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 I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]

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MessageSujet: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeVen 24 Fév 2012 - 18:42

I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Tumblr_lsivfat5IM1qjmm4ao1_500


Jour de pluie sur Middle Fawkes. Une semaine d'examens venait de passer, et j'en avais plus que marre de toutes ces conneries. J'avais passé une semaine entière à réviser jour et nuit, à être crevée au moment des épreuves, à boire café sur café. Je n'en pouvais plus, le temps des "vacances" était arrivé, parfait. La moitié de mes petits protégés faisait la fête, du matin au soir, moi j'avais juste envie d'être seule, tranquille, dans mon immense maison. J'adorais cette maison, avec ses marches en bois qui craquaient, ses murs aux tapisseries plus infâmes les unes que les autres, et ces pièces immenses ... Elle était à moi - et Roksana par la même occasion - et je n'avais pas envie d'habiter ailleurs qu'ici, sauf si un certain jeune homme me demandait de le suivre au bout du monde, mais j'étais certaine que ça n'allait jamais arriver. Au fond, pourquoi Nickolas Ainsworth, MON Nickolas, se serait-il éprit d'une fille telle que moi alors qu'il pouvait avoir la moitié de la ville dans son lit ?! Pourtant, nous passions tellement de temps ensembles, nous faisions tellement de choses. Au fond, s'il ne m'appréciait pas, je ne voyais pas pourquoi il se prenait la tête à m'emmener de partout.

Je m'étais levée ce matin là avec cette curieuse sensation. Le vide. J'étais seule et vide comme une coquille de noix. La semaine précédente j'avais dû refuser toutes les invitations de Nick à cause de ces saloperies d'exams. Je m'en étais voulue. A présent il devait croire que je me contrefichais de lui, que je n'avais pas envie de le voir, que j'étais avec quelqu'un d'autre ... pourtant il n'y en avait qu'un qui me rendait complètement pantin, il me rendait ivre de joie et surtout d'amour.
La première chose que j'avais fait en me levant ce matin là, c'était de tcheker mon portable qui n'affichait, pour mon plus grand dam, rien. Pas un seul sms, ni de message vocal et encore moins d'appels manqués. Me haïssait-il pour lui avoir fait faux bon à chacune de ses invitations ? Cela m'étonnait grandement, Nickolas était bien plus mature, je lui avais expliqué plusieurs fois que j'étais encore en cours, et que par conséquent j'avais des examens. Mais peut-être avait-il oublié et pensait que je me retrouvais avec un autre... Je me frappais le front avant de recouvrir mon visage d'un oreiller. Il fallait que je me sorte tout ça de la tête ... enfin tout, sauf Nick.
Je me levais avec vivacité avant de dévaler les escaliers en bois, glissant, et où je m'étais déjà fracassé le crâne. Cela aurait dû me servir de leçon, mais j'avais cette fâcheuse habitude de courir de partout dans la maison, et les escaliers n'étaient pas exclus.

"Y'a quelqu'un dans cette baaaaraaaque ?" ... Aucune réponse. Roksy avait dû découcher, ce qui ne me dérangeait guère, j'allais avoir de croustillants détails, au moins une bonne nouvelle qui allait me remonter le moral, ce dernier se trouvant dans mes chaussettes. Ouais pas la grande classe, j'avais pour pyjama, un petit tee-shirt rétrécit qui me remontait au milieu du ventre, un short et des chaussettes -qui servaient de chaussons en fait, dans cette maison où les verres volaient en éclats, les petits cailloux et la boue régnaient en maitres ... enfin, cela ne me faisait plus peur, il faudrait que je pense à leur rappeler les règles quant au chaussures que l'on devait quitter en entrant et les verres en plastiques que l'on devait utiliser lors des soirées.

Après avoir déjeuné, pris une douche, et m'être habillée convenablement, c'est à dire d'un short encore une fois et d'un débardeur, je descendis dans le salon et allumais la chaine stéreo et mettais la piste 3 du CD de Shakira. La Tortura se mit alors en route, et sans me rendre compte je me mis à me trémousser au rythme de la musique, j'adorais danser, ça me faisait déstresser directe et surtout je ne pensais plus à rien, je laissais mon corps parler. J'avais entrepris de nettoyer le salon, mais trop absorbée par la musique, le balais finis en tant que micro. Je chantais alors à tue tête par dessus la voix de Shakira, tentant de prendre son ton langoureux, tout en dansant. Heureusement que je passais ma vie à chanter. Alors que la musique approchait de la fin, je venais de passer quatre minutes à bouger le bassin et secouer ma poitrine, lorsque j'entendis un craquement derrière moi. Je connaissais bien ma maison, elle n'avait aucune raison de craquer ainsi, à moins qu'il y ait quelqu'un sur le palier. Je me retournais alors, vive comme un serpent, balais en main, prête à attaquer. Mais ce que je vis me coupa le souffle. Il était, calé contre le chambranle de la porte d'entrée, un sourire sur les lèvres ... visiblement il m'avait vu me déchainer comme une chienne en chaleur sur le tube Hot de Shakira. Mais depuis combien de temps était-il là ? Le rouge me monta aux joues, et soudain je ne savais plus où me mettre. Impossible de le regarder dans les yeux -bien qu'il m'ait déjà vu totalement déchainée, même bourrée, j'étais mal à l'aise à l'idée qu'il ait pu me voir sans que je m'en rende compte. "Nick ... Tu... tu es là depuis longtemps ?" Lui dis-je tout en passant une main dans mes cheveux, signe de mon malaise.




Dernière édition par Hazel B. Monroe le Jeu 1 Mar 2012 - 22:03, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeSam 25 Fév 2012 - 12:09

Citation :
Nickolas,

Ça veut dire quoi ça ? Ça fait presque SIX ANS que tu vis dans trou paumé ! Qu'est ce que tu vas me dire ? Que la vie là bas est excitante ? Plus qu'à New-York ?! Que pour me le prouver tu peux m'apporter une de ces affichettes placardées sur toute la ville de la gamine qui s'est faite enlever ? Mais mon petit, à Manhattan, des enlèvements, il y en a tous les jours ! Personne n'en fait un patacaisse ! Personne ne comprend ce que tu fous là-bas … Ce n'est pas comme si ta stupide agence immobilière était fleurissante, ou comme si tu t'étais trouvé une femme ! C'est quoi ? Tu as des amis ? Mais ici aussi, tu en as, des tas, qui t'attendent !
Tu sais quoi fils ? Je vais me rabaisser à faire ça : te supplier de revenir à la vie normale : Fils, s'il te plaît, revient.

Ton père

Nickolas serra le petit papier entre ses mes, le roula, et finit par le déchirer en petit morceaux. Son père n'avait jamais rien compris, et ne comprendrai décidément jamais rien. A peine avait-il vu l'expéditeur de cette petite lettre, qu'il avait su à quoi s'en tenir. Si Mr Ainsworth avait voulu demander simplement à son fils unique comment il allait, il lui aurait envoyé un e-mail, comme il l'avait fait quelques fois. Une lettre, c'était pour les grandes occasions. C'était pour sous entendre que son fils lui faisait honte, dans sa petite campagne. Au fond de lui, Nick' n'était pas vraiment énervé contre son pauvre père qui ne comprenait rien. De l'extérieur, il bouillonnait, bizarrement. Comme s'il avait besoin de montrer à tout le monde que sa vie n'était pas facile. Alors que bon, sérieusement, ça vie n'était pas si misérable que ça. Il n'était pas particulièrement heureux, mais disons qu'il était … épanoui. Mais vous n'avez pas remarqué ? C'est dans la nature humaine de vouloir se montrer malheureux. Être heureux, c'est pas drôle, ça n'excite ni n'intéresse personne. Ce sont les malheureux qui attirent l'œil, dans cette société du XXIème siècle. Le jeu c'est presque « qui sera le plus malheureux ? ». Quelle stupidités...

Nickolas savait aussi pourquoi il restait à Middle Fawkes, dans ce ''trou paumé'' comme disait son cher père. C'était pour Hazel. Hazel, Hazel, et encore Hazel. Une blonde, étudiante, qu'il avait rencontré il y a trois ans de cela maintenant. Elle avait 19 ans, lui 22. Il lui avait sauvé la vie, en lui donnant son sang. Oui, c'était une partie du sang de Nickolas qui courrait dans les veines de Hazel, mais elle n'en savait rien. Depuis ce jour la, depuis la minute où ils avaient été relié, Nick' avait su. Su que c'était elle, la femme de sa vie. Sans aucune hésitation possible. La question était maintenant : Comment le lui dire. Comment lui avouer qu'à peine il la voyait, il était heureux, et que c'était pour ça qu'il voulait la voir en permanence. Comment lui avouer que la semaine qu'il avait passé loin d'elle avait été absolument insoutenable ? Comment lui dire que cette situation le rendait terriblement égoïste, à tel point qu'il la voulait pour lui seul, et qu'il lui en voulait presque d'avoir autant révisé ?

