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 HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.

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MessageSujet: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeVen 23 Déc 2011 - 10:41

HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Tumblr_lg7hg1exed1qcv6i8o1_500


  « Ouais bébé. Je suis chez toi dans dix minutes, et j’m’en tape si ta mère est là. » Je raccroché avant qu’elle ne puisse dire quoi que ce soit. Depuis que la directrice Anderson nous avait découvert entrain de baiser dans les toilettes des filles il y a trois semaines, elle ne pouvait plus me voir en peinture. Pourtant je n’avais rien fait de mal, ne se doutait-elle pas que sa fille était une vraie chaudasse ambulante ?
La première semaine de nos vacances venait de passer si rapidement que je n’avais pas encore eu le temps de voir Hell. Et il fallait dire que depuis la disparition de Bee le groupe que nous formions s’était un peu dispersé.

« Jules ! Tu vas où ? Nous ne sommes à la maison qu’un weekend par mois, nous sommes rentré un vendredi exprès pour toi, et que trouvons nous ? Une convocation chez la directrice Anderson … Qu’as-tu fait encore ? » Ca faisait à peine quatre heures qu’ils étaient à la maison et ils commençaient déjà à me les briser. Mes parents adoptifs étaient sans cesse en voyages d’affaires, je ne les voyais jamais. Je vivais seul et ça me convenait parfaitement, pas de compte à rendre, à personne. « Quoi encore ?! C’est bon j’étais juste entrain de passer du super bon temps avec Hell Anderson dans les toilettes, si vous voyez ce que je veux dire … !! » Après tout ils me demandaient pourquoi je m’étais fait renvoyer de cours pendant trois jours, je n’allais pas leur mentir, du genre « Ho moi convoqué ? Ho bha non je ne sais pas, je ne suis pas au courant… » Bha voyons !

Dix minutes plus tard, après avoir claqué la porte de ma maison et être parti sur les chapeaux de roues, je me retrouvais devant la grande maison des Anderson.
La pluie se mit à tomber juste au moment où j’ouvrais la portière faisant coller mon tee-shirt. Je couru jusqu’à la porte d’entrée et me callais contre le chambranle de la porte après avoir frappé.
Hell arriva et m’ouvris la porte, elle était légèrement décoiffée et visiblement je l’avais prise au dépourvu. « Humm, j’adore ton petit pyjama rose bébé. Je pourrais peut-être te l’enlever… si tu as besoin d’aide pour t’habiller bien sur. » Je lui servis mon sourire arrogant accompagné de mon regard aguicheur. Après tout, après notre dispute en sport, elle me devait bien ça. «  Ta mère est là ?! »


Dernière édition par Jules H. McDowell le Lun 2 Jan 2012 - 19:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeVen 30 Déc 2011 - 10:49

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  « Ouais bébé. Je suis chez toi dans dix minutes, et j’m’en tape si ta mère est là. » Venait-il vraiment de me raccrocher au nez?! Il était encore tôt dans la matinée quand Jules m'avait appelé. Je trainais d'ailleurs dans mon lit, Sex & the city en fond sonore, ce n'était pas comme si je pouvais faire quelque chose d'autre. Deux jours plus tôt nous nous étions fait prendre en plein ébats dans les toilettes du lycée par ma mère, la proviseur, qui plus est. Autant dire que le savon qui s'en était suivi était salé... Résultat, suspendus pendant trois jours, pile durant la période des fêtes, la seule période intéressante au lycée. En plus de cela j'étais obligée de rester chez moi pendant trois semaine, sans sortie, le bagne quoi! Une chance que mon père, passé le premier choc, se soit rangé de mon côté, mon regard de teckel larmoyant ayant fait son travail, sinon j'étais bonne pour 1 mois! Voir 2! Toujours est-il que ne rien faire me donnait une flemme monumentale, c'était assez triste à dire mais je mourrais d'envie de retourner au lycée, ma santé en dépendait, mes seuls déplacements étaient lit/douche, douche/lit, lit/frigo, frigo/lit. Bien que je n'ai jamais été au top du glamour à l'heure actuelle je ne ressemblais plus à rien. Et pourtant je n'avais aucune envie de faire un effort, même pour Jules. Après tout c'était de sa faute si j'étais dans cet état. Il s'était arrangé pour que je sorte de cours et il m'avait poussé à m'envoyer en l'air dans les toilettes, sous prétexte qu'on n'avait encore jamais essayé. Ok je ne m'étais pas faite prier bien longtemps mais comment j'aurais pu savoir que ma mère réagirait si violemment, elle est plutôt cool d'habitude et puis d'après les dire de mon père elle était assez libérée dans sa jeunesse... Enfin bref tout ça pour dire qu'au lieu de me préparer à recevoir Jules j'ai préféré regarder, pour la millième fois cet épisode de Sex & the city. Et c'est tout aussi calmement, et toujours en pyjama que j'ai été lui ouvrir la porte fière de lui faire constater la conséquence de ses actes. « Humm, j’adore ton petit pyjama rose bébé. Je pourrais peut-être te l’enlever… si tu as besoin d’aide pour t’habiller bien sur. » Encore ce fichu sourire arrogant, c'est dingue ce qu'il peut me donner envi de le frapper! Je ne pris même pas la peine de répondre, me décalant légèrement pour le laisser entrer «  T’as mère est là ?! » Pourquoi posait-il la question?! Contrairement à nous elle allait au lycée elle, tout comme mon père travaillait aussi. C'était au moins ma satisfaction dans cette punition, je n'avais pas à supporter son regard réprobateur. « Non elle est au lycée, mais je peux l'inviter pour un plan à trois si ça t'intéresse tant! Quoi qu'on pourrait presque aller faire ça dans son bureau ça serait encore plus drôle! »
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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeLun 2 Jan 2012 - 19:14

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« Non elle est au lycée, mais je peux l'inviter pour un plan à trois si ça t'intéresse tant! Quoi qu'on pourrait presque aller faire ça dans son bureau ça serait encore plus drôle! » Elle m’en voulait un max. Mais après tout ce n’était pas entièrement ma faute si nous étions exclus trois jours du lycée. C’était elle aussi avec ses regards aguicheurs, sa bouche pulpeuse et son déhanché. Il ne Fallait pas qu’elle me bouscule dans le couloir … Nous étions tous les deux fautifs dans cette histoire, alors elle devait rapidement arrêter de s’en prendre à moi ou j’allais devoir la calmer une nouvelle fois. Je balayais sa remarque d’un geste de la main et ouvrais un peu plus la porte pour pouvoir entrer. « T’as le feu au cul ou quoi ? Moi ça me tenterait bien un petit plan à trois, en plus je parie que ta mère serait chaude comme la braise … » Je lui sortis mon sourire arrogant. Je savais qu’elle n’allait pas aimer ma remarque et je m’attendais à recevoir une claque ou une frappe. Mais j’adorais quand elle était violente, ça me mettait toujours en jambe si vous voyez ce que je veux dire. Tout en quittant ma veste – hé oui, je m’habille en hiver, je ne passe pas ma vie à poil, il faut croire – je retirais mes chaussures et entrais un peu plus dans la maison que je connaissais par cœur.

« A voir ta tête, on dirait que t’as pas envie de me voir. Je me casse s’tu veux. Je passais pour te tenir un peu compagnie. Après tout on s’est fait virer tous les deux, alors à quoi bon rester chacun de son côté si on peut se retrouver. T’es pas d’accord ? » Je lui fis un petit sourire avant de me diriger dans la cuisine et d’ouvrir le frigo. Je savais qu’elle n’aimait pas quand je faisais ça, mais pour une fois je n’allais pas lui prendre un truc pour moi tout seul. Je sortis donc la brique de jus d’orange, ainsi que deux verres dans le placard qui se trouvait juste à côté du plan de travail. Je lui servis un verre et glissais ce dernier, sur la table, jusqu’à elle. « Bon allez, qu’est-ce-qui se passe dans ta petite tête blonde ? T’as les boules parce que t’es coincée chez toi à cause de moi ? Enfin on peut pas vraiment dire que je sois le seul fautif quand même. Quoi Hell ? » Je la regardais dans les yeux, l’obligeant à me répondre. Et je n’aimais réellement pas me sentir en trop. Je bus une gorgée de mon jus avant de continuer « Tu veux que je me casse ? Parce que sincèrement j’aime pas quand t’es comme ça. Et si c’est pour que tu me lances ton regard de « jevaist’etripertoutt’arrachermêmelescouilles », toute la journée, je préfère te laisser me haïr toute seule. » Je reposais mon verre sur la table et me décalais un peu, attendant une réponse d’Hell.

