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 My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16]

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MessageSujet: My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16]   My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16] Icon_minitimeJeu 26 Avr 2012 - 21:31




Nickolas & Hazel

« My body needs a hero, come and save me ! »


Pour tout dire j’avais rêvé de ce moment des milliards de fois. Nous imaginant dans une colloc’ vide, juste lui et moi, après un bon diner préparé par mes soins – oui je sais très bien cuisiner. Après avoir dansé peut-être, ou je ne sais pas, regardé un film. Puis finalement laissant tout tomber pour enfin se sauter l’un sur l’autre. Je passais des nuits à rêver de son corps nu de dieu. J’avoue ne jamais l’avoir réellement vu entièrement nu – contrairement à d’autres pintades peroxydées (surement) – mais je savais pertinemment qu’il était bien monté, ça se voyait – que l’on me pardonne. Cela faisait quatre ans que j’attendais ce moment avec l’impatience d’une gamine le soir de noël. Et nous, nous étions coincés dans ce fichu ascenseur qui montait à deux à l’heure. Mon dieu, mais que l’on fasse quelque chose. Je trépignais d’impatience, mon désir ne faisait que croitre d’avantage chaque seconde qui s’écoulait, j’allais mourir d’impatience. Il devait me prendre pour une nymphomane n’ayant pas eu sa dose de la journée – soit ses vingt quatre orgasmes – mais il semblait dans le même état que moi. En effet, son phallus semblait être littéralement coincé dans son pantalon de cuir. Il fallait absolument que je fasse quelque chose pour l’en sortir, j’entrepris donc de lui défaire la ceinture tout en me rapprochant de lui, plantant mes yeux pétillants dans les siens. Alors que je lui retirais sa ceinture – ne faisons pas les choses à moitié – les portes métalliques de l’élévateur s’ouvrirent au même moment. Le soubresaut de la machine me fit quelque peu perdre mon équilibre, m’obligeant à me coller à Nick. Mon bouillonnement arriva à son maximum, et dans l’affolement, et je ne su comment, je retournais Nick, le « dégageant » de l’ascenseur et l’envoyant balader un peu plus loin.

Ma coiffure fut défaite en l’espace de quelques secondes, mes cheveux furent en bataille tout aussi vite, me donnant des airs de sauvageonnes. Je balançais mes Louboutin ainsi que mon sac je ne sais où, et je m’en balançais royalement. J’avais besoin de sentir sa peau nue et brulante tout contre mon corps, j’avais besoin de le sentir en moi, sur moi, contre moi, près de moi. Je me laissais enivrer par son odeur qui régnait en maitre dans cet appartement que j’avais si souvent fréquenté. A présent j’allais l’occuper d’une manière différente, je ne serais plus l’amie qui vient boire un café, regarder un film, passer une soirée… Je serais la fille qui « dort » (ou batifole) dans ce lit. Ou alors ce ne serait seulement pour une nuit, comme il avait fait quelques jours auparavant … Je me mis une droite mentale cette fois – si je recommençais, j’allais avoir le droit à une véritable droite ! Je devais absolument arrêter de penser à tout ça, et il le fallait pour ma santé mentale.

Sans m’en rendre compte, je m’étais lancée sur lui, agrippant sa chemise, comme pour lui arracher. Ce que je fis d’ailleurs. Comme les filles avant mo… shuut ! Les boutons volèrent et allèrent s’écraser sur le sol, je m’en fichais, je savais recoudre, moi ! Son torse s’offrit à moi. Je savais que Nick était musclé, mais visiblement depuis la dernière fois où je l’avais vu, il avait pris des abdominaux, et ça lui allait merveilleusement bien. Je devais baver d’envie. Je me mis donc à embrasser ses pectoraux pour satisfaire cette faim qui me bouffait, puis remontais vers sa bouche, passant par son cou, puis couvrant de milliers de baisers sa mâchoire carrée. Il était si parfait ! Les restes de sa chemise finirent leur course sur le parquet de l’appartement, mes mains quant à elles, se baladaient sur son torse, sur son dos, caressant ses bras musclés qui irradiaient la force et la puissance. Je frétillais littéralement du string, je ne tenais plus en place et je priais secrètement Dieu pour que mon russe fasse quelque chose, j’avais besoin qu’il réagisse. « Hoo Nick … » Lui soufflais-je d’une voix chevrotante comme pour le supplier de me caresser lui aussi…