C'était une journée pluvieuse au dehors. Nick avait pris la résolution d'aller voir Hazel, et d'au moins essayer d'aborder le sujet. C'était intenable, elle le rendait littéralement fou ! Fou d'amour.
A onze heures, il se décida à sortir de son lit, prendre une douche et déjeuner. Il se cuisina une salade Crétoise, qu'il mangea ensuite, avant de s'habiller. Nick' adorait traîner chez lui en caleçon, ça lui rappelait son adolescence, bizarrement.

En sortant de chez lui en direction de la grande colocation du bout de la rue, il avait un t-shirt en lin beige, plutôt décolleté, son pantalon en cuir noir, et des rangers. Middle Fawkes avait bizarrement tendance à devenir boueuse sous la pluie... Il poussa comme à son habitude la porte de la coloc', jamais fermée, trempée de la tête au pied. Il y avait de la musique qui résonnait, et venait de ce qui semblait être le salon. La maison était d'une crasse inimaginable. Sous ses airs faussement détachés, Nickolas était en réalité très ordonné, et plusieurs fois il avait essayer de convaincre Haz' de nettoyer la maison avec les autres locataires, mais ça n'avait jamais marché.

Il s'approcha de la source du bruit, et découvrit une déesse dansant sur du Shakira. Elle était absolument fabuleuse. Elle chantait et ses déhanchait sur la voix colombienne, et réussissait ça parfaitement. Elle était en short, ses jambes étaient interminables et magnifique, galbée, son arrière train parfaitement mis en valeur par le short. Bien qu'elle fut de dos, il la trouvait déjà magnifique. Ses cheveux tombaient sur ses épaules, et laissaient apercevoir sa nuque gracieuse. Comment résister à Hazel ? Comment résister à cette incarnation humaine de Venus ? Nickolas ne pouvait pas. Il s'accola à l'encadrement de la porte, et la suivit du regard, dansant, fasciné, émerveillé, presque hypnotisé.

A la fin de la chanson, il se mouvant un peu, laissant découvrir sa présence. Hazel, dans un reflexe se braqua, tendant le balais qui lui servait de micro comme arme pour abattre celui qu'elle pensait être un voleur. Nickolas pouffa, et l'admira à nouveau, de face cette fois-ci. Il serra les lèvres et sourit. Hazel paraissait gênée

    "Nick ... Tu... tu es là depuis longtemps ?"


Nick s'avança vers elle, tout sourire. Pris dans un élan de témérité, il alla même jusqu'à tendre sa main vers la joue de la jeune fille, pour la caresser doucement. Il dit :

    « T'en fais pas, tu étais … Divine ! »


C'était apparemment un best of des chansons de Shakira, puisque celle qui se lança ensuite était Rabiosa, de son dernier album. Nick ne pu s'en empêcher. Il attira la jeune fille vers lui, se colla même à elle, et se mit à son tour à se trémousser sur l'air hipano-américain. Il plaça son visage dans le cou de Haz, et murmura, un peu tard, certes :

    « On danse ? »
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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeSam 25 Fév 2012 - 16:31

I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Tumblr_lsivfat5IM1qjmm4ao1_500


Son odeur envahit soudain la pièce. Dieu qu'il était beau dans son tee-shirt de lin trempé jusqu'au os qui lui collait au torse. Un torse si musclé que j'avais déjà eu la chance de voir un jour où nous étions allés au lac. D'ailleurs je me souvins avoir bavé toute la sainte journée lors de cette fameuse sortie.
Il se tenait là, occupant soudain tout l'espace avec sa carrure imposante, ses bras musclés dans lesquels je rêvais d'enfouir ma tête, je savais que je pourrais être en sécurité avec lui. Je tentais d'oublier tous ces rêves de petite fille, Nick n'était pas mon prince charmant dans la mesure où je n'étais qu'une amie pour lui. Mais au final, ça me blessait de n'être que ça lorsqu'on voyait tout le temps que nous passions ensemble. Je me souvins de la fois où je l'avais accompagné lors du mariage d'un de ses collègues. Une vieille femme s'était approchée de nous et nous avez dit, ou plutôt avait crié : "Hooo mais regardez moi ces tourtereaux ... Je parie que le mariage est pour bientôt surtout quand on voit les regards que vous vous lancez..." J'avais dû m'empourprer car la vieille femme m'avait aussitôt interrogée du regard. Nous avions donc dû lui expliquer, en bafouillant tous les deux, que nous n'étions que de simples amis ... de simples amis.

« T'en fais pas, tu étais … Divine ! » Mi dit-il tout en me caressant la joue de sa grande et élégante main. Ma peau me brula après son passage. Venait-il de me toucher avec délicatesse ? Comme si ... Je crus perdre pieds, j'avais tellement envie de lui sauter dans les bras, lui dire qu'il m'avait manqué durant cette terrible semaine, lui faire comprendre que sans lui je n'étais rien. Combien de fois j'avais tourné en rond, hésitant à tout lui balancer, puis j'avais renoncé, je ne sais pas vraiment ce qui me retenait. La peur. La peur que ça ne soit pas réciproque, la peur de souffrir encore une fois, la peur de me retrouver seule, car temps que je ne lui disais rien, j'étais sûr qu'il resterait là.
Puis soudain je me souvins de ma tenue, et je fus une nouvelle fois gênée. Moi, Hazel, jeune fille qui d'ordinaire ce contrefichait de ce que les gens pouvaient penser d'elle, ne voulait pas être "indescente" avec le beau Nickolas Ainsworth. La grande blague. Je me reculais alors, et lui dis, d'une voix quelque peu brisée par l'embarra : "Je devrais peut-être aller m'être autre cho..." Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'il m'avait déjà saisi, m'entourant de ses bras. Son odeur si particulière, de musc, cette odeur d'homme, ainsi que la touche du parfum qu'il portait souvent. Abercrombie, oui j'étais allé voir dans une parfumerie, avait passé une heure à sentir tous les parfums afin de trouver le sien. Voila ce que l'amour poussait à faire. Pour ainsi dire ça nous rendait tous marteau. Et pour pousser la folie dans ses retranchements, je vais vous dire un truc, si l'on m'avait mise dans une pièce noire, où je n'aurais rien pu voir, avec dix hommes, dont Nick, j'aurais pu le reconnaitre rien qu'à son parfum. J'aurai pu le reconnaitre parmi mille, il avait une façon de marcher bien à lui, une façon de respirer, je pouvais le reconnaitre. Et puis c'était comme si nous étions liés, je savais lorsqu'il était près de moi, mon coeur se mettait à battre anormalement et ma respiration était bien plus intense, comme si j'avais besoin de faire rentrer de l'air. On aurait presque dit que mon subconscient était capable de me dire "l'homme de ta vie est à dix mètres de toi ... cinq maintenant ... Ho, l'homme de tes rêves est collé à toi ... continue comme ça, tu vas y arriver, tiens choppe lui ses fesses si musclées que tu aimes tant regarder et em..." non, euhm la dernière partie c'était plutôt ce que je rêvais de faire.