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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeLun 2 Jan 2012 - 21:47

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  « T’as le feu au cul ou quoi ? Moi ça me tenterait bien un petit plan à trois, en plus je parie que ta mère serait chaude comme la braise … » Le coup était parti, rapidement, sans même que Hell n'ait le temps de le retenir, en plein dans le ventre, un coup de point qui malgré son petit gabarit était d'une force impressionnante. Mais la jeune femme ne s'en voulait même pas, de toute manière il l'avait cherché, elle avait le droit de faire de l'ironie sur sa mère, lui en revanche n'avait pas obtenu la permission d'en faire de même, d'autant que la blondinette était sûr qu'il pensait toutes ses paroles. « Ferme là idiot! » C'était de la faute de ce stupide sourire arrogant, ce sourire qui lui ouvrait toutes les portes, et bien à Hell, il lui donnait juste envi de le frapper et cet idiot avait l'air d'apprécier ça, ce qui rendait la situation encore plus désespérante.
Jules se remis vite en selle puisqu'il recommença à faire son beau goss prétentieux, traversant la maison et se mettant à l'aise comme s'il était chez lui. Il savait très bien que cela l'énervait mais il le faisait sans cesse, prenant plaisir à la voir bouillir. « A voir ta tête, on dirait que t’as pas envie de me voir. Je me casse s’tu veux. Je passais pour te tenir un peu compagnie. Après tout on s’est fait virer tous les deux, alors à quoi bon rester chacun de son côté si on peut se retrouver. T’es pas d’accord ? » La jeune femme mourrait d'envie de lui dire qu'il avait qu'à prendre la porte mais elle savait très bien qu'elle le regretterait, il était après tout sa seule distraction depuis plusieurs jours. Et en y réfléchissant bien elle avait envi que sa mère arrive et le trouve ici, peut-être même entre ses cuisses, une sorte de vengeance personnelle lui signifiant qu'elle n'avait pas son mot à dire quant à sa vie sexuelle. Afin donc de ne pas le vexer sans pour autant lui prêter de l'attention la jolie blonde haussa les épaules. Au fond elle en avait après lui pour des tonnes de raison, pas seulement cette histoire au lycée puisque de toute manière ce n'était pas la première fois qu'elle était exclu ou punie. Elle avait même récemment entendu une rumeur selon laquelle Jules couchait avec Liz Monroe. Et même si ils n'avaient convenu de rien à ce sujet la jeune femme n'appréciait pas de passer pour l'idiote de service, celle qui partage ses mecs avec toutes ses copines. « Bon allez, qu’est-ce-qui se passe dans ta petite tête blonde ? T’as les boules parce que t’es coincée chez toi à cause de moi ? Enfin on peut pas vraiment dire que je sois le seul fautif quand même. Quoi Hell ? » Il était sérieux là?! Il se prenait pour le centre de son monde ou quoi?! La jeune fille lacha un petit rire, cette remarque était plutôt drôle au fond. Tout le monde la voyait comme la fille qui se fout des règles et lui se demandait si elle boudait pour une petite punition. « Je m'en fous de cette histoire. » Hell marmonait, parce qu'au fond elle voulait lui balancer en plein figure ce qui la dérangeait mais le faire signifiait avouer qu'elle y apportait de l'importance. « Tu veux que je me casse ? Parce que sincèrement j’aime pas quand t’es comme ça. Et si c’est pour que tu me lances ton regard de « jevaist’etripertoutt’arrachermêmelescouilles », toute la journée, je préfère te laisser me haïr toute seule. » La blondinette attrapa le verre de jus d'orange qu'il lui avait servit, on aurait presque dit que c'était lui qui vivait ici. « Il parait que tu te tapes Liz Monroe! Alors elle est comment au lit?! » Hell lui avait dit ça de façon naturelle, comme si elle faisait partie de ses potes de football et qu'ils discutaient des meilleurs coup du lycée dans les vestiaires après l'entrainement, allant même jusqu'à lui donner une petite tape sur l'épaule comme pour l'encourager, le féliciter.
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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeLun 9 Jan 2012 - 14:03

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La maison de Hell était d’une étonnante simplicité, mais restait très classe. On reconnaissait bien dans cette décoration, la mère d’Hell et c’était ce qui me plaisait ici. On s’y sentait bien. Tout en attendant une réponse de ma belle blonde, je m’accoudais sur le plan de travail, buvant une nouvelle gorgée de mon jus de je ne sais plus quoi. « Il parait que tu te tapes Liz Monroe! Alors elle est comment au lit?! » Je me mis à rire, me faisait-elle réellement une crise de jalousie ? Enfin connaissant Hell c’était étonnant mais en voyant son air je comprenais rapidement que cette liaison la dérangeait. « Ho Hell épargne moi ça. Ne me dis pas que tu es … euhm, pourrais-je dire « Jalouse » ?! » Je venais d’avoir l’impression de parler à mon meilleur ami, dans les vestiaires du gymnase. Je me redressais donc, continuant de la fixer dans les yeux, et m’approchais d’elle et de son joli pyjama rose. « Et sinon pour répondre à ta question, ouaip, je me tape la petite Monroe. Tu sais, c’est assez compliqué. On ne peut pas se voir en peinture, et pourtant sous la couette c’est … » Je secouais la tête et me détournais de son visage pour m’avancer dans le salon.

Je repérais au passage quelques photos de Hell bébé, très attendrissant. Tout en saisissant le cadre, je lui lançais : « Et puis Hell, je sais très bien que tu te tapes la moitié de la ville –Je suis d’ailleurs persuadé que tu es comme ta mère et qu’elle fait semblant de ne rien voir. Après tout telle mère telle fille… » Un sourire se dessina sur mes lèvres, j’adorais taquiner Hell à propos de sa mère, surtout depuis que cette dernière nous avait surpris, sa fille et moi, dans les toilettes du lycée, les fesses à l’air. C’était une situation qui aurait pu en gêner plus d’un, mais pour ma part, c’était plutôt une situation qui m’avait amusé, grandement amusé. Je savais pertinemment qu’à cette remarque j’allais de nouveau me prendre un coup de poing mais j’adorais quand elle était violente avec moi. « Ne fais pas comme si ça te faisait quelque chose de savoir que je couche avec elle. Je croyais que vous vous entendiez bien moi ?! Après tout, entre amies, on se prête tout. Dis-toi que je ne suis qu’un jean… C’est à peu près ça dans ta tête non ? Tu n’en as rien à faire de moi … Mais ne t’en fais pas, ça ne me fait ni chaud ni froid. » Bon je l’avoue, sur la dernière partie je m’entais légèrement. Je savais qu’au fond de moi ça me faisait du mal de savoir que je n’étais qu’un passe temps, mais il fallait que je me fasse à l’idée. C’en était ainsi.

Je lui fis face, attendant le coup, mais je la stoppais d’une main en l’air, avant qu’elle ne fasse quoi que ce soit. Je soulevais mon T-shirt, et regardais mes abdos, une grosse marque rouge tronait au centre de mon ventre. « Rho Hell, ta maman ne ta jamais dis de ne pas abîmer tes jouets ?! Tu crois que je vais durer encore longtemps si tu m’bousilles comme ça, à longueur de temps ?! Incorrigible enfant. En plus t’sais que j’ai encore tes griffures sur les fesses … Ca me pique parfois. Mais bon c’est un doux souvenir de notre heure torride dans les toilettes. D’ailleurs de faire ça dans un lieu publique ça m’avait grandement excité … A refaire tiens. » Je lui fis un clin d’œil, le genre de clin d’œil qui veut dire « Je sais que tu en meurs d’envie aussi … ». Et il fallait dire que là, tout de suite, dans son joli petit pyjama rose, elle me faisait un effet bœuf.