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MessageSujet: Re: My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16]   My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16] Icon_minitimeMar 1 Mai 2012 - 21:43

My body needs a Hero, come and save me
Ft. Hazel & Nickolas

Nickolas priait pour ne pas être en train de rêver. Non parce qu'il en avait fait, des rêves où Hazel et lui étaient les deux protagonistes, et où il se faisaient l'amour sauvagement. Si s'en était encore un, il pèterait un plomb, réellement. Nickolas était du genre courageux, franc, direct, il n'allait pas par mille chemins quand il souhaitait dire quelque chose à quelqu'un. Mais quand il se retrouver en face de Hazel, c'était un tout autre homme. Bien sûr, il tentait de garder cette image de garçon libre, décoincé, sûr de lui. Mais ça faisait trois ans. Trois ans qu'il attendait comme un con pour lui dire ce qu'il avait réellement sur le coeur. Trois ans qu'il rêvait de lui faire l'amour, sans jamais le lui faire en vrai. Trois ans qu'il essayait vainement de l'oublier, en couchant avec d'autres nanas, en sortant, même, avec d'autres nanas. Pendant un temps, il pensait que ça marchait, mais ce n'étaient que des illusions. Même les filles avec qui il sortait se rendaient compte que quelque chose clochaient, et Hazel était bien souvent la raison de leur séparation … « Elle prend trop de place dans ta vie ! » - « Nickolas, c'est elle, ou moi ! » … Et le russe finissait toujours seul, se rendant de plus en plus compte de l'Amour qu'il portait pour sa blonde à lui. Et puis il rêvait d'elle. De son sourire, de ses éclats de rire, de son regard brillant, de ses larmes devant les romances bidons, et puis ça déviait. Les quatre jours précédents n'avaient fait que renforcer cela. Il couchait avec des nanas, et la seule chose à laquelle il parvenait à penser était qu'il se dégoûtait de faire subir cela à Hazel, et que c'était avec Hazel, qu'il voulait coucher

Mais non, ce n'était pas un rêve. C'était bien les mains de la jeune femme, ses réelles mains, douces, griffant, qui décrochait la ceinture de son pantalon trop serré dans cet ascenseur trop petit. C'était bien ses yeux, plongés dans les siens, allumés d'une lueur qu'il ne connaissait pas encore, absolument démente, sauvage et désireuse. C'étaient bien ses lèvres, rouges comme le sang, qui étaient plaquées contre les siennes, animées d'une fureur incroyable. GOSH. Il était en feu. Son corps bouillait littéralement, probablement autant que celui de Hazel. Comment avaient-ils pu attendre aussi longtemps, tous les deux ? Nick avaient eu milles occasions de sauter sur la blonde, et encore, c'était peut-être un chiffre trop peu élevé. Il y avait eu tant de moments où ils étaient seuls, face à face, tous les deux, en soi-disant meilleurs ami. Dans une voiture, au lac, à la plage, même à la coloc', ou dans son appartement, mille. Milles opportunités qui avaient été gâchées, dont il s'était privé parce qu'il avait peur de tout ruiner. Mais il n'avait plus peur, maintenant. Il prenait les choses en mains. Il ouvrait la porte de son appartement, sûr de lui, sûr de ce qu'il voulait faire. Il avait pas mal de pression sur les épaules, tout de même. Ça allait être leur première fois ensemble. Son sexe était si dur, il était si excité, que s'il ne se maîtrisait pas, il explosait. Mais il avait de l'expérience, maintenant, il n'avait plus quatorze, il savait faire fonctionner son corps, et commençait à connaître celui des femmes, même s'il changeait selon la femme, et puis aussi selon leur humeur, selon la date dans le mois, selon son degré d'excitation, bien sûr, bref, c'était compliqué, mais il y arrivait. Et avec Hazel, il fallait qu'il soit meilleur que tous les hommes avec qui elle avait couché, il fallait qu'il lui offre la plus belle nuit de sa vie. Et il allait le faire. Vue l'alchimie qui s'échappait de leur corps bouillants, ça le ferait.