« On danse ? » Un frisson me parcouru, comme une onde électrique qui commença à la racine de mes cheveux et qui vint se terminer à la plante de mes pieds. Mon dieu, ce mec me rendait complètement dingue. Il me revigorait de sa présence. Lorsqu'il était là c'est comme si j'étais enfin vivante, comme si j'ouvrais pour la première fois les yeux et poussais un cri afin de faire entrer l'air dans mes poumons.
Alors que leurs deux corps étaient collés-serrés l'un à l'autre, Hazel eu l'impression que leurs sentiments étaient réciproques car jusqu'à présent il ne l'avait jamais prise avec une telle intensité. Bien sur qu'ils avaient déjà dansé ensembles, ils avaient même fait un stage de salsa - qui n'avait pas été super entre nous. Mais là c'était différent. Nick était différent, J'avais l'impression que quelque chose le poussait, sans qu'il puisse rien y faire, à agir ainsi. Et ça me rendait bizarre. Mon corps lui aussi eu envie de jouer au même jeu que celui de Nickolas. Alors dans un accès de confiance en moi, je posais une main dans sa nuque, rapprochant ainsi sa tête de mon cou. Ma seconde main hésita entre son bassin et son épaule, puis j'optais finalement pour son épaule, c'était plus prudent. Je ne voulais pas qu'il m'envoi valser à travers la pièce parce que j'avais osé mettre la main où il ne fallait pas. Nick n'étais pas violent, du moins il ne l'avait jamais été avec moi, mais après tout je ne suis pas dans sa tête -malheureusement. Et il me dépassait d'une bonne demie tête, de plus il avait une carrure qui signifiait que s'il avait la soudaine envie de te casser en deux, il n'allait pas hésiter une seconde. « Je suis vraiment désolée pour la semaine passée ... J'avais mes examens de psycho et je n'avais pas envie de me louper ... J'espère que tu ne m'en veux pas.» Lui dis-je, calée contre son torse tout en muscles. J'ajoutais « Tu... tu as fait quoi cette semaine ?» Sincèrement je ne savais pas pourquoi je lui posais cette question stupide, mais une sorte de jalousie parut naitre en moi, et finalement j'avais peur de connaitre la réponse. Peur de découvrir qu'il avait une petite amie ou je ne sais pas ... enfin, la fille, "princesse de ces lieux qui attend son preux chevalier qui va venir la sauver du dragon et qui n'aime qu'elle depuis toujours", qui habitait en moi trembler de jalousie. Je m'écartais donc un peu de lui afin de pouvoir voir son regard. N'oublions pas que je suis en psycho, et que décrypter le langage du corps humain - et de l'humain en général - est mon "métier".



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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeLun 27 Fév 2012 - 14:18

À vrai dire, Nickolas avait un peu honte de lui. Il n'avait jamais eu de problème de timidité avec les femmes, pas même quand il était jeune. À vrai dire, il avait conscience, même à 14-15 ans, époque de ses premiers émois amoureux de son physique plutôt avantageux qui lui attirait les bonnes grâces de la plupart des nanas. Ainsi, il ne subit jamais ni moqueries ni regards hautains. Mais il n'était tout de même pas pour autant un connard arrogant et prétentieux, loin de là ! Il était juste ... Sûr de lui. Il avait eu des filles, puis des femmes dans son lit, sans non plus les enchaîner. Non, Nick' était un garçon raisonnable, qui aimait tout de même se faire plaisir, et puis donner du plaisir. Mais bref, le sujet n'est pas là. D'ordinaire, le mot "inavouable" ne faisait pas parti du vocabulaire du jeune Russe, et pourtant ... Faute à la timidité, au manque de confiance en soi, Nickolas était devenu un homme qu'il n'avait jamais voulu être : un menteur. Pas envers lui même, encore heureux, non, mais envers tous les autres, envers le monde entier, mais surtout envers une femme, la femme de sa vie pensait-il, Hazel Monroe. Il avait honte de lui pour ça, terriblement honte. Comment ce faisait-il qu'il n'arrivait pas à avouer ses sentiments, ou en somme, dire la vérité, à celle qu'il aimait ? Comment ce faisait-il qu'il avait réussi à murmurer ces trois petits, tout petits, mots à London, et qu'il n'y parvenait pas pour Hazel ? Allez savoir. Peut-être était-ce que cette fois, c'était vrai ? Non, il avait aimé London, pas comme un fou, ni comme un soldat, ni comme un star de cinéma, mais il l'avait aimé. Alors peut-être les deux étaient-ils trop proches ? Ils passaient leur vie ensemble, après tout, vraiment. Et qui sait, peut-être que cette révélation ruinerait tout ? Nickolas avait terriblement peur de cela. Mais justement, ces milliers heures passées n'étaient pas en soi des milliers d'occasions de lui dire ruinées ? Si, complètement.

Jamais Nickolas n'avait eu l'esprit aussi torturé que cette semaine là. La faute au vide. Ce terrible vide qui l'avait habité pendant sept longs jour qu'il avait passé loin d'elles. Des heures et des heures d'appels manqués, de SMS sans réponses, d'envie de briser chacune de ses fenêtre avec son poing, simplement à l'idée qu'il ne la verrai pas. Il savait pourquoi elle ne répondait pas, mais rien n'y faisait, rien n'enlevait le mal-être, rien n'enlevait le vide. Pas même le sommeil, encore moins une soirée passer à boire et se lamenter auprès de son ami et maire de la ville, Jonatan. Non, rien. Il avait le cerveau plein, à craquer, et s'il ne se décidait pas à faire quelque chose, il allait exploser. Vraiment. Alors il s'était levé de son lit dans lequel il avait fait la larve depuis de jours. Il s'était douché, parfumé, mais pas rasé. Hazel l'aimait mieux avec une barbe d quelque jours, il le savait, elle lui avait dit. Il le savait comme elle savait qu'il l'aimait mieux les cheveux détachés, quelques mèches devant les yeux, l'air sauvage, félin. En définitive, l'un savait presque tout de l'autre. Ils connaissaient les activités préférées de l'autre, les livres, les films favoris, qu'ils se prêtaient, s'échangeaient. Ils savait même à partir de quel moment il fallait dire à l'autre "stop, arrête de boire, sinon demain c'est moi qui vais devoir te ramasser à la petite cuillère demain matin ...". Il n'y avait qu'une seule chose que Hazel ne savait pas, et je vais encore me répéter, c'était qu'il l'aimait du plus profond de son cœur.

Nick était rentré dans la grande maison de Hazel. Il était allé directement dans le salon, un trajet qu'il aurait pu faire les yeux fermés. Elle dansait. Mais ce n'était pas comme toutes les autres fois où elle avait dansé. Ce n'était pas avec lui, pendant une fête, où tout le monde les voyait. Ni elle, avec un autre, ou même seule, quand tout le monde la voyait. Ni au cours de Salsa qu'ils avaient pris ensemble, avec tous ces autres couple, ni aux multiples mariages où ils étaient allés ensemble. Non, ce n'était pas pareil. Là, elle dansait presque pour lui, sans le savoir. Les jambes de l'homme tremblait. Quand il la voyait se déhancher, vers la gauche, pencher la tête vers la droite, un frisson de désir lui parcourait tout le corps. Il aurait voulu lui sauter dessus, plaquer ses lèvres contre les sienne, lui murmurer sans cesse qui l'aimait, et ne faire qu'un avec elle, ne serait-ce que pour une journée, une nuit. Il n'y arriva pas, à se mouvoir, il resta collé contre l'encadrement de la porte, à la regarder, telle une divinité qu'on admire.

Mais enfin, l'espace de quelque secondes, Nick' fut fier de lui. Dans un accès de confiance, une poussée d'adrénaline ou que sais-je, il se rapprocha d'elle, terriblement, presque dangereusement, et lui toucha la jour doucement. Encore mieux, il finit par coller son bassin au sien, et danser avec elle. Elle qui, s'il ne se trompait pas, tremblait entre ses bras. Tremblait de quoi ? De froid ? Non, elle semblait même bouillonnante. De peur ? Nick' espérait que non, qu'au bout de trois ans elle n'avait plus peur de lui... Alors qu'était-ce ? Du désir ? De la passion ? Nickolas ne le réalisait pas. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il tenait dans ses bras la plus belle créature que la nature aie créé, et qu'il lui ait été donné de voir. Il jubilait, il bouillonnait. Elle lui attrapa la nuque, approchant les lèvres de Nick de son cou, qu'il avait terriblement envie d'embrasser. Elle dit, calée contre le torse de Nick' :

    « Je suis vraiment désolée pour la semaine passée... J'avais mes examen de psycho et je n'avais pas envie de me louper ... J'espère que tu ne m'en veux pas. Tu... tu as fais quoi cette semaine ? »


Elle s'était un peu écartée, et avait planté ses beaux yeux dans ceux du garçon. Nick' se noya presque dedans, et dit, doucement :

    « Moi ? Rien de spécial ! J'ai déjeuné avec Jon, donné quelques cours d'histoire, dîné avec London ... La routine quoi ! »


Oooooh, le beau mensonge. Il était coincé dedans maintenant. Il n'avait pas dîné avec London, il avait justement refusé son invitation. C'était un test. Et Nick' priait pour que Haz le passe avec succès (en criant à la jalousie ...)
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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeLun 27 Fév 2012 - 17:39