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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeMar 17 Jan 2012 - 21:59

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  « Ho Hell épargne moi ça. Ne me dis pas que tu es … euhm, pourrais-je dire « Jalouse » ?! » Comme c'était prévisible, il était si sûr de lui et prétentieux en cet instant que ça en devenait écoeurant. Certe Hell avait fait un erreur en faiant cette stupide remarque au sujet de sa vie sexuelle, maintenant il se sentait puissant et en position de force, comme si elle était à ses pieds mais jamais la blondinette ne s'abaisserait à cela. Il lui fallait reprendre le contrôle de la situation et vite. « Jalouse?! Epargne moi ça t'es pathétique... Je me renseigne des derniers ragots comme n'importe quelle fille. » C'était totalement faux et un enfant de cinq ans l'aurait compris mais n'importe quel mensonge était bon à prendre pour se sortir de ce pétrin. Après tout ce n'était pas normal que cela la rende furieuse, depuis quand se souciait-elle des fréquentations de Jules, lui le tombeur de ses dames?! Au début elle s'était pourtant promis de ne pas tomber dans ses filets, être un simple nom dans une liste de conquête très peu pour elle, mais il lui avait fait croire qu'elle serait plus que ça. Que demandait-elle au juste?! Comme s'il allait changer pour elle, ce n'était pas comme si leur relation avait quelque chose de sain, elle couchait juste avec lui comme toutes les autres, elle voulait quoi, être sa favorite peut-être? Celle qui transformerait le méchant garçon en prince charmant?! Cette blague! Ce n'était pas un prince mais un affreux crapaud. « Et sinon pour répondre à ta question, ouaip, je me tape la petite Monroe. Tu sais, c’est assez compliqué. On ne peut pas se voir en peinture, et pourtant sous la couette c’est … » A cet instant Hell avait juste envie de lui flanquer une bonne grosse claque, lui faire une crise de jalousie en bonne et du forme, un peu comme dans les film en fait. Évidemment comme n'importe quelle fille elle avait rêvé de cette scène fabuleuse qu'elle devait forcement connaitre un jour, cette scène de la claque magistrale qui se suit d'un baiser passionné révélation de tout l'amour que les protagonistes se portent. Mais le moment semblait mal choisi, et le partenaire aussi apparemment, Jules n'avait rien du mec idéal elle ne risquait donc pas de gâcher sa scène avec lui maintenant. « Tu vas me faire vomir! » A dire vrai rien que l'idée de l'imaginer étaler le corps de Liz sauvagement sur une table lui donnait la nausée mais Hell ne savait plus si c'était vraiment une nausée ou juste de la jalousie. Préférant couper court à la conversation afin de ne pas s'enfoncer plus Hell se tut quelques instants, regardant Jules s'éloigner dans le salon tout en regardant divers cadre. « Et puis Hell, je sais très bien que tu te tapes la moitié de la ville –Je suis d’ailleurs persuadé que tu es comme ta mère et qu’elle fait semblant de ne rien voir. Après tout telle mère telle fille… » Là la jeune femme hallucinait complètement, ce mec, qui était venu chez elle pour on ne sait trop quelle raison, l'insultait sans prendre de gants, la traitant de salope ouvertement et associant sa mère au même qualificatif. Elle devai rêver ça ne pouvait être que ça, enfin plutot cauchemarder en fait, jamais Jules ne s'était montré si horrible avec elle. Pour dire vrai jamais personne ne s'était montré si horrible avec elle. « Tu sais quoi on a qu'à revenir au début de la conversation quand tu te proposais gentiment de dégager. Alors casse toi tu me dégoute comme mec. » En réalité Jules ne la dégoutait pas tant que ça mais lui donnait surtout envie de pleurer. Elle qui pensait être spéciale aux yeux du jeune homme se révélait être une parmi tant d'autres, voir même pire que les autres. La blondinette n'avait d'ailleurs aucun mal à l'imaginer se vanter de ses conquête pendant l'entrainement de football, comparant Hell et Liz sur qui à la plus jolie paire de boobs. « Ne fais pas comme si ça te faisait quelque chose de savoir que je couche avec elle. Je croyais que vous vous entendiez bien moi ?! Après tout, entre amies, on se prête tout. Dis-toi que je ne suis qu’un jean… C’est à peu près ça dans ta tête non ? Tu n’en as rien à faire de moi … Mais ne t’en fais pas, ça ne me fait ni chaud ni froid. » Là s'en était trop pour Hell, si le jeune homme voulait garder la vie il valait mieux pour lui qu'il sorte de cette maison dans la seconde. La jolie blonde le rejoint d'un pas rapide, le visage fermé, les traits tirés, toute cette histoire ne la faisait plus rire, il allait trop loin. Elle leva la main avant de la rabattre avec force en espérant toucher le jeune homme mais Jules l'avait déjà attrapé pour l'empêcher de frapper. Il se mis alors à sourire, en soulevant son T-shirt dévoilant des abdos un peu égratignés, de magnifiques abdos néanmoins. « Rho Hell, ta maman ne ta jamais dis de ne pas abîmer tes jouets ?! Tu crois que je vais durer encore longtemps si tu m’bousilles comme ça, à longueur de temps ?! Incorrigible enfant. En plus t’sais que j’ai encore tes griffures sur les fesses … Ca me pique parfois. Mais bon c’est un doux souvenir de notre heure torride dans les toilettes. D’ailleurs de faire ça dans un lieu publique ça m’avait grandement excité … A refaire tiens. » Un clin d'oeil aguicheur, comme si elle allait rentrer dans son jeu. En temps normal elle aurait accepté ce genre de remarque un peu coquine, cela l'aurait fait rire mais il l'avait blessé avant tout, et la blondinette déjà plutôt amochée depuis la disparition de Brittany n'avait plus la force de lutter, plus aucune carapace, son seul plaisir était maintenant de lui faire du mal comme il lui en avait fait. C'est pourquoi, sans se dégager de son emprise, et d'un ton calme et posé elle lui expliqua pas a+b quel être insignifiant il était. « Ecoute moi bien maintenant. Je suis pas un jouet et je suis encore moins ton jouet. Je suis pas non plus une trainée, j'ai fait l'erreur de coucher avec toi mais ne t'inquiète pas je ne recommencerais pas. Alors ne prend plus jamais le risque de me parler comme tu viens de le faire. T'es qu'un minable, pathétique, tu te crois grand et fort, désiré, mais t'es juste un branleur dont personne ne veut qui cherche de l'amour dans les jupes des filles. Et si tu l'as pas encore compris moi non plus je veux pas de toi. »

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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeMar 17 Jan 2012 - 23:18

Encore une journée de boulot qui s'achève. Elle était presque comme les autres, en somme, sauf que Hell n'était pas au lycée, elle a été suspendue pour trois jour, par moi. C'est vrai, je conçois que c'est étrange comme concept de suspendre sa fille mais j'estime que j'aurais fait ça pour n'importe quel élève, alors ça semblait logique. Il n'y a pas de raisons qu'elle ait un traitement de faveur, c'est tout. Je rendre donc du MFHS dans ma voiture, en écoutant un cd des cranberries et en chantant à tue tête. Ne vous en faites pas, on s'y habitue, à force de vivre avec moi... Je ne suis pas ce qu'on peut appeler le stéréotype du proviseur archi coincé! Après avoir garé ma voiture, j'entre dans la maison toujours en fredonnant "Just my imagination''. J'enlève mon manteau et l'accroche à la parterre puis dépose les clefs sur le buffet. J'allais crier à Hellana que je suis rentrée, mais j'entends un "Et si tu l'as pas encore compris moi non plus je veux pas de toi. " qui provient de la cuisine. Intriguée, je me dirige vers cette pièce et constate, avec surprise que ma fille discute, habillée cette fois ci, avec Jules Mc Dowell. Dans l'encadrement de la porte, je dis, froidement : Je ne t'interdirai pas d'entrer dans cette maison si c'est ma fille qui t'y invite, mais la connaissant un minimum, j'pense être bien placée pour dire qu'elle est énervée, et je n'y suis pour rien. Il me suffit d'un mot ou d'un regard de ma fille pour te faire sortir d'ici, et j'hésiterai pas à appeler les flics s'il le faut. Je ne le quitte pas des yeux, pensant le moindre mot de ce que je viens de dire, puis ajoute : Ais-je été assez claire ? Je regarde ensuite Ana, en espérant qu'elle ne m'en veuille pas pour ce que je viens de faire. Mon intention n'était vraiment pas de la mettre dans l'embarras, j'ai simplement pas réfléchi. Maintenant je me rends compte que c'était pas forcément très malin, mais je pense qu'elle comprendra.

