ϟ Le cimetière des RP
-