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D’amour. Voilà de quoi j’avais besoin. Mais je me demandais si Nick était capable de me donner ça. Moi j’en étais capable. J’aurais pu tout faire pour cet homme qui me faisait transpirer, crier, pleurer la nuit – fallait dire que les rêves érotiques allaient bon train. J’avoue qu’il incarnait mon idéal masculin. Il était tout. Beau, intelligent, viril – oh oui. Fort – je rêve qu’il m’empoigne avec fougue, et me fasse l’amour pendant des heures. Lorsque je suis à ses côtés j’ai simplement envie de le prendre dans mes bras, de lui susurrer des trucs cochons à l’oreille, histoire de l’émoustiller, envie de lui dire qu’il est le plus beau de la terre et que je rêve de faire partie de sa vie, autrement qu’en tant qu’amie, simple amie. J’ai envie de me réveiller près de lui, de le voir se trimballer torse nu toute la sainte journée, de l’embrasser de partout, lui faire son plat favoris, me doucher avec lui … Juste ça. Simplement être heureuse avec lui. Mais ce qu’il me répondit ne me fit pas sourire, au contraire. Soudain j’eu l’impression que tout autour de moi s’écroullait … ce n’était pas la mort, mais … je ne comprenais plus rien. « Moi ? Rien de spécial ! J'ai déjeuné avec Jon, donné quelques cours d'histoire, dîné avec London ... La routine quoi ! » Quoi ? Je me reculais un peu plus, de façon à ce que nos corps soit à une distance convenable, je devais réfléchir, comprendre ce qu’il venait de me dire. Ma main glissa le long de son torse – ce geste fut presque sensuel d’ailleurs. Mes doigts me piquèrent, j’eu envie de recommencer, de le toucher … j’eu envie de le frapper même. Mes sourcils se fronsèrent, la colère montait, et je ne pouvais rien y faire. La « prince reine des licornes du pays magique qui attend son prince charmant » criait avec haine, rage. La jalousie parut éclore en moi comme une saloperie de fleure. Mon âme, mon corps, tout entière je criais à la trahison. Non mais … QUOI ?! Je reculais d’un pas. Voutée, presque en position de combat. Les seules qui trahissaient mon état étaient les larmes qui me montaient aux yeux, ma lèvre inférieur qui tremblait imperceptiblement, et mes jambes flageolantes. Moi qui était d’habitude si sure de moi. Si combattante, qui ne se laissait jamais démonter … J’étais pratiquement effondrée. « Quoi … ?! London … London ton ex. London celle que tu détestes. La London qui m’a dit tant de mal sur toi en à peine cinq minutes … ?! » Lui dis-je la voix presque chevrotante. Je ne voulais pas qu’il voit. Qu’il se rende compte que ça me mettait dans un état pas possible. Je baissais vivement la tête, tentant de ravaler la larme qui allait s’échapper. Je m’obligeais à respirer calmement, le regard de Nick posé sur moi n’arrangeait rien.

Quelques secondes plus tard je relevais la tête. Voyant qu’il ne disait rien, je fus prise d’un excès de colère. « Mais réponds moi. Dis moi que je ne suis qu’un passe temps, une pote, quelqu’un que tu vas jeter lorsque tu auras trouver la bonne… dis le moi qu’on en finisse. » Voilà ce que je hurlais dans ma tête. J’étais une pauvre hypocrite d’avoir cru qu’il aurait pu se passer quelque chose entre nous. Ca me confortait dans mes idées, il ne voulait pas de moi, car qui dit diner avec une London tout en provocation, finissait forcèment par une London nue dans un lit, dans un appartement … avec un Nick tout aussi nu … et rhaaa. Soudain je me trouvais face à Nickolas Ainsworth, la main levée. Je savais ce que j’allais faire, mais je n’allais pas pouvoir m’empêcher. Manifestation de mon corps à mon insu. #SBAF# Ma main claqua contre sa joue. J’allais m’en mordre les doigts, je savais bien. De plus je ne savais pas pourquoi je réagissais comme ça. Nous n’étions pas en couple. Mais je l’aimais. Oh mon dieu que je l’aimais, si seulement il avait pu savoir. S’il avait pu deviner une seule seconde. Et là, à ce moment précis, j’avais un trou béant à la place du cœur. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir, si je lui avais avoué mes sentiments, il ne coucherait pas avec elle – car entre nous, je ne suis pas née de la dernière pluie, s’il a « diné » avec elle la semaine précédente, ce n’est certainement pas la première fois.

Sans le regarder, je passais à côté de lui, la main endolorie par la gifle. Je le frôlais, faisant voler son odeur autour de moi. Je me retenais de partir en courant, les larmes ruisselantes sur mes joues. Je devais me contenir. Je renversais une chaise sur mon passage et me heurtais contre une table posée dans le salon, faisant tomber les verres qui étaient dessus. Le verre éclata en mille morceaux, comme mon cœur en réalité. Je m’en fichais. Je marchais dessus, courrais dessus, je devais me dépêcher si je ne voulais pas m’effondrer devant Nick. Je sentais déjà les minuscules morceaux de verre pénétrer la peau mais je m’en contre fichait. La porte de la cuisine fut rapidement là, pour mon plus grand soulagement. Je la poussais, elle frappa le mur derrière avec violence, je me demandais même comment elle avait pu tenir. Puis je la fis claquer avec violence avant d’aller me réfugier devant l’évier, laissant derrière moi quelques gouttes de sang. Je me pris le visage dans les mains, tremblante de toute part. je réagissais avec violence. Mais je venais de passer une semaine de merde qu’on se le dise. L’homme que j’aimais le plus au monde couchait avec son ex qu’il haïssait. On m’avait déjà brisé le cœur dans le passé, et je ne voulais pas que ça recommence, trop tard visiblement. Puis j’étais une fille très excessive. Lorsque j’étais vraiment impliquée dans quelque chose, tout prenait une dimension … gigantesque. Et je savais que Nick devait se demander ce qu’il se passait, pourquoi je l’avais giflé, pourquoi j’étais partie avec fureur … Il était celui que je voulais. Simplement. Ce n’était pourtant pas dur à comprendre



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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeMar 28 Fév 2012 - 9:56

Nick' se souvenait parfaitement du jour où il avait vu Hazel pour la première fois. Pas rencontré, non, en tous cas pas à proprement parlé. Il y avait une mare rouge en bas d'un escalier. Plein de jeunes adultes tout juste sortis de leur adolescence autour de la source de ce rouge. Une tête, qui étaient coupée à l'arrière par une profonde entaille, d'où se déversait des flots de sang. Une jeune femme, elle aussi à peine sortie de l'âge bête, qui avait sûrement un peu trop bu, ou s'était un peu trop précipitée, bref qui était tombée et s'était cognée la tête contre des marches en bois aiguisés. Elle ne bougeait plus. Ses cheveux autrefois blonds étaient rougeâtres, son teint d'ordinaire doré était livide. Et aucun de ses stupides amis ne semblait décidé à faire quelque chose. Sauf appeler les pompiers, parce que les pompiers règlent tout, du chat coincé dans un arbre à la nana tombée dans les escaliers. Mais pas un n'avait pensé à stopper le flot de sang ne serait-ce qu'avec du papier essuie-tout. Non. Ils l'avaient laissée se vider. Nickolas était quelqu'un de très rancunier, surtout pour ses choses là, surtout quand il y avait une vie en jeu. Et si les secours n'étaient pas arrivés aussi vite ? Et si l'hôpital n'avait pas été aussi proche ? Elle serait morte, voilà. Hazel Monroe aurait été morte. La femme de la vie de Nickolas Ainsworth ne serait plus.

Lui et ses collègues avaient reçu un appel paniqué vers minuit, ils avaient bondit dans leur camion, un brancard et le premier nécessaire de survie dedans, et s'étaient rendus dans la grande colocation de Hepburn Street. Hazel s'accrochait à la vie, terriblement. Elle ne voulait pas mourir. Et de toute façon, Nick ne pouvait plus la laisser, il ne voulait pas qu'elle meure. Il s'était bizarrement sentit immédiatement attiré vers elle, vers ce visage parfait bien que bleuit à cause du manque de sang, vers cette petite main qu'il n'avait pas lâché du voyage et qu'il ne souhait pas lâcher. Alors il avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour la sauver. Il lui avait offert son sang. Son sang parcourait les veines Hazel, mais il ne voulait pas qu'elle le sache. Pourquoi ? Allez savoir. Il s'était présenté à elle comme un des pompiers qui l'avait mené à l'hôpital de la ville, pas comme son sauveur. Était-ce ce qu'il était ? Son sauveur ? Nickolas aimait se dire ça, qu'il l'avait sauvé, et que donc pour ça, elle lui était destinée. Mais là encore, un mensonge, ou plutôt une omission comme il aimait l'appeler. Elle n'en savait rien. Elle ne savait pas que le sang qu'un étranger lui avait donné pour la sauver était celui de son ami, Nickolas.