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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeMar 21 Fév 2012 - 21:29

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Un connard, voilà ce que j’étais, et je le savais parfaitement, on avait pas besoin de me le répéter à longueur de journée. Mais si j’endossais ce rôle c’était pour me protéger, comme d’autre était timide ou exubérant, moi j’étais un connard finit. Et je me complaisais dans ce rôle, mais lorsqu’Hell commençait à me dire mes quatre vérités, je me rendais compte que j’avais envie de tout plaquer. Lui prouver que je n’étais pas ce type imbu de lui-même, incapable de penser aux autres et méchant par-dessus le marché. Mais je ne pouvais pas, c’était trop tard, elle croirait que je me fous d’elle. Je ne pouvais plus faire machine arrière. C’est pour ça que lorsqu’elle commença à se retourner contre moi en me balançant « Tu sais quoi on a qu'à revenir au début de la conversation quand tu te proposais gentiment de dégager. Alors casse toi tu me dégoute comme mec. » Je savais qu’allait s’en suivre un combat acharné entre nous deux. Je tenais à Hell comme personne. Elle était la seule qui me mettait en émois mais elle était aussi celle qui me poussait à bout. A force de me montrer que je n’étais rien pour elle, elle me faisait dire des choses que je ne voulais pas, des choses, pour la plupart du temps, méchantes. Finalement je lui rendais ce qu’elle m’infligeait. Notre relation était basée sur l’amertume que nous éprouvions vis-à-vis de l’autre. Nous ne faisions que nous blesser à longueur de journée sans s’en rendre compte et sans pouvoir rien faire pour stopper ça d’ailleurs. Si j’avais envie d’une seule chose et de lui faire comprendre que je rêvais d’elle la nuit. Que lorsque je couchais avec d’autres nanas –qui ne lui arrivaient pas à la cheville entre nous – c’était son nom que je soupirais, son corps que je voyais sans cesse. Mais elle me prendrait pour un looser. Les filles comme elles ne sortaient pas avec un gars pour bien longtemps. Au final elle était moi en féminin. Si je devais me réincarner en femme, j’aurais pris le corps d’Hell. Mais il y avait cette attraction entre nous. Cette envie de braver tous les interdits pour êtres ensembles. Mais lorsque l’on commençait à se sentir bien ensemble, à devenir presque couple, alors l’un de nous se devait de tout gâcher. Comme si une malédiction avait été jetée sur nous deux. Nous ne pouvions être ensembles, juste nous faire du mal réciproquement. Je le haïssais au fur et à mesure que mon amour grandissait pour elle. Elle me rendait vulnérable, banal, simple, amoureux …

Et tout de suite tout pris une ampleur différente. C’était comme si j’étais en plein fight. Lors d’un round de MMA (combat totalement libre). Ca me rappelait cette rage qui animait mon regard quand je frappais sans retenue. « Ecoute moi bien maintenant. Je suis pas un jouet et je suis encore moins ton jouet. Je suis pas non plus une trainée, j'ai fait l'erreur de coucher avec toi mais ne t'inquiète pas je ne recommencerais pas. Alors ne prend plus jamais le risque de me parler comme tu viens de le faire. T'es qu'un minable, pathétique, tu te crois grand et fort, désiré, mais t'es juste un branleur dont personne ne veut qui cherche de l'amour dans les jupes des filles. Et si tu l'as pas encore compris moi non plus je veux pas de toi. » Moi qui riait, je perdis tout de suite mon sourire aguicheur. Ma réaction fut telle que mes poings se serrèrent tout seuls, mes jointures devinrent blanches, jusqu’à me faire mal. Une lueur de rage passa dans mon regard. Je ne comptais certainement pas frapper Hell ho non. Jamais. Mais je ne connaissais pas cette douleur qui me tiraillait. Hell venait de me ruiner, de m’assassiner, de me réduire à néant. J’allais sortir de sa vie. J’allais l’oublier aussi rapidement, en aussi si peu de temps qu’elle en avait mis pour me balancer tout ça à quelle gueule. Y avait-elle déjà pensé ? Savait-elle déjà qu’elle allait me tenir ces propos ? J’étais devenu ce putain d’amoureux transi en moins de deux, et elle m’avait détruit en moins de temps qu’il en faut pour le dire.

Je me détournais. Que pouvais-je lui répondre à part lui dire «J’pense bien que t’es une trainée comme moi je suis un baiseur. Alors tu la fermes. Si tu crois me blesser tu n’y es pas du tout. Toi aussi tu penses être aimée, mais à part pour ton cul et ta paire de seins, les mecs ne t’apprécient pas. J’pense bien être le seul. Et les meufs, tu crois qu’elles te tournent autour pour quoi ? Tu penses qu’elles veulent être tes amies ? Non. Elles ne souhaitent qu’une seule chose, te faire tomber et te piétiner. Après Bee, tu es la deuxième plus adorée du Lycée, même de la ville, tu penses pas qu’elles voudraient avoir ta place ? Alors avant de me dire que je suis minable regardes toi. Je suis le seul à accourir quand tout ne va pas dans ton petit monde… tu ne te rends même pas compte de ça. » Non, je n’allais pas lui dire ça, certainement pas. Je n’étais pas ce genre de mec au fond, pas celui qui allait se justifier. J’avais dit ce que j’avais dit. Fait ce que j’avais fait. Point barre.

Hell me mettait littéralement dehors, c’est pourquoi je n’allais pas me faire prier pour foutre le camp. Mais au moment où je me retournais, mon regard se posa sur la mère de Hell, dans l’encadrement de la porte, tous sourcils froncés. « Je ne t'interdirai pas d'entrer dans cette maison si c'est ma fille qui t'y invite, mais la connaissant un minimum, j'pense être bien placée pour dire qu'elle est énervée, et je n'y suis pour rien. Il me suffit d'un mot ou d'un regard de ma fille pour te faire sortir d'ici, et j'hésiterai pas à appeler les flics s'il le faut. » Qu’avais-je donc fait au bon dieu ?! Tout le monde me tombait dessus. Je secouai la tête et fermai les yeux quelques secondes, afin de reprendre mes esprits et ne pas tout balancer. Mes poings étaient toujours deux vrais étaux, et ils n’étaient pas prêt de se desserer. « Oui vous avez été bien clair Madame Anderson. J’ai bien compris que votre fille me haïssait. Vous ne me reverrez pas. J’étais le seul –ou presque- a l’apprécier pour ce qu’elle est vraiment … Mais ne vous inquiétez pas, je disparais de vos vies. » Une rage m’animait. Les tensions qui régnaient en maitre dans la pièce me rendaient irritable, principalement Hell en fait. Je frôlais sa mère, faisant voler quelques mèches blondes. J’avais la haine envers la jeune Anderson. J’avais envie de me frapper pour avoir – et toujours – éprouver des sentiments pour elle. Mais au fond j’espérais secrètement qu’elle dise quelque chose …