Elle jeta ses Louboutins dans l'appartement, puis se jeta sur lui. Arracha sa chemise, embrassa ses pectoraux. Tout les muscles de Nick étaient tendus par le désir, et apparemment elle aimait ça. Il souriait, l'embrassait, passait sa main dans ses longs cheveux blonds, nouait ses doigts à quelques mèches et les lui tiraient en arrière, aimant voir sa bouche s'ouvrir, soupirante, ses yeux se fermer, et sa poitrine ressortir, le dos cambré offerte à ses milles baisers et pensées absolument pas catholique. Il passa une main dans l'arrière de son short. Aucun tissu ne semblait barrer le chemin aux caresses intimes, pas de ce côté-ci, en tout cas. Tandis qu'il déboutonnait le short, il attrapa entre ses dents le lobe d'oreille droit de Hazel, le mordit et le baisa. Elle portait un string en dentelle rouge, sous ce short. Avait-elle prévu le coup, avait-elle mis ces sous-vêtements pour lui ? Il aima se dire que oui. Le souffle du russe était fort, bruyant, animal, presque. Ils étaient au milieu du salon assombri par le lever de la nuit (il devait être à peine être 20h45), un salon dans un foutoir inimaginable, où des boîtes de pizza étaient empilées avec des bouteilles de bière, et où quelques vêtements féminins devaient encore joncher le sol. Mais il s'en foutait, et il était prêt à parier que vu son taux de frétillements et de gémissements, Hazel s'en foutait aussi. Il embrassa ses lèvres à nouveau. Sans ses chaussures, elle était drôlement petite, par rapport à lui. Ça n'allait pas être un problème très longtemps : Il l'attrapa à nouveau entre ses bras puissants, cette fois en contact direct avec sa paire de fesse où la cellulite n'avait apparemment pas décidé de s'installer, et tout en continuant de l'embrasser, la lâcha plutôt crument sur le plan de travail, ilot central, appelez ça comme vous voulez, mais en tous cas elle était maintenant à sa taille, si ce n'est un peu plus grande, et Nick trouvait ça divin.

Il se dit qu'il était peut-être temps de débarrasser la jeune femme de ce top bien trop superflu, ce qu'il fit, et puis d'une main experte, il décrocha son soutient-gorge, bien évidemment assortis au string, qui alla s'étaler par terre. C'est à peine si ses seins bougèrent. Sa poitrine était ronde galbée, féminine, ses tétons disaient bonjour au ciel, et Nickolas était au Paradis. Il enfoui sa tête entre ses seins rond, et baisa, suçota, lécha chaque parcelle de cette peau si douce, si laiteuse. Il s'arrêta un peu plus longtemps sur son sein gauche, qu'il marqua d'un suçon. Cette poitrine était sienne. Et ce corps entier, de déesse, était sien, pour la nuit, du moins.

Il ne pouvait plus, là, son sexe lui faisait mal, piégé dans ce pantalon. Il lâcha alors le sein qu'il pétrissait de sa main droite, le coup de la jeune fille qu'il tapissait de baiser, et se recula de quelques pas, ne la quittant pas des yeux, cette lueur de désir ne quittant pas ses iris bleus. D'un équilibre un peu précaire, il retira de quelques coups de pieds ses chaussures heureusement presque délacées. Un peu joueur, cruel, quoi que pressé, il offrit à Hazel un très léger strip tease, tandis qu'il enlevait son pantalon, et enfin, son boxer, laissant enfin respirer ce qui faisait de lui un homme, et un bel homme. Il s'humidifia les lèvres, ses mains vacant entre son phallus dressé et l'air autour d'eux.