Ami. Était-ce comme cela qu'elle le voyait ? Nick' aurait voulu tellement plus. Il aurait voulu être sa moitié, être celui qui la rendrait heureuse pour le reste de sa vie. Parfois, il se disait que c'était possible, qu'elle l'aime autant qu'il l'aimait. C'est pour ça qu'il avait parlé de London, aussi stupide soit ce mensonge. Pour être sûr. Il savait ce que devait répondre une amie : « Ah, et bien heureuse que tu aies passé une bonne semaine, par rapport à moi qui blablabla... » ou quelque chose dans le genre. Il savait aussi ce que devait répondre une fille amoureuse : « Quoi … ?! T'as dîné avec cette conne ? Comment t'as pu me faire ça ? ... » ou équivalent. Hazel avait fait mieux. Elle avait dit :

    « Quoi … ?! London … London ton ex. London celle que tu détestes. La London qui m’a dit tant de mal sur toi en à peine cinq minutes … ?! »


Bien malgré lui, Nick sourit doucement. Est ce qu'il réalisait bien ? Était-ce ce qu'il croyait que c'était, de la jalousie ? Ou alors de simples préoccupations d'amie qui prenait soin de lui ? Oh non, pitié, pas ça, se disait-il. Pas de préoccupations amicales. De l'amour, de l'amour, de l'amour, s'il vous plaît ! Dites-moi que c'est de l'amour ! Nickolas ne parla pas. Il resta juste planté devant le visage magnifique de Hazel. Il sentit à peine la claque qui vint s'abattre sur sa joue, même si elle était d'une telle force que sa tête fut emmenée avec l'élan vers la droite. Il porta sa main à sa joue heurtée, et son coeur se mit à frapper si fort dans sa cage thoracique que ça lui fit mal. Il ne se retourna que quand il entendit des bruits de verres brisés, et il paniqua. Il y avait du sang par terre, elle avait du marcher sur les éclats. Il couru vers la cuisine où il entendait l'eau couler. Quel con. Mais quel con, mais quel con ... Il savait que Haz avait souvent, pour ne pas dire toujours, tendance à réagir excessivement. Maintenant, elle s'était blessée, à cause de lui. Blessée physiquement, et même pire, psychologiquement. Il ouvrit la porte de la cuisine à la volée, et la trouva devant l'évier. Elle avait les mains sur son visage, et Nick' compris qu'elle pleurait. Il s'arrêta sur le seuil de la porte. Il hésitait entre jubilation de la voir ainsi jalouse, et horreur envers lui même. Il choisit la seconde option. Mais quel égoïste. Mais quel égoïste con et sadique. Il se mordit le poing, avant de l'envoyer s'abattre sur la porte en bois. Il sentit quelques échardes rentrer dans ses phalanges, qu'il sentit à peine, et évidemment, ça n'arrangea rien. Ni sa colère, ni les larmes de Hazel.

Il avait vu dans un épisode de Grey's Anatomy (qu'il regardait sans faute tous les lundis sur ABC) que serrer une personne aussi fort qu'on le pouvait dans ses bras pouvait la calmer. Alors il s'approcha de Hazel, colla son ventre à son dos, et passa ses bras en dessous de sa poitrine. Il posa sa tête sur son épaule, et se mit à la serrer, serrer, serrer, aussi fort qu'il le pouvait. Il ne savait pas si elle, ça la calmait, mais pour lui, ça fonctionnait. Bientôt, il sentit son cœur reprendre des battement normaux, et il desserra l'étreinte, tout en gardant sa positon. Il ne savait pas combien de temps il restèrent ainsi, et il s'entendit à peine prononcer ces mots :

    « Je t'aime »


Son cœur s'arrêta littéralement de battre. C'était comme si tout en lui était immobile, et attendait la suite. Tout repris son action quand Nickolas dit :

    « Je t'aime, je t'aime, je t'aime et je le sais depuis le moment où j'ai dit au chirurgien de prendre mon sang pour t'aider à vivre, pour te sauver. Je t'aime de plus en plus chaque jour, tu peux pas savoir combien. Je suis tellement désolé de t'avoir fait mal, et de ne pas te l'avoir dit avant, tellement désolé, si tu savais ... »


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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeMar 28 Fév 2012 - 22:23

I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Tumblr_lsivfat5IM1qjmm4ao1_500


Immobile, statique, presque sans vie, ou plutôt non, avec beaucoup trop de vitalité en moi. Comment pouvais-je bouger alors qu’IL m’entourait de ses bras musclés, chauds, que son torse était collé contre mon dos. Mais ce n’était pas ses bras qui m’enlaçaient ni cette douce chaleur contre mon corps qui me paralysaient ainsi. Non, c’étaient les mots qu’il avait prononcé. Ces mots qui tournaient en rond dans ma tête et je voulais les entendre encore et encore. Soudain la pièce disparue, le bruit extérieur disparut, la musique disparue. Je retirais les mains de mon visage, comme pour mieux comprendre ce qui se passait en ce moment même dans cette maison, dans cette cuisine. Soudain il n’y avait plus que la respiration de Nick et ses mots qui résonnaient dans ma tête. Ma vision se brouilla une nouvelle fois. Les perles salées se mirent à couler sur mes joues de nouveau, tombantes sur les bras, les mains de Nickolas. « Je t'aime, je t'aime, je t'aime et je le sais depuis le moment où j'… » Il avait continué de parlé, m’avait dit quelque chose, mais j’étais bien trop concentrée pour comprendre, pour déchiffrer ses mots … Venait-il de me dire ce que je rêvais en secret qu’il me dise un jour ? Venait-il sérieusement de me dire ce que je souhaitais, au plus profond de moi, lui dire un jour ? Alors que j’essayais de réaliser, je vis sa main rouge aux jointures, il semblait être blessé. C’était donc ça le bruit que j’avais entendu ? Il avait donc frappé dans la porte. Pourquoi ? Etait-il énervé ? Peut-être me disait-il qu’il m’aimait pour me calmer… Essayait-il juste de m’apaiser pour mieux pouvoir m’annoncer les choses ? Ou alors je devenais parano. Peut-être même venais-je de rêver ses paroles ? Je souhaitais tellement que ça se produise, je devais surement me faire des films… Qui sait ?! Je fermais les yeux histoire de discerner le rêve de la réalité. Mais je ne rêvais pas, je sentais réellement son corps brulant contre le miens. Qu’aurais-je donné dix minutes auparavant pour que cette scène se passe ?! J’aurais vendu mon âme au diable s’il avait fallut pour avoir, ne serait-ce qu’un millième de seconde dans ses bras, sentir sa passion me transpercer par tous les pores. Sentir son amour déferler sur mon corps … Je rouvris les yeux rapidement et me tournais brusquement faisant voler tout ce qui se trouvait autour de moi, sauf Nick qui restait planté solidement sur ses pieds. Ancré au sol. Ancré à moi. Je plaquais mes mains sur son torse, sentant son cœur battre sous la paume de ma main droite. Cela me calma aussitôt. Je ne levais pas tout de suite les yeux vers lui. Il fallait d’abord que je comprenne toute l’ampleur de ses mots. Que je comprenne qu’il me disait qu’il m’avait toujours aimé … Et ça, il fallait vraiment que je me le mette dans la tête à présent. Mais était-ce vraiment la réalité ?!

J’osais enfin lever mes yeux vers lui. Des yeux emplis de larmes. Certaines de joie, d’autre de tristesse qu’il m’avait causé quelques minutes auparavant. Je plantais mon regard humide dans le sien. Je sondais son esprit. Je voulais comprendre pourquoi il ne m’avait jamais rien dit avant … C’est ainsi que sans m’en rendre compte je lui dis, d’une voix brisée : « Nick… Je ne comprends plus rien. » Oui c’était vrai. J’étais perdue à vrai dire. Dix minutes plus tôt il me disait qu’il avait « diné » avec London l’ex croqueuse d’hommes, et dix minutes plux tard il m’annoncait tout de go qu’il m’aimait depuis le début, depuis le moment où il a dit au chirurgien de prendre son sang pour me sauv… Attendez. Quoi ?! Prendre son sang ? Me sauver ? C’était quoi encore ce bordel. Pourquoi n’avais-je jamais été au courant ?! « QUOI ? » m’écriais-je alors soudain lucide. Froncement de sourcils, air incrédule, cela n’annonçait rien de bon pour Nickolas Ainsworth. Je crois qu’il était fichu. Après son annonce, rien ne serait plus jamais pareil. Je l’aimais à en mourir. Mais c’était grâce à lui si je vivais aujourd’hui. Si j’étais encore sur pieds… Comment avait-il fait pour ne rien me dire avant ?!