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Les choses échappaient totalement du contrôle de la jeune femme. Rien n'aurait du se passer ainsi, en temps normal il la blessait et elle le blessait et ils finissaient par se réconcilier. Mais cette fois-ci Hell avait été trop loin et elle le savait. Cela se voyait dans les yeux de Jules, le jeune homme la haïssait au moins autant qu'elle espérait le haïr mais la jolie blonde savait que malgré ses propos elle ne ressentait pas ce genre de sentiments bien au contraire elle tenait tellement à lui qu'elle se détruisait pour l'oublier. Hell aurait voulu ravaler tous ces mots blessants, revenir en arrière de quelques minutes seulement, franchir la ligne dans l'autre sens et n'avoir jamais dépassé cette limite. La jeune fille savait bien que plus rien ne serait pareil entre eux, peu importe la rancoeur qu'elle éprouvait pour lui, Jules ne méritait pas qu'on lui tienne un tel discours, il avait trop subit avec la perte de ses parents pour qu'une idiote comme elle se permette de le dénigrer de cette façon. « Je ne t'interdirai pas d'entrer dans cette maison si c'est ma fille qui t'y invite, mais la connaissant un minimum, j'pense être bien placée pour dire qu'elle est énervée, et je n'y suis pour rien. Il me suffit d'un mot ou d'un regard de ma fille pour te faire sortir d'ici, et j'hésiterai pas à appeler les flics s'il le faut. » Hell fut surprise d'entendre la voix de sa mère dans la maison, elle était si perdu dans ses pensées et dans sa colère qu'elle ne l'avait même pas entendu entrer. Mais la jeune femme se fichait totalement de savoir qu'elle serait puni pour avoir vu Jules, chez elle qui plus est, elle se sentait prête à encaisser toutes les leçons de morale du monde pour que sa mère se contente de la prendre dans ses bras et de lui dire que tout s'arrangerait... « Maman s'il te plait ne t'en mêle pas. » Sa voix était faible, et cette remarque avait plus l'air d'une supplication que d'une attaque comme elle avait l'habitude de parler à sa mère. Tout ce qui comptait c'était de se sortir de cette situation, car même si elle avait tenté de soutenir le regard de Jules quelques secondes plus tôt, elle avait surtout envie de pleurer. Et le voir se détourner et tenir de tel propos lui donnait d'autant plus envie de fondre en larme. « Oui vous avez été bien clair Madame Anderson. J’ai bien compris que votre fille me haïssait. Vous ne me reverrez pas. J’étais le seul –ou presque- a l’apprécier pour ce qu’elle est vraiment … Mais ne vous inquiétez pas, je disparais de vos vies. » Voilà c'était trop tard la première larme avait coulée, suivie de toutes les larmes qu'elle avait pu contenir depuis la disparition de Brittany. Elle qui voulait toujours paraitre forte, comme pour être la fierté de sa cousine où qu'elle soit, s'était laissée aller à ses émotions et ne répondait plus d'elle-même. « Je te déteste McDowell! » Elle lui avait hurlé dessus, elle voulait le faire réagir, mais pour Hell cela sonnait plus comme un cri de désespoir. Il ne pouvait pas fuir comme ça et la laisser en plan comme l'horrible personne qu'elle était. Mais tous ses sanglots ne changeaient rien Jules poursuivait sa route pour finalement quitter la maison. Les choses auraient pu s'arrêter là, en fait les choses auraient du s'arrêter là mais malgré tous ces stupides principes qu'elle s'imposait à longueur de temps elle se retrouvait maintenant à lui courir après, l'attrapant par le bras au milieu du jardin, toujours vêtue de son pyjama. Hell se fichait royalement d'avoir l'air ringarde dans ce pyjama rose, ou encore folle furieuse à courir après ce mec qui se foutait complètement d'elle. Le regard des gens l'importait peu, elle était prête à tout pour obtenir ce qu'elle voulait quitte à foutre en l'air sa pseudo réputation. « Jules, attend, arrête toi! On oublie d'accord?! On oublie tout ce que j'ai dit d'accord?! Je le pensais pas, je supporte juste pas que tu vois Liz, je supporte pas que tu vois qui que ce soit de toute façon. Mais tu le sais, on est comme ça... Tu m'en veux pas hein?! » La jolie blonde était agrippée à lui, prenant son visage entre ses mains, l'embrassant au coin des lèvres, il devait la prendre pour une psychopathe mais Jules faisait parti avec Mike des rares personnes en dehors de sa famille à ne pas faire attention à son attitude plus qu'étrange.
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Il fallait que je parte de cette maison, que je quitte tout. Hell venait de me transpercer le cœur par la simple force de ses mots. Elle ne m’avait rien fait physiquement, mais moralement elle venait de m’asséner le coup de grâce. A ce moment même je la haïssais presque autant que je l’aimais. C’est l’amour qui se transforme en haine, et la rage en amour. Bien que ses paroles m’eurent fait l’effet d’une flèche en plein cœur, je ne pouvais cesser de l’aimer d’un coup d’un seul. J’avais vu les larmes rouler sur ses joues, mais pas une seule minute je pouvais penser que c’était des larmes de tristesses. Non en sortant de cette baraque où je n’avais plus envie de pointer ne serait-ce que le bout de mon nez, j’avais lâché quelque chose qui lui avait fait mal. Du moins ce que j’imaginais.

Je pressais le pas sur les dalles menant jusqu’au grand portail noir brillant de la maison Anderson. La mère me haïssait, la fille de détestait… Que faisais-je encore ici ?! Peut-être étais-je légèrement maso, j’aimais avoir mal. Ses paroles m’avaient fait l’effet d’une gifle. Je savais pertinemment ce que tout le monde pensait de moi, mais de l’entendre sortir de la bouche de celle qui me rendait complètement dingue venait de m’anéantir.

C’est alors que la rage m’arracha une larme que j’entendis les pas précipités de la blonde derrière moi. Osait-elle réellement sortir en pyjama dans le quartier? Cela ne lui ressemblait vraiment pas. Jamais je n’aurais pu croire que Miss Anderson puisse sortir un jour dans son jardin sans être un minimum apprêtée, et pourtant. Ses mots ressortirent dans ma tête :  « J’ai fait l’erreur de coucher avec toi … T’es qu’un minable, pathétique, tu te crois grand et fort, désiré, mais t'es juste un branleur dont personne ne veut qui cherche de l'amour dans les jupes des filles. … Moi non plus je veux pas de toi … Je te déteste McDowell… » Quoi ? Qu’allait-elle me dire à présent ? Que c’était de ma faute si mes étaient morts en même temps que mon frère jumeau ? Que j’étais un pauvre connard que personne n’aimait ? Que je n’étais bon qu’à organiser les soirées de la ville et qu’après ça tout le monde se foutait de moi ? Que jamais elle ne m’aimerait ?! C’était ça qu’elle allait me cracher à la gueule. Je continuais ma route, il fallait que je stoppe tout ça, peut-être même que je parte d’ici… Mais je ne pouvais un feu me ravageait de l’intérieur alors que je tentais de fuir cette évidence … J’étais fou d’elle. Je fus subitement stoppé par sa main frêle. Elle me choppa par le bras, m’obligeant à me retourner. Et tout en pleurant elle me dit : « Jules, attend, arrête toi! On oublie d'accord?! On oublie tout ce que j'ai dit d'accord?! Je le pensais pas, je supporte juste pas que tu vois Liz, je supporte pas que tu vois qui que ce soit de toute façon. Mais tu le sais, on est comme ça... Tu m'en veux pas hein?! » Elle était jalouse ?! Hell Anderson était jalouse que je sois avec d’autres filles alors qu’elle-même n’hésitait pas à se la donner avec d’autres hommes que moi ? C’était réellement l’hôpital qui se foutait de la charité là. Ses paroles m’arrachèrent un sourire puis un rire nerveux. Sans que je puisse m’y attendre, Hell prit mon visage entre ses mains, et déposa quelques baisers au coin de mes lèvres. Je l’arrêtais aussitôt en lui saisissant ses mains. « Hell ! Je ne demande rien d’autre que d’oublier cette histoire… Mais là … là j’ai la haine… » Je me tus, laissant le silence faire son travail. J’avais l’impression que tout le quartier nous écoutait tellement qu’il n’y avait pas un seul bruit, pas même un oiseau, pas même une voiture … rien. Je laissais tomber les mains de Hell dans le vide et détournais le regard. Jamais je ne pourrais oublier ce qu’elle m’avait dit.  « Tu l’as dis toi-même Hell, tu me hais, tu as fait l’erreur de coucher avec moi et jamais tu ne voudras de moi… Pourquoi cette jalousie alors que toi-même tu n’hésites pas à être avec d’autres gars. Comment est-ce que je dois réagir ?! Dis le moi. Je savais qu’elle se fichait royalement de moi…


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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeSam 7 Avr 2012 - 12:35