    « Zeus, on passe aux choses sérieuses, maintenant ? »


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MessageSujet: Re: My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16]   My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16] Icon_minitimeLun 21 Mai 2012 - 20:38




Nickolas & Hazel

« My body needs a hero, come and save me ! »


Cet homme aurait pu être n’importe qui … un violeur, un tueur en série arracheur de tête, un voleur peut-être, un tronçonneur de membre, un mac venant chercher une nouvelle recrue, un revendeur d’organes venu voir si j’étais enfin morte pour pouvoir récupérer mes yeux ou je ne sais quoi d’autre. Il aurait pu être n’importe quoi, mais je me souviens lorsqu’on m’a annoncé qu’il allait me rendre visite, je me souviens encore de ma réflexion lorsque l’infirmière m’a annoncé son nom. « Humm Nickolas, c’est grave sexy comme prénom… ca fait bien mac russe, ou tchéque peut-être. Han, si ça se trouve c’est un mac tchéco’russe venu chercher une nouvelle fille à pendre à son bras … genre une escort girl perso… » Dites vous bien que j’étais encore sous l’emprise de la morphine. Mais à partir du moment où j’avais vu cette bête entrer dans ma chambre j’avais compris qu’il n’était rien de tout cela. Non que cela me déplaise, au contraire. C’était un homme comme je n’en avais jamais vu auparavant : grand, si grand que j’avais l’impression que la pièce avait rapetissé de quelques mètres carrés, musclé, ho ça oui, j’avais l’impression que son Tshirt était trop petit pour lui, enfin quand je dis musclé, ce n’est pas non du genre culturiste, Nickolas avait – et a toujours – ce qu’il faut là où il faut, sans que ça soit trop. Puis ces magnifiques yeux bleus, dignes d’un des plus beaux tableaux, avec cette crinière mi blonde mi-chatain claire qui me fait fondre et dans laquelle je passe mes doigts en ce moment même. Jamais j’aurai pu imaginer une seule seconde que j’allais tomber raide dingue folle amoureuse de ce mec, que j’allais être pendu à chacune de ses paroles, chacun de ses gestes, et que j’allais passer quelques années de ma vie à attendre qu’il me dise quelque chose – du genre : tu me fais tellement bander, sois ma copine …

Nick su absolument me manier, j’avais l’impression qu’il savait ce que j’aimais : cette brutalité totalement exquise qui me mettait en émois et me faisait frétiller de la culotte – si je puis dire. Il me saisit les cheveux, délicatement mais avec puissance et me tira la tête en arrière doucement, mon cou s’offrit à lui et j’eu l’impression d’avoir une bête affamé au dessus de moi, pourtant, de nous deux, ça devait être moi la plus sexuellement insatisfaite, car je savais à présent qu’il n’était pas resté seul à se morfondre pendant cinq jours. Loin de là. Il avait vu, touché, embrassé et fais l’amour à d’autres filles que moi. Ca me faisait mal, certes, mais mon côté masochiste refaisait surface lorsque mon excitation atteignait un seuil plutôt très élevé. Et le fait de savoir que la nuit passée son corps avait été à une autre, le fait de voir un soutiens gorge trainer sous le canapé, cela en faisait que renforcer mon appétit sexuel que se trouvait être décuplé. Je sentis mon impatience prendre le dessus tandis qu’il me baisait la poitrine. Mes mains se glissèrent sous sa chemise qu’il n’avait toujours pas quittée, mes ongles le caressèrent d’abord, avant de s’enfoncer dans sa peau brûlante. Je ramenais mes bras contre mon corps, griffant son dos musclé, j’avais surement une manière de faire, car à chaque fois que je l’avais fait, cela n’avait fait que provoquer des frissons sur le corps de mes partenaires avant de les rendre intenables. Ses mains, agiles, se faufilèrent entre mon short et ma peau, il me caressa d’abord les fesses et eut un temps d’arrêt … oui j’avais mis un string. Bien évidement. J’aimais porter de jolies culottes de coton et pour tout dire je trouvais cela encore plus sexy qu’un string. Il passa à la face, tout en déboutonnant mon short, ses lèvres s’affairaient à me gober le lobe, ce qui me fit encore plus monter l’excitation. Zone érogène oblige. Quant à moi, je m’amusais à embrasser, lécher, sentir et ré embrasser son cou. Puis soudain, alors que je commençais à imaginer milles et unes façons de le mettre à poil, il me prit par les fesses, me faisant voler une nouvelle fois, et je me retrouvais, pour la seconde fois, accrochée à lui, tel un panda – oui je sais, une image très glamour. Il me lâcha – car c’est bel et bien le mot – sur le plan de travail de sa cuisine, sur l’ilot central plus exactement. Un plan de travail au milieu de la pièce, face à l’immense baie vitrée. L’appartement de Nick devait ressembler à une vitrine de grand magasin avec toutes ses lumières allumées, nous au centre, faisant des choses très excitantes. Je me mis à rire toute seule en pensant aux voisins qui devaient bien se rincer l’œil. Alors qu’il avait entrepris de me faire un massage de la poitrine très sensuel, il me lâcha soudainement. Je relevais la tête et le fixais d’un air « tu fous quoi là ? ». Mais je compris vite. La bosse que formait son pénis sous son pantalon devait le faire incroyablement souffrir, le pauvre. Il fallait que je le soulage, mais il ne m’en laissa pas le temps. Se reculant, il retira ses chaussures avant de m’offrir l’un des meilleurs minis stripteases que je n’eu jamais vu. Mon corps n’en pouvait plus. Mes tétons se dressaient, fiers, entre lui et moi, ils étaient sur durs qu’ils me faisaient affreusement mal. Je sautais à mon tour au sol, marchant au passage sur mon soutiens gorge neuf. Je m’en contre fichais. J’avais besoin du corps de celui que j’aimais, celui que je désirais depuis des milliers de jours.