Puis tout se déroula comme cinq minutes auparavant, sans la claque. Je le poussais afin de le voir dans sa totalité. Je devais comprendre, et ce n’était pas en étant collée à lui, à son corps musclé, à ce corps que je rêvais de parcourir dans sa totalité, que je pouvais comprendre, réfléchir. « Nickolas ! Comment … Comment as-tu pu me cacher ça … » Criais-je une nouvelle fois, mais moins fort que la fois précédente. Je me sentais complètement hors sujet. On aurait du me demander – entre nous, jamais j’aurais refusé (a). Mais c’était quelque chose d’important. Alors ce lien qui nous unissait, c’était ça. Je savais qu’il se tramait quelque chose d’autre entre nous – avant que je sache qu’il m’aimait bien sur. Je revins vers lui, me collant à lui, frappant mon crâne contre sa mâchoire. J’étais perturbée. Et je savais que Nick ne savait plus sur quel pied danser. Un coup j’étais « en colère » contre lui, une seconde plus tard je me jetais contre son torse. Mais il fallait qu’il sache – avant que je m’emporte une nouvelle fois – que ses sentiments étaient plus que réciproque. Je l’avais dans la peau. Oh oui. Et ce n’était pas peu dire, il collait dans mes veines, sont essence même était en moi. Ne sentant plus la douleur des mes pieds, je grimpais sur ses chaussures, histoire de me grandir. J’avais bien conscience que j’allais lui tacher ses toujours, mettre du sang de partout, mais je m’en contre fichait à cet instant précis. Je n’avais qu’une chose en tête à vrai dire. Calant ma tête dans son cou, humant son odeur, m’impregnant de lui, je lui déposais un doux baiser, trempant au passage son cou de mes larmes. Mais je n’allais pas m’arrêter là. Doucement je me hissais pour être à la hauteur de son visage. De façon à ce que sa bouche, ses lèvres roses, pulpeuse, que j’avais tout se temps voulu embrasser, soient à la hauteur des miennes, tremblantes. Puis mes lèvres rencontrèrent les siennes. Un premier baiser qui si fit tout en douceur. Sans brusquerie. Je voulais prendre mon temps avec lui. Ne pas faire n’importe quoi. Je ne voulais pas tout ruiner. Il était ma vie. « Je t’aime à en mourir… Je t’ai dans la peau Nick… si tu savais… » lui murmurais-je tout contre sa joue… Et là, à ce moment précis je ne voulais plus bouger. Je voulais mourir ainsi. J’aurais voulu que jamais je n’ai à me détacher de lui. Ce moment était parfait. Comme je l’avais rêvé des milliers de fois, même mieux. Je savais qu’après il faudrait que je lui demande pourquoi. Pourquoi il m’avait sauvé ? Pourquoi il ne m’avait jamais rien dit ? Pourquoi m’avait-il parlé de cette plaie de London… Pourquoi il m’aimait ? Et pourquoi je ne pouvais pas vivre sans lui … Nickolas allait devoir me répondre. Et j’étais heureuse. Pour une fois depuis longtemps je sentis mon cœur battre. Fort, revigoré, puissant, amoureux, dans ma poitrine. Et tout ce n’était grâce à une seule personne… Nick. Mon dieu.


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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeMer 29 Fév 2012 - 21:01

    « Nick... Je ne comprends plus rien. »


Lui non plus, à vrai dire, ne comprenait plus rien. Il venait d'avouer à Hazel qu'il l'aimait, dans les pires conditions possibles. Elle pleuraient, elle était blessée, aussi bien physiquement que psychologiquement, et lui venait de se rendre compte qu'il était tout ce qu'il détestait : un menteur manipulateur. Oh certes, il n'était pas le pire de tous, il n'était pas un de ces psychopathes qui seraient prêts à inventer n'importe quoi, et accuser n'importe qui pour éviter la prison. Mais c'étaient ces personnes là étaient vraiment celles que détestait le plus Nickolas. Pas les jaloux, pas les avares, ni les agoraphobes ! Non. Les manipulateurs, les menteurs. Ceux qui utilisaient les émotions des autres pour parvenir à leurs fins. Même à moindre mesure. Nick' avait fait pleurer Haz, et c'était la pire chose qu'il aurait pu faire. Il avait tant de fois été en colère contre ceux qui avaient fait pleurer son Haz, qu'il ne pouvait pas ne pas être en colère contre lui même. Il culpabilisait tellement...

Mais ce n'était pas le pire. Il avait menti. Il n'était pas chrétien, mais considérait tout de même cela comme un pêché capital. Pendant trois ans, mille quatre vingt quinze jours, et son cerveau ne lui permettait pas de calculer les heures ni les secondes, mais l'idée est là : il avait menti. Menti à la personne qui était de loin la plus chère à ses yeux, et s'était même par moments menti à lui même, en se persuadant par exemple que se trouver une nouvelle fille lui ferait oublier ses sentiments pour Hazel. Mais comment l'oublier ? Comment oublier la nana dont vous rêvez toutes les nuits, avec qui vous vous sentez toujours mieux, à qui vous sentez que vous pouvez tout dire sans gêne, une personne que vous voulez tout le temps enlacer, embrasser, aimer ? C'est impossible, tout simplement impossible. Nickolas avait mis trois ans à s'en rendre compte, qu'il ne l'oublierai jamais. Il avait enfin arrêté de lutter contre lui même, il lui avait enfin dit. Je t'aime. Trois ans de mensonges pour trois petits mots. Trois ans pour comprendre qu'il mentait à tout le monde, et tout ça s'etait terminé, ou plutôt avait commencé, par une horrible manipulation du garçon pour parvenir à ses fins, parvenir à savoir si elle aussi l'aimait, sans avoir à lui demander, car il était trop lâche pour ça.

Hazel semblait comprendre. Et voilà qu'elle mettait en lumière un nouveau mensonge. Cette histoire de sang... Une larme glissa sur la joue, une larme, unique, la seule qu'il serai capable de verser. Il ne pleurait pas pour les gens dont il avait pitié. Il ne pleurerait donc pas pour lui. Il se faisait tellement pitié, il avait tellement honte de lui. S'il pleurerai, ça serait pour Hazel, uniquement pour Hazel. Hazel qui montait sur ses chaussures. Hazel qui approchait ses magnifiques lèvres de son cou. Qui embrassait son coup. Un frisson parcourut le corps de Nickolas, un frisson de désir, qui s'arrêta dans ses parties génitales. Il l'enlaça à nouveau de ses bras, sans vraiment la comprendre. Que faisait-elle ? Que voulait-elle ? Une seconde, ou plutôt une minute avant, Nickolas avait complètement perdu la notion du temps, elle lui criait dessus, lui reprochait de ne rien lui avoir dit ... Maintenant ... Elle l'embrassait. Sur la bouche. Nickolas avait tant fois rêvé de cela. Tout s'effaça autour de lui, la seule chose qui comptait, c'était elle. Ce n'était ni le temps, ni l'espace, ni même lui. C'était ELLE. Ses lèvres à la fois douces et passionnés, ses mains chaudes, posées contre lui, sa poitrine, qui s'écrasait gracieusement contre son torse, ses yeux, fermés, ses cils, infinis, et son baiser, absolument parfait. Quand leur lèvres se décollèrent, elle dit sans le regarder, la tête contre sa joue :

    « Je t'aime à en mourir... Je t'ai dans la peau Nick... Si tu savais ... »


Nickolas tressaillit. Il entoura le visage d'Hazel, planta ses yeux dans les siens, s'y noya, et murmura :

    « Je sais... Moi aussi... »


Il avait dit ça d'un ton tellement désespéré que s'il avait ajouté "malheureusement" à la fin de sa phrase, ça aurait donné la même impression. Nickolas n'était pas heureux comme il aurait voulu l'être lors de son premier baiser avec Hazel. Bien sur, il ne l'aimait que plus, et ce moment avait été littéralement divin, offert par Aphrodite, mais trop ... Astérisque. Comme si ça avait été un moment de bonheur ajouté à du cahot, juste histoire que ça fasse pas trop sombre ... Il avait envie de recommencer, de retrouver cette astérisque. Alors il posa à nouveau ses lèvres sur celle d'Hazel, mais cette fois, ce fut plus ... Violent. Ses yeux se refermèrent, et il se laissa guider par ses sens, ses sens qui attendaient depuis trois ans ce moment hors du temps.