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Hell vit immédiatement dans les yeux de Jules que les choses ne seraient pas aussi simple que cela, des excuses ne suffiraient pas et il ne servirait à rien d'attendre que les choses se passent comme elle le faisait d'habitude. Non cette fois-ci il avait vraiment été blessé et il lui en voulait plus que jamais. Pourtant elle avait espéré, espéré qu'il oublie et accepte de revenir en arrière comme elle le lui demandait. La blondinette était prête à lui faire des excuses, ce qui était le plus gros sacrifice à ses yeux, que pourrait-elle faire de plus pour se faire pardonner?! « Hell ! Je ne demande rien d’autre que d’oublier cette histoire… Mais là … là j’ai la haine… » Elle avait été trop loin, et s'en voulait. Hell avait l'habitude de tout contrôler, elle faisait comme si rien ne l'intéressait et pourtant elle était toujours bien informée et cherchait toujours à garder le contrôle sur tout le monde, beaucoup disaient que c'était son plus gros point commun avec Brittany. Sauf que là elle n'avait plus de contrôle, elle ne pouvait pas obliger Jules à lui pardonner ou à oublier ses paroles, elle avait voulu jouer et elle avait perdu. Hell se demanda durant un instant comment ferait Bee pour rattraper ce coup-là, évidemment elle ne se mettrait pas dans une situation pareille, encore moins en pyjama dehors à supplier un garçon, non Brittany aurait feint de ne rien en avoir à faire et aurait laissé Jules lui raconter ses histoires sordides avec Liz. Elle s'en serait ensuite servit contre lui, mais aussi contre son amie, c'était fourbe mais c'était Bee et étrangement ça fonctionnait toujours. « Hell, tu me hais, tu as fait l’erreur de coucher avec moi et jamais tu ne voudras de moi… Pourquoi cette jalousie alors que toi-même tu n’hésites pas à être avec d’autres gars. Comment est-ce que je dois réagir ?! Dis le moi. » Il avait enlevé ses mains de son visage et la regardait toujours aussi froidement, elle n'avait plus qu'à abandonner, après tout qu'est-ce qu'elle pouvait répondre à ça?! Elle ne savait pas pourquoi elle allait avec d'autres hommes, peu d'entre eux comptaient, et bien souvent elle jouait avec eux pour les envoyer balader quand ils voulaient aller plus loin. Si elle faisait ça c'est parce que personne ne voulait vraiment d'elle, elle était la petite amie qu'on cache, avec qui on n'assume pas de sortir. On lui collait toujours cette étiquette de trainée alors qu'elle ne faisait que jouer, et allait rarement plus loin. Sauf qu'avec tout ce qui se disait sur elle, tout le monde pouvait dire qu'il avait couché avec elle sans que personne ne trouve pas cela étrange. « Je sais pas! J'en sais rien ok! Je sais pas pourquoi je suis comme ça et je sais pas ce que j'attends de toi. J'ai juste besoin que tu me dises d'arrêter peut-être... »

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Vous connaissez ces envies contraires qui vous tiraillent de l'intérieur, qui vous donne envie de hurler et de fuir la chose ou la personne qui vous fait éprouver de tels sentiments ?! Hé bien sur le moment j'avais envie de tout plaquer, de me frapper la tête contre le mur, de m'arracher le cœur et de sauter à pieds joints dessus. Ma vie était devenue un ramassis de conneries, mon existence n'était qu'un mensonge et j'en avais plus que marre. Au final qu'étais-je pour les gens de cette ville à part un connard, doublé d'un putain de gros égocentrique et d'un enfoiré international ? Personne ne m'appréciait et je ne le devais qu'à moi. Mais s'il y avait bien eu une personne que je ne voulais pas perdre ça ne pouvait qu'être Hell. Pourtant je la blessais sans cesse - entre nous, elle me le rendait plus que bien avec ses répliques cinglantes.

« Je sais pas! J'en sais rien ok! Je sais pas pourquoi je suis comme ça et je sais pas ce que j'attends de toi. J'ai juste besoin que tu me dises d'arrêter peut-être... » Hell m'avait presque crié dessus, je sentais qu'elle était quelque peu déboussolée, peut-être perdue ... ce qui était assez bizarre pour une fille telle qu'elle. J'étais même surpris que sa mère ne soit pas encore sortie de la maison pour me gueuler dessus, le téléphone à la main et me dire qu'elle venait d'appeler les flics et tout le toutim. Valentina Anderson me haïssait plus que tout, et je me demandais bien pourquoi. Juste parce qu'elle nous avait retrouvé dans les toilettes, Hell me chevauchant, plaquée contre le mur, enfin je vous passe les détails. C'était juste ça ? Comme si la proviseur du lycée de Middle Fawkes n'avait jamais fait de petites folies dans les toilettes du lycée avec un jeune garçon en rute. On ne me la fait pas à moi. Hell lui avait-elle racontait quelques trucs à propos de moi ? D'elle et moi peut-être ? Etait-ce le bruit que nous faisions lors des fêtes que je donnais chez moi ? Certainement pas. Alors pourquoi cette animosité envers moi ?
Je me mis à la fixer, à la regarder dans les yeux, j'essayais surement de la sonder, mais les larmes qui avaient roulé sur ses joues me perturbèrent. Je croisais les mains derrière ma tête et me mis à rire tout en secouant la tête. Que cherchait-elle a faire ? Voulait-elle me plier à ses envies ? Voulait-elle faire de moi un petit toutou, comme les autres ? J'étais déjà son jouet, cela ne lui suffisait-il pas ? Voulait-elle encore m'asservir plus que je ne l'étais déjà ? Elle me dominait déjà depuis bien longtemps, et s'amusait à jouer au football américain avec mon coeur. Je repris rapidement mon sérieux et posais une nouvelle fois mon regard sur elle avant de lui dire ce que je ressentais, il fallait qu'elle comprenne que je n'en pouvais plus. « Moi non plus je sais pas ... Je te le dis, peut-être pas clairement, mais je te le dis tout le temps d'arrêter. Et je suis bien le seul, mais tu ne veux pas comprendre. Tu ne vois rien... j'aimerai te faire ouvrir les yeux mais ...» Je fermais les yeux, empêchant les larmes de poindre au coin de mes yeux. Ce n'étaient pas vraiment des larmes de tristesse, plus de rage, d'amertume. Enfin je n'en savais plus trop rien. « J'en peux plus d'entendre les mecs qui n'y connaissent rien, qui ne te connaissent pas, dire à leurs potes "putain mec, hier j'me suis tapé Hell, elle est cher bonne..". A chaque fois que j'en croise un j'ai envie de lui emboutir la tête dans le mur. Pourquoi à ton avis ?» Je la pris par les épaules, ses épaules si délicates, et me surpris à caresser son bras nu avec mon pouce, cette peau si douce que j'aimais embrasser ... Non je devais me ressaisir, elle ne voulait plus de moi. « Parce que tu me fais éprouver tellement de choses à la fois que je ne sais plus ce que je dois faire... Je ressens des choses que je devrais peut-être pas ressentir. Tu me rends dingue Hell, dans tous les sens du termes. Mais tu t'en fous, tu en joues. Et là ... là j'en ai marre. Alors arrête ! Soit tu me le dis clairement, tu me dis que tu ne veux plus de moi, que je n'étais qu'un jeu, un passe-temps comme les autres, soit tu arrêtes de faire l'égoïste et tu ouvres les yeux pour voir qu'il y a quelqu'un qui tiens à toi et qui n'en peux plus de te voir avec d'autres mecs ... Fais ton choix Hell, réagis. Frappe moi, cries moi après, embrasse moi, hurle au secours, je ne sais pas, mais fait moi comprendre ce que tu veux. » Ok c'était sortis là, bien plus vite que je ne le pensais. jamais je ne m'étais autant lâché sur ce que je ressentais, surtout pas à Hell. Au fond je n'avais jamais voulu qu'elle sache ce qu'elle était capable de faire sur moi, l'effet qu'elle produisait ... c'était peut-être trop tard et j'étais surement allez trop loin.