Me précipitant sur lui, je le plaquais contre le mur et finissais ma course à genoux devant lui, juste à la hauteur de son membre. Parfait. Il voulait passer aux choses sérieuses ? Il n’allait pas être déçu. On peut dire que je suis une experte dans son domaine.
Ma bouche alla donc à la rencontre de son sexe. Ma langue joua d’abord avec le bout de son gland. Puis sentant que Nick arrivait au bout de sa patience, j’engloutis d’un seul coup son pénis en entier. La langue dansa avec son membre dur, mes lèvres s’activèrent à l’instar de mes mains : l’une sur son phallus, la seconde caressant son abdomen durcit lui aussi.

Après lui avoir fait au moins dix minutes de massage érotique à l’aide de ma bouche, de ma langue et de mes lèvres, ce fut à mon tour de perdre patience. Je me redressais alors, abandonnant son sexe, et fis volte face, lui offrant mon côté pile. Tout en ondulant, je me dirigeais vers sa chambre à coucher – chambre dans laquelle je nous avais imaginé des millions de fois, faisant l’amour comme des bêtes. Mes rêves allaient enfin devenir réalité.
Le lit apparut devant moi, et je m’allongeais sur le dos, jambes à demie-pliées et écartées. J’étais à lui, pour la nuit, pour la vie, pour l’éternité. Il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Je ne pu retenir un gémissement, plutôt très significatif, il avait intérêt de se dépêcher de venir sur moi, en moi, ou alors j’allais devenir vraiment infernale.


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MessageSujet: Re: My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16]   My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16] Icon_minitimeMar 10 Juil 2012 - 13:17