De ses bras, il souleva la jeune femme. Ses longues jambes fines entourèrent instinctivement le corps du jeune homme, qui se sentait à la fois Adonis et Hercules en ce moment précis. Il bougea, plaqua Hazel contre porte, ou un mur, il ne savait pas très bien. Sa langue s'aventura dans la bouche de sa blonde, doucement, intriguée. Puis, il décolla leurs lèvres, et s'aventura dans le cou doré d'Hazel. Il y déposa mille baisers, tous aussi passionnés, et retourna aux lèvres. De milliers de pensées lui traversaient l'esprit. Il se disait que leur première fois allait être ... Mémorable. Qu'il devait avoir la patience de l'emmener au moins jusqu'au canapé. Il se disait aussi que si un étudiant entrait à ce moment là dans la colocation, il serait fiché à vie comme le pompier exauceur de fantasme, et il trouvait ça terriblement excitant. Il se disait aussi qu'il fallait qu'il la déshabille, et se déshabille. Il se demandait si ce qu'ils allaient faire était baiser, ou faire l'amour. Il se disait que de toute façon, quand on faisait l'amour, on baisait toujours un peu.

Mais une pensée surpassait toute les autres. Ce qu'il faisait était mal, terriblement mal. Coucher sur des malentendus, faire l'amour sur des mensonges, baiser sur des manipulations, ce n'était pas bien. Nickolas lâcha tout. Hazel, son soutient gorge qu'il était sur le point d'arracher, ses lèvres, vers qui il se sentait aspiré, tout. Sa tête lui tournait. Il plaqua une main sur son front, recula de quelque pas, heurta une table, deboussolé, et dit, murmurant ...

    « Je peux pas Haz' ... Il y a trop de mensonges ... Trop de mensonges. Je ne peux pas ... Je suis désolé... Tellement désolé... Je t'aime tellement ... »


Sans lui adresser ne serait-ce qu'un regard, de peur de ne plus pouvoir la lâcher, il sortit en courant de la colocation, une larme glissant sur sa joue, le cœur plus brisé que jamais.
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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeMer 29 Fév 2012 - 22:40

I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Tumblr_lsivfat5IM1qjmm4ao1_500

Puis tout se déroula comme dans un rêve, comme si le destin avait lu dans mes pensées, vu ce que je désirais depuis trois ans. Nous étions là, dans la cuisine, un sourire imprégna mes lèvres, j'imaginais bien un de mes colocataires arriver et nous voir tous les deux là, enlacés, l'une en pleure l'autre en rogne. Enfin je n'arrivais pas vraiment à mettre de mot sur l'expression de Nick, il semblait en colère - contre moi ? A cause de la baffe ? - et une ombre triste passait de temps à autre sur son si beau visage. Certes à ce moment là j'étais heureuse mais je me demandais si lui l'était, et à voir son visage j'en doutais. Et finalement mes craintes réapparurent, je me demandais de nouveau s'il ne m'avait pas dit qu'il m'aimait juste pour essayer de me calmer. Enfin, je connaissais Nick, ce n'était pas son genre. Je ne l'avais encore jamais entendu dire "Je t'aime", à personne. J'avais des doutes. Après tout, on ne sait pas tout des hommes et parfois ils cachent bien leur jeu. Mais sincèrement, Nick était le garçon le plus pur que je connaisse. Il n'est pas du genre à dire "Je t'aime" à une fille - qu'elle soit son amie ou non - alors qu'il n'en n'est rien.

Puis soudain, sans que je prévois le coup, il me souleva de terre. Je semblais ne peser pas plus lourd qu'une plume à ce moment là. Je sentis toute la puissance que son corps renfermait. Et je me dis alors que s'il avait envie de m'écrabouiller d'un coup, il le pourrait aisément, il n'aurait qu'à frapper mon crâne deux fois contre le mur pour que ma cervelle soit totalement écrabouillée. Pourquoi pensais-je à ses choses là d'un coup ?! Nick ne ferait jamais ça, même dans la période la plus noire de son existence. Il était incapable d'une telle violence, du moins pas gratuitement, car je l'avais déjà vu se battre un jour où pervers saoul comme une barrique était venu me chercher des noises, et je peux vous dire que l'on se sent tout de suite en sécurité avec lui après avoir vu ça. Mais à ce moment là, il n'allait pas vraiment m'écraser la cervelle contre le plan de travail, ce n'était pas les gestes appropriés. Il me plaqua contre son torse, et mon corps sut alors tout de suite ce qu'il avait à faire. Mes longues jambes s'enroulèrent autour de la taille de mon Dieu, épousant parfaitement ses formes. Mon entre jambe se plaqua contre celui de Nick, une douce chaleur commença à m'envahir. Les yeux fermés je profitais pleinement de cette douce torpeur qui m'emmenait loin, très loin ... Jusqu'à ce que les lèvres, avides et chaudes se pressent de nouveaux aux miennes. Mais cette fois, ce n’était pas le petit baiser timide que je venais de lui donner quelques instants plutôt. Non, c’était bien plus. Nick m’inonda de passion, cette fougue que je ne lui connaissais pas, me rendit ivre, et je ne pu que répondre à l’appel de sa langue se mêlant à la mienne. Dieu que c’était bon. Il me plaqua contre le mur, violemment. L’impact résonna dans ma cage thoracique provoquant des ondes de plaisir - j’aimais cette fougue qui l’animé. Me désirait-il à ce moment précis comme je le désirais moi ?! Si je m’écoutais, son jolie tee-shirt de lin serait déjà en lambeau, tous les verres et autres condiments qui trainaient sur la table de la cuisine auraient déjà volé par terre, il serait allongé sur cette même table et je serais entrain de lui faire l’amour. Oh oui, ça serait passionné. Puis, comme si Nick avait été attiré par la zone sensible de mon cou, celle qui me faisait des papillons dans le ventre lorsqu‘on la touchait, il alla y déposer un millier de doux baiser, futiles mais délicieusement exquis. Oh dieu, allais-je être damnée pour avoir succombé à son charme ?! Si oui, je m’en fichais comme d’une guigne. Le ciel pouvait me tomber sur la tête, la foudre pouvait me foudroyer, je m’en fichais, j’étais là dans ses bras, il était là à m’embrasser… Une main dans mon dos, il commença à me détacher le soutiens-gorge, une nouvelle vague de plaisir déferla en moi, c’était l’ascenceur émotionnel. Allions nous faire l’amour aujourd’hui après s’être tous les deux avoués nos sentiments… Ce n’était pas une certitude, mais il allait se passer quelque chose.

Puis tout bascula. Nick me lâcha soudain, par chance j’étais calée entre le mur et lui, ce qui me permit de descendre progressivement et de ne pas tomber lourdement sur mes pieds endoloris. Une nouvelle fois, j’étais perdue, je venais de louper un épisode?! Nick recula, heurtant la table, il semblait désorienté, mal à l’aise, comme s’il devait sortir d’ici et vite. Que se passait-il encore ? Une nouvelle fois, et pour ne pas changer, je me demandais ce que j’avais bien pu faire de mal. Mais ce furent ses paroles qui me pétrifièrent sur place :  « Je peux pas Haz’ … Il y a trop de mensonges … Trop de mensonges. Je ne peux pas … Je suis désolé… Je t’aime tellement… » Une douleur me transperça la poitrine. L’air ne semblait plus pouvoir rentrer dans mes poumons, je sentais qu’il me devenait impossible de respirer. Que venait-il de dire ? Nick venait-il de me dire qu’il ne pouvait pas m’aimer en réalité, alors que je venais de lui dire que je ne pouvais pas vivre sans lui. Certes l’histoire de son sang qui coulait dans mes veines ne me laissait pas indifférente, et un jour ou l’autre nous allions devoir en parler, mais pour l’instant ce n’était pas ça le problème. Il se refusait d’être avec moi parce qu’il y’avait trop de mensonges. Quels mensonges ? De quoi parlait-il ? J’étais resté plongée dans une sorte de mutisme et ne l’avait pas vu partir. Ce seulement lorsque je repris conscience de ce qu’il se passait que je remarquais qu’il quittait la pièce en courant. Ce n’était plus le moment de réfléchir, je devais agir et vite si je ne voulais pas perdre l’unique amour de ma vie. Je n’étais pas dans un grand tripe d’adolescente pré pubère en mal d’amour. Je savais que Nick était l’homme que j’avais toujours attendu, sinon comment expliquer que cela faisait trois ans que j’étais irrémédiablement amoureuse de lui, qu’à chaque fois que je couchais avec un autre, le lendemain je me sentais terriblement mal, comme si je l’avais trahi ?! Je l’aimais, et le perdre m’anéantirais.