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Jules avait lui aussi l'air déboussolé, comme s'il n'avait pas de réponse à cette question que lui posait la jolie blonde. Ces deux là avaient le chic pour se mettre dans des situations incroyables, dans leur mauvais jours ils étaient capables des pires disputes au monde, et tout le monde avait déjà été témoin de leur clash, mais dans leur bons jours tout allaient pour le mieux entre eux mais ils n'en étaient pas plus calmes, au contraire même ils devaient déverser toute cette énergie négative sur d'autres, les pauvres victimes du duo. « Moi non plus je sais pas ... Je te le dis, peut-être pas clairement, mais je te le dis tout le temps d'arrêter. Et je suis bien le seul, mais tu ne veux pas comprendre. Tu ne vois rien... j'aimerai te faire ouvrir les yeux mais ... » En écoutant les paroles du jeune homme Hell se rendit compte de sa stupidité, il avait tenté de la protéger et elle s'était enfoncée toute seule, ne comprenant pas les signes, ne voyant rien, gamine égocentrique qu'elle était. Et que pouvait-elle faire maintenant?! Rien du tout, elle devait faire face à ses propres actes, répondre aux conséquences et surtout tenter de garder un peu de dignité, dignité qu'elle avait enterrée au moment où elle avait cédé aux avances du beau brun. C'était peut-être ça son problème. Pour Jules elle avait laissé tomber sa dignité et apparemment son intelligence aussi. Sa jalousie excessive et son besoin d'attention maladif l'avait conduit à sa perte et lui avait brouillé la vue. « J'en peux plus d'entendre les mecs qui n'y connaissent rien, qui ne te connaissent pas, dire à leurs potes "putain mec, hier j'me suis tapé Hell, elle est cher bonne..". A chaque fois que j'en croise un j'ai envie de lui emboutir la tête dans le mur. Pourquoi à ton avis ? » La jeune femme aussi avait envie d'emboutir quelqu'un dans le mur, peu importe qui en fait elle avait juste ce besoin de faire du mal, de se décharger du mal quelle ressentait sur une autre personne. Elle bouillonnait de rage, avait envie de crier, de hurler, mais les larmes ne voulaient pas s'arrêter de couler, lui coupant toute crédibilité. Il fallait qu'elle vide ses émotions. « Mais c'est pas vrai tout ça, c'est que des conneries qu'ils racontent putain! » Elle l'avait fait, elle avait crié de tout son saoul, hurlé après toutes ces personnes qui s'imaginaient la connaitre alors qu'ils ne la comprenaient pas, après tous ces mecs qui pensaient pouvoir ternir sa réputation sans conséquence, qui la respectaient si peu qu'ils s'imaginaient pouvoir inventer n'importe quel mensonge sur sa vie sexuelle et que tout le monde les croirait. Et le pire surtout c'était elle, qui s'était tellement rabaissée qu'elle n'avait plus aucune limite, plus aucun contrôle sur sa vie et sur ce que les autres en faisaient. Hell se sentait comme une âme perdu qui subirait le destin sans pouvoir réagir. Elle était totalement perdue mais ses pensées se figèrent lorsque Jules la pris par les épaules comme pour la calmer. « Parce que tu me fais éprouver tellement de choses à la fois que je ne sais plus ce que je dois faire... Je ressens des choses que je devrais peut-être pas ressentir. Tu me rends dingue Hell, dans tous les sens du termes. Mais tu t'en fous, tu en joues. Et là ... là j'en ai marre. Alors arrête ! Soit tu me le dis clairement, tu me dis que tu ne veux plus de moi, que je n'étais qu'un jeu, un passe-temps comme les autres, soit tu arrêtes de faire l'égoïste et tu ouvres les yeux pour voir qu'il y a quelqu'un qui tiens à toi et qui n'en peux plus de te voir avec d'autres mecs ... Fais ton choix Hell, réagis. Frappe moi, cries moi après, embrasse moi, hurle au secours, je ne sais pas, mais fait moi comprendre ce que tu veux. » La jeune femme s'essuya le visage d'un revers de main. Elle devait être pathétique, elle se sentait pathétique, comme une enfant qu'on aurait disputé trop fort et qui ne pouvait pas reprendre le contrôle d'un simple regard. Elle était Hell Anderson merde! Si quelqu'un était capable de reprendre le contrôle peu importe la situation c'était bien Hell et c'est ce qu'elle comptait faire. Soufflant un coup, le regard fixe sur un grain de beauté que Jules avait dans le cou. Elle n'avait jamais remarqué ce grain de beauté, preuve qu'elle ne prenait jamais le temps de s'attarder sur les détails, alors que c'était peut-être la meilleure chose à faire. « C'est pas qu'un jeu... C'est un jeu mais pas seulement. Le truc c'est que si je joue pas tu voudras plus de moi ok, tu nous vois jouer au couple modèle dans un monde parfait?! Tu tiendrais deux jours grand maximum, et à la première fête tu trouveras une autre blonde bien plus amusante que moi. Faut pas se mentir on est comme ça toi et moi. » Hell se calmait un peu plus à chaque mot qu'elle prononçait, comme si ses propres paroles lui faisaient prendre conscience du ridicule de la situation. Elle termina d'ailleurs son petit discours en couvant Jules d'un regard bienveillant, presque protecteur, une des mains du jeune homme entre les siennes, la caressant avec délicatesse. L'opposé même de la fille presque hystérique qu'elle était il y a quelques minutes à peine.

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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeJeu 14 Juin 2012 - 22:36

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Plus je parlais, plus mes pensées se transformaient en mots, en phrases prenant un sens, et plus je sentais Hell se crisper sous mes doigts. Je le connaissais par cœur, je savais qu’elle avait envie de tout péter, de tout envoyer bouler, même moi par la même occasion, et pour tout vous dire, j’avais envie de faire la même chose. Elle osa même me dire que c’était des conneries – lorsque je lui parlais des mecs que je croisais et entendais dire qu’elle était bonne au lit. Mais non ce n’était pas des conneries…
J’avais connu de nombreuses filles, j’avais couché avec des centaines de filles, en me réveillant le matin en ne sachant plus quelle tête elles avaient, ne me rappelant même pas de la première lettre de leur prénom, mais Hell avait était la seule fille qui m’avait fait me sentir moi. Elle était mon alter ego, et bien que nous soyons tous deux des coureurs de jupons/jeans, j’avais envie de tout arrêter pour elle, j’avais envie d’être ce mec bien dont toutes les filles rêvent de connaitre un jour. Je pouvais le devenir, il suffisait juste qu’elle dise un mot, et j’étais à elle. Car qu’on se le dise, toutes ces aventures sans lendemain, c’était bien beau, je me soulageais, je remplaçais Hell par d’autres, je déversais toute ma colère, ma frustration sur ces filles sans grand intérêt pour moi.