My body needs a Hero, come and save me
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Souvent, on dit que l’Amour est aveugle. Que quand on est amoureux, on ne fait pas attention au physique, à l’apparence. Avant de rencontrer Hazel, Nickolas pensait que c’était une réelle connerie que cette maxime. Il se demandait qui avait bien pu inventer cette phrase. Qui avait pu comparer une personne aveugle avec l’Amour. Quelle stupidité ! Il se disait que, certes, les goûts et les couleurs ne se discutaient pas, mais que justement, pour voir si la personne nous plaisait, il fallait la voir ! Or, il en était intimement persuadé désormais, si Hazel avait été l’opposé de ce qu’il aimait (et de ce qu’elle était, vu qu’à ses yeux d’aveugle, elle était parfaite), il l’aurait aimé quand même. Si elle avait été obèse, avec les cheveux bruns, gras, les dents jaunes et un rire de canard, peut-être que ça aurait été plus difficile à admettre, sûrement même, mais il aurait été de la même manière follement amoureux d’elle. Parce que ce n’était pas de son physique, dont il était tombé amoureux, mais bel et bien de sa façon d’être, de vivre, de son humour, de ses colères, de ses lubies, de ses peurs. C’était comme une évidence. S’il avait été aveugle, il aurait aussi été amoureux, certainement. Mais pas besoin de vérifier si ses sourcils étaient bien épilés pour se sentir lié à elle de façon autant charnelle qu’intellectuelle, non. C’était différent de toutes les autres relations que Nickolas avaient eu, où, il fallait l’admettre, faute d’amour, l’apparence avait primé. Avec Hazel, alors que ça faisait à peine cinq jours qu’ils s’étaient avoué leur sentiments, et un quart d’heure qu’ils s’embrassaient, tout semblait désormais en harmonie. L’Amour qu’il éprouvait pour elle était complètement aveugle, peut-être même sourd, alors que pendant trois ans, il avait été muet ! Et il trouvait ça bien. Parfait. Certainement parce que s’il comparait avec ses autres relations, où il avait été tout sauf aveugle, il ne s’était jamais senti aussi complet. Il n’avait jamais ressenti autant d’émotions à la fois que maintenant, avec Hazel. Même avec Averei, ou London, avec qui il avait eu de longues relations, ça avait été très différent. Tout ne se bousculait pas dans son crâne à chaque instant, il n’avait pas cette envie perpétuelle de leur faire comprendre qu’il était fou amoureux d’elles, parce que ce n’était pas le cas, alors que s’il le pouvait, il décrocherait la Lune pour Hazel, et il faisait déjà d’elle sa déesse. Maintenant il comprenait la maxime, et se doutait bien que pour toutes les personnes, filles ou garçons, qui étaient amoureuses, étaient aveugles.

Après ça, vous allez croire que Nick’ était un garçon parfait, super-tolérant, amoureux de l’Humanité etc. Hmpf, ça serait vous méprendre fortement. Il n’était pas parfait, et certainement pas en relations amoureuses, aveugle ou pas. Quelque chose importait beaucoup pour lui dans une relation, de courte ou de plus longue durée : le sexe. Baiser, coucher, faire l’Amour, il fallait qu’il s’entende avec sa partenaire, et que ça vaille le coup, sinon, il le savait, ça ne durerait pas. Toutes ses longues relations avaient d’ailleurs été avec de très bonnes compagnes de lit. Oui, le sexe, sans pour autant dire qu’il primait, occupait pour lui une très grande place dans le couple. Il aimait cela, et voulait une petite amie, une amante, une femme, qui s’amuserait autant que lui, il voulait exaucer des fantasmes, et voulait profiter de sa jeunesse avant d’avoir un cancer de la prostate ou des plus simples problèmes d’érection. Tant qu’il n’avait pas besoin de petites pilules bleues, il prendrait du plaisir à coucher, et à donner du plaisir, aussi. Ainsi, il était là, avec Hazel, dans sa cuisine à baie vitrée, en plein préliminaires chauds bouillants, et il se disait que si ça foirait au lit, ça allait être très difficile. Aussi aveugle qu’il puisse l’être, il le savait, il avait besoin de sexe, et de bon sexe. Bon, en même temps, il n’avait pas trop de doutes non plus, vu le plaisir qu’il avait déjà éprouvé rien qu’en l’embrassant dans ce bar, m’enfin, who knows, ça lui était déjà arrivé que les préliminaires soient délicieux, et le sexe en lui-même soit absolument nul. Est-ce qu’il appréhendait l’acte ? Il n’en avait aucune idée, parce qu’à vrai dire, beaucoup d’autres pensées beaucoup plus intéressantes que celle-ci parcouraient son esprit… Il se disait par exemple qu’Hazel avait dû être une tigresse dans une autre vie, vu les griffures qu’elle lui laissait sur le corps, mais qui lui faisait ressentir mille frissons, ou bien que le grain de beauté qu’elle avait sur le sein gauche, tout près de son téton, allait être sa prochaine passion.