Dehors c’était le déluge. Le temps faisait écho à mon cœur. Le vent soufflait avec violence faisant taper les branches contre la façade de la maison, la pluie était glacée et fouettait. C’était un vrai temps de février, maussade, triste. Nick se trouvait déjà en bas des escaliers lorsque j’arrivais sur le perron. Je me mis alors a crier, tout en dévalant aussi vite que je pu, les marches en pierre : « NICK … NICK NE PARS PAS … » Mon petit tee-shirt prit l’eau rapidement, de même pour mon short. J’étais littéralement trempée, mais je continuais de courir vers Nick. Je faillis lui attraper le t’shirt mais il fut plus rapide que moi. Je restais alors plantée là « Nick, de quels mensonges tu parles … ? Du fait que tu m’ais dit que tu m’aimais ? … » Il ne se retourna pas, mais s’arrêta tout de même, je venais surement de le piquer à vif. J’avais cessé de crier, de courir, de bouger. Les larmes coulaient sur mes jours, se mêlant à la pluie. J’avais froid, j’avais mal de partout. Je sentais la douleur lancinante dans mes pieds, car à présent les morceaux de verres étaient entrés profondément dans la chaire, et les petits cailloux s’étaient logés dans les plaies. Mais je ne pouvais pas laisser partir l’amour de ma vie. « En fait … tu aimes toujours ton ex … » Je ne savais pas trop pourquoi je lui disais ça. Mais visiblement il fallait que ça sorte. J’allais tuer cette peste de London, j’allais l’étriper, lui arracher le cœur et lui faire comprendre ce que ça faisait. Sans que je m’en rende compte, j’étais tombée à terre, à genoux dans une flaque d’eau et de boue, mes forces venaient de me lâcher, l’amour m’avait pris toute la combativité que j’avais. « Nick … je t’aime… j’aurais dû te le dire il y a trois ans… mais je… j’avais peur. Peur que tu me brises le cœur … Ne me laisse pas, je t’en sup… » Je me tut. Je ne voulais pas qu’il reste parce que je le suppliais, je voulais qu’il reste parce qu’il m’aimait. Parce qu’il éprouvait les mêmes sentiments que moi…
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» emploi/étude : Architecte & Agent immobilier, prof de maths particulier et Pompier Volontaire
» numéro de maison : Sur Madison Avenue, au dessus de son agence

Can you keep a secret ?
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Nickolas D. Ainsworth
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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitimeJeu 1 Mar 2012 - 20:03

    « NICK … NICK NE PARS PAS … »


Il pleuvait dru, dehors. De grosses goutte d'eau tombaient en trombe sur le goudron d'Hepburn Street, se mêlaient à la boue, formaient de la gadoue, et trempait tout ce qui atteignable. Les toits des maisons, les pelouses vertes, les boîtes aux lettres blanches et certainement leur contenu, et les deux seules personnes qui avaient fait la connerie de sortir de leur maison. Leur vêtements étaient trempés, leur cheveux dégoulinants, et leurs visages ravagés. Cette fois, ce n'était pas la pluie. C'étaient les larmes, la tristesse, la culpabilité, l'amour. Nickolas ne voulait pas se retourner. Il ne voulait pas l'embrasser parce qu'il en avait marre de lutter, il voulait ne plus avoir à lutter. Il voulait que tout soit clair, que tout soit vrai. Quand il l'entendit lui crier de s'arrêter, ce fut comme si un poing l'avait frappé en plein thorax, mais il continua. Il fallait qu'il tienne bon. Il savait que s'il se retournait, il finirait par la perdre, comme Orphée avait finit par perdre son Euridyce, qui sortait tout juste des Enfers. Il n'y avait qu'une règle. Ne pas se retourner avant d'arriver à la cime des forêts, avoir confiance dans le roi des Enfers, Pluton. Si Orphée avait tenu ne serait-ce que quelques mètres de plus, il aurait pu vivre jusqu'à sa mort avec son Euridyce. Il s'était retourné. Il l'avait perdu, à jamais. Nickolas ne voulait pas commettre la même erreur. Il ne voulait pas la perdre. Il ne voulait pouvoir l'aimer comme elle le méritait. C'est à dire sans mensonges. Il n'était pas prêt à tout lui expliquer, et savait qu'il ne tiendrait pas, que son désir était trop grand, qu'un regard posé sur elle et tout était ruiné, il lui ferait l'amour sur des mensonges, et aussi idiot et futile que ça puisse paraître, il ne le voulait pas.

    « Nick, de quels mensonges tu parles … ? Du fait que tu m’ais dit que tu m’aimais ? … »


Il fallait qu'il tienne, absolument, même si ça le tuait. Comme si c'était un mensonge, comme si il aurait pu dire à quelqu'un qu'il l'aimait si ce n'était pas vrai. Il l'aimait tellement, du plus profond de son âme, il aimait tout chez elle. Il aimait son visage, ses yeux, son rire, sa façon de marcher, de courir, ses manies, son intelligence, tout, tout. Il l'aimait un peu plus chaque jour, si seulement c'était encore humainement possible. Disait-elle cela pour le provoquer ? Était-ce son moyen de le garder près d'elle ? Elle avait presque réussi en tous cas. Nickolas s'était arrêté, avala difficilement sa salive, porta une main à son cœur, qui battait difficilement. Il fallait qu'il continue d'avancer, qu'il tienne bon, pour que sa relation avec Hazel tienne bon aussi. Elle ne le comprenait pas, et il ne pouvait pas lui en vouloir, c'était lui, c'était ses obsessions. Il lui faisait du mal, mais savait que c'était pour le mieux. Il savait qu'ils seraient mieux, après, qu'ils seraient bien, quand ils auraient pris le temps de se calmer, de penser, et par dessus tout de se parler. Dans un lieu public de préférence, pour éviter les "tentations", quoi que (a), comme un café, ou un restaurant. Il fallait laisser couler quelques jours, quelques nuits. Il ne pourrais pas plus de toutes façons, déjà qu'une semaine loin d'elle l'avait presque tué, mais il le fallait, Nickolas en avait besoin.

    « En fait … tu aimes toujours ton ex… »


Nickolas eu la nausée. Que cherchait-elle ? À l'énerver ? Pourquoi disait-elle cela ? N'avait-elle donc rien écouté à ce qu'il venait de lui dire ? Je t'aime. Ou plutôt n'avait-elle pas compris ? Que l'aimer elle signifiait ne pouvoir n'en aimer aucune autre, et encore moins London ! Voilà où l'avait mené son mensonge. S'il avait dit « J'ai passé une fin de semaine horrible, comme une larve au fond de mon lit tellement tu me manquais », tout cela ne serait pas arrivé. S'il avait été honnête, jamais elle n'aurait douté de ses sentiments pour elle. Nickolas cacha son visage entre ses mains, toujours arrêté. Mais quel con, mais comment avait-il pu faire ça, comment ? Hazel continua dans son monologue :

    « Nick … je t’aime… j’aurais dû te le dire il y a trois ans… mais je… j’avais peur. Peur que tu me brises le cœur … Ne me laisse pas, je t’en sup… »


Les jambes de Nickolas tremblaient, un peu plus et il tombait. Il céda. Il se retourna. Il laissa lui échapper un gémissement en voyant son Hazel par terre trempée. Même ainsi, le visage bouffi par les larmes, la peau hérissée à cause du froid, l'air tellement désespéré, il la trouvait belle. Belle. Pas jolie. Pas mignonne. Pas charmante. Non. Belle. C'était l'adjectif entre tous ceux cités précédemment qui la qualifiait le mieux, vraiment.

Nickolas se mordit la lèvre, s'arrêta à mi-chemin, ferma les yeux, sentit son cœur frapper contre ses côtes. Il ne savait plus quoi faire, il était plus perdu que jamais. Il n'aurait pas dû se retourner, il ne fallait pas risquer de la perdre, car les mensonges ressortiront forcément, un jour. Mais il rouvrit les yeux, et s'avança décidé vers Hazel. Il s'agenouilla près d'elle, entoura son doux visage de ses paumes chaudes bien que trempées. Nickolas avait chaud de partout, il avait de la fièvre. Il dit, doucement.

    « Je suis amoureux Haz'. Amoureux de toi, et seulement de toi. Mon coeur est à toi. Mais je ne veux pas tout précipiter, même si ça fait trois ans que j'attends ce moment. Je ne veux pas ... Je  ne veux plus te mentir. »


Sans ajouter un mot, Nickolas déposa un doux baiser humide sur la bouche de Hazel, et avant de se sentir emporté par le désir, il se releva, se retourna à nouveaux, et se mit à courir, le plus vite possible, vers ... Il ne savait pas où, mais ce n'était pas ce qui comptait. Il ne fuyait pas. Il cherchait l'entrée de sa nouvelle aventure ...

THE END
De mon côté, et c'est toi qui va sceller, si tu le souhaites :)
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MessageSujet: Re: I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE]   I can't keep up, I'm Under your thumb ♣ Nickolas&Hazel [TERMINE] Icon_minitime

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