« C'est pas qu'un jeu... C'est un jeu mais pas seulement. Le truc c'est que si je joue pas tu voudras plus de moi ok, tu nous vois jouer au couple modèle dans un monde parfait?! Tu tiendrais deux jours grand maximum, et à la première fête tu trouveras une autre blonde bien plus amusante que moi. Faut pas se mentir on est comme ça toi et moi. » J’avais appris à être fort, à partir du moment où ma famille est morte. Je savais cuisiner, faire le ménage, j’avais appris à conduire seule, j’avais trouvé mon premier boulot seul, et ce n’était pas parce que j’avais une famille adoptive qu’ils avaient pleinement remplacé mes parents. Ils étaient plus comme un oncle et une tante pour moi, je les aimais beaucoup, mais seuls mes parents avaient pu faire de moi l’homme que j’étais. Mais Hell réussissait – par je ne sais quel moyen – à détruire tout ce que j’avais créé. Elle me rendait bestial, fou, amoureux … voilà. C’était complètement fou à dire, et jamais je n’aurais cru pouvoir le dire un jour, mais j’étais amoureux. Peut-être même un peu trop, car je savais que cet amour me consumait de l’intérieur, il me rendait hargneux. Sa main, avec laquelle elle caressait distraitement la mienne, me sembla soudain brulante, mais je ne pouvais m’en détacher, elle était tout ce qu’il me restait, mon pilier. Si je n’étais pas devenu fou depuis des lustres ce n’était pas pour rien … Je passais une main dans ma tignasse brune, signe de mon impuissance.
«J’ai beau te connaitre, savoir qui tu es, lorsque je les entends dire de telles choses j’ai des envies de tuerie et ça me tue. Je n’arrive plus à me contrôler. Ma jalousie a atteint un tel point que je ne supporte plus de te voir avec un autre mec. Qu’est-ce que tu m’as fait Hell ?! » Si quelqu’un nous avait entendu parler, il aurait pu croire qu’on jouait une pièce de théâtre, qu’on répétait pour une scène dans un film, que c’était une caméra cachée, mais certainement pas que c’était la vérité. Et pourtant. Je ne faisais que dire la vérité. J’en avais marre de mentir à la terre entière et à moi-même par la même occasion. Je passais ma langue sur la lèvre inférieur avant de plonger mon regard brulant dans celui, doux, d’Hell qui s’était calmée, et était cette fille que l’on ne voyait jamais, et que j’aurais aimé cotoyer plus souvent, cette fille compatissante, douce et bienveillante. « Je serais prêt à tout te donner Hell … Ce jeu nous tue et tu le sais. Peut-être arrivais-tu à m’oublier, à m’évincer de ta vie si parfaite, mais ne crois pas que j’y arriverais … Tu t’es frayé un chemin dans ma vie, tu as pris trop de place, comme toujours, et je t’ai acceptée, bras ouverts, comment aurais-je pu faire autrement ? Tu me rends totalement différent. Et oui je te le dis encore une fois, je ressens des tonnes de choses pour toi, mais tu te bouches les oreilles comme une enfant… » Un sourire triste apparut sur mes lèvres, je me rapprochais un peu plus de son corps bouillonnant avant de prendre son visage entre mes grandes mains brulante et de l’embrasser doucement. Il fallait que je savoure cet instant, que je m’imbibe de ce bonheur qui me parcourait le corps, peut-être était-ce la dernière fois que j’embrassais cette beauté. Je m’écartais à contre cœur, les yeux toujours clos, je ne voulais pas voir les rougeurs qui s’étaient formées sur ses joues rebondies. Je me retournais pour faire face à l’allée où était garée ma moto. Il fallait que je parte …




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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitimeJeu 14 Juin 2012 - 23:33


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« J’ai beau te connaitre, savoir qui tu es, lorsque je les entends dire de telles choses j’ai des envies de tuerie et ça me tue. Je n’arrive plus à me contrôler. Ma jalousie a atteint un tel point que je ne supporte plus de te voir avec un autre mec. Qu’est-ce que tu m’as fait Hell ?! » La blondinette n'avait qu'une envie, lui dire qu'elle n'avait rien fait d'autre que lui rendre les coups, agir en conséquence de ses propres actes, répondre à ses provocations, finalement elle n'avait fait que jouer à ce jeu idiot qu'ils avaient instaurés ensemble. Et si Jules estimait que cela l'avait détruit, il ne fallait pas être un expert pour voir que ça avait eu les mêmes effets sur Hell. La jeune femme se reconnaissait dans chacun de ses mots. Elle ne supportait plus les rumeur à son sujet, dès qu'une fille prononçait le prénom du beau brun elle mourrait d'envie de lui hurler de déguerpir, qu'il lui appartenait. Nombreuses étaient les fois où elle s'était révélée d'une méchanceté suprême envers celles qui racontaient avoir couché avec lui, elle avait même eu envie de s'en prendre à Liz qui pourtant était une de ses amies. Pourtant Hell n'était pas une fille méchante, au contraire même elle détestait la méchanceté qu'elle soit gratuite ou non et ne voyait pas l'intérêt d'humilier les autres peu importe la raison. Non son truc à elle c'était plutôt de défendre la veuve et l'opprimé mais si la veuve en question avait couché avec Jules alors Hell avait plutôt envie de tabasser la veuve et lui faire bouffer l'opprimé. Le jeune homme la rendait mauvaise, son désir envers lui la rendait mauvaise, à son contact elle devenait une de ces filles qu'elle détestait tant, elle devenait la partie la plus sombre de Brittany, qui n'hésitait pas à détruire ce qui l'entourait pour obtenir le moindre de ses désirs. Mais le plus contradictoire dans l'histoire était que la jolie blonde faisait le même effet à Jules, elle ne lui faisait aucun bien, elle ne lui faisait que du mal. Certes Hell avait fait comme si elle ne s'en rendait pas compte, comme si elle s'en fichait, mais au fond elle savait l'effet qu'elle avait sur le beau brun, elle le détruisait, Allan lui racontait bien assez souvent les altercations que Jules pouvait avoir à son sujet. Mais elle avait fait l'autruche, préférant ignorer tout ça, car admettre qu'elle n'était pas la personne qui lui fallait revenait à renoncer à lui et Hell n'était pas prête pour cela. « Je suis désolé... » Plus qu'une réponse la jeune femme avait surtout prononcé ces mots pour elle-même. Elle n'était même pas sûre qu'il l'ai entendu tant sa voix avait été basse. Hell savait pertinemment que des excuses ne suffiraient pas, elle lui avait fait du mal, et pas seulement aujourd'hui, non, depuis le début. Depuis leur toute première rencontre, jour où ils avaient lancés ce jeu idiot. Hell s'en souvenait comme si c'était hier, Jules était nouveau au collège et dès le premier jour il avait tenté de la draguer avec plus d'arrogance qu'elle n'en avait jamais vu. Comme souvent elle l'avait repoussé avec fougue et s'était énervée de son côté à cause de lui, pestant auprès de Brittany à son sujet. Sa cousine lui avait d'ailleurs dit avec conviction qu'un jour elle tomberait amoureuse de ce garçon. Et si elle avait vu juste?! Brittany avait toujours su juger les gens, et le comportement humain n'avait aucun secret pour elle. Mais si c'était le cas, pourquoi cela devait-il être si douloureux?! L'amour n'était-il pas censé emplir le coeur de bonheur et de bien-être?! C'était pourtant l'inverse qu'elle ressentait, bien loin d'être sereine, Hell était plutôt angoissée et colérique, devait-elle lier ça à la haine?! Le sentiment contraire de l'amour. « Je serais prêt à tout te donner Hell … Ce jeu nous tue et tu le sais. Peut-être arrivais-tu à m’oublier, à m’évincer de ta vie si parfaite, mais ne crois pas que j’y arriverais … Tu t’es frayé un chemin dans ma vie, tu as pris trop de place, comme toujours, et je t’ai acceptée, bras ouverts, comment aurais-je pu faire autrement ? Tu me rends totalement différent. Et oui je te le dis encore une fois, je ressens des tonnes de choses pour toi, mais tu te bouches les oreilles comme une enfant… » La blondinette ne fit pas un seul geste, contrairement à ses habitudes elle ne tenta pas de lui couper la parole pour reprendre le contrôle de la situation, elle ne cherchait pas à le contredire, ni même à fuir. Elle restait simplement face à lui, en silence, pour l'écouter sans le quitter du regard, ce regard doux et innocent qu'elle n'avait pas eu depuis des années au moins. Elle ne s'accorda le droit de bouger qu'une fois que les lèvres de Jules eurent touché les siennes, savourant le contact de sa peau sur la sienne, déposant délicatement ses mains sur son ventre musclé. Bien qu'elle fut déçue quand le baiser du s'arrêter Hell ne tenta pas de le retenir, le laissant se retourner pour partir. Elle voulait qu'il reste, elle voulait s'enfermer dans un cocon et l'embrasser pendant de heures sans que personne ne les dérange. Et pourtant elle ne voulait pas le retenir car elle ne voulait plus le faire souffrir. « Mais je t'aime moi. » Hell avait parlé avec une incroyable tranquillité, il ne s'agissait pas d'un murmure, et encore moins d'un cri de désespoir ou de rage, ce n'était pas une dernière supplication, non ce n'était pas sa dernière carte à jouer pour le garder près d'elle, c'était plutôt une constatation. En fait il ne s'agissait là que de cinq mots, placés les uns après les autres, cinq mots qu'elle n'avait jamais pu lui dire, ni même lui exprimer de quelle que façon que ce soit, mais qui à cet instant lui apparaissaient comme une évidence.

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MessageSujet: Re: HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas.   HELL&JULES - T'es comme une drogue pour moi, j'ai beau vouloir me desintoxiquer, je n'y arrive pas. Icon_minitime

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