Bientôt, elle interrompit toutes ses pensées en le poussant contre le mur, et entamant la plus belle fellation qu’il ait jamais connu, et sans vouloir faire l’ancien, il en avait connu pas mal. Les mains de Nickolas, s’accrochèrent aux cheveux de la jeune femme, sans qu’il ait nul besoin de la guider, et laissa aller les râles de contentement très masculins. Les frissons remontaient jusqu’à sa nuque, et son esprit était vidé, plus aucune pensée ne le traversait, sauf celle du plaisir. Sa langue léchait le gland, elle goba le membre en entier très rapidement, et telle une experte, elle suçait et faisait monter son désir au maximum.

Elle interrompit cette caresse buccale, démone qu’elle était, dix petites minutes plus tard, qui étaient passées aussi vite que 10 secondes, au moment où le plaisir allait arriver à son maximum, au moment où son sexe était le plus tendu, rempli de sang, près à éjaculer. On aurait dit qu’elle le connaissait déjà par cœur. Qu’elle savait déjà comment le faire languir pour que le sexe soit encore meilleur. Elle était incroyable, la fierté de Nickolas en était presque blessée, d’ailleurs. Elle faisait la maline, en plus, avec ses yeux rieurs, ses hanches qui ondulaient devant lui pour le faire baver (et bander) encore plus, et ses fesses scindées par le tissu de son string qui étaient un appel à la débauche. Elle courrait vers la chambre à coucher. Autant dire que les rêves de Nickolas devenaient réalité. Le nombre de fois où il avait imaginé cette scène était pharaonique, et là, c’était en train d’arriver. Nickolas ne savait pas qui remercier. Il ne croyait ni en Dieu, ni en la bonne étoile, et pourtant, quelqu’un avait fini par exaucer ses vœux. Il pénétra dans la chambre après elle, et la réponse s’imposa à lui quand il la vie, les jambes écartées, le corps offert. C’était elle, sa déesse, qui exauçait tous ses vœux.

Il plongea. La scène était digne du plus beau film érotique. Imaginez-vous cela : Une caméra accrochée au plafond. Une blonde, aussi divine qu’Aphrodite, allongée sur le dos, les yeux fermés, ses dents mordant sa lèvre inférieure couleur rouge sang, de désir, et ses bras sont relevés autour de sa tête. Le bas de son corps est caché par celui d’un homme blond vénitien, dont on ne voit que le dos très musclé, nu comme un Apollon. Il semble embrasser son bas ventre, mais on comprend vite qu’en réalité, il est en train de lui retirer avec les dents, et l’aide, faut-il l’avouer, de ses deux mains, le string rouge qui cache encore les parties intimes de la jeune femme. Le bout de tissus fini vite par terre, et l’homme souffle de bonheur en voyant enfin l’objet tant convoité de son désir. Le pubis de la jeune fille est imberbe, doux, bouillant, mouillé. Il l’embrasse, lève les bras et les pose sur les seins de la blonde, qu’il pétrit, et elle gémit de contentement. On ne voit pas son visage, mais on peut supposer qu’il sourit quand il se lance à l’aveugle dans l’exploration de la fleur de la jeune fille. Sa langue passe entre les lèvres et le bouton rose, gorgé de sang, qui la fait autant trembler quand il le lèche. Il sait y faire avec le sexe féminin, certainement aussi bien qu’elle avec le sexe masculin. Il sent le liquide séminal féminin couler dans sa bouche, qui agit sur lui comme parfait aphrodisiaque, et lui donne envie de continuer encore. Bientôt, les jambes de la jeune femme se serrent autour du crâne de l’homme, elle laisse échapper des petits cris, son dos se cambre, tous ses muscles se contractent, elle lâche un râle évocateur, et l’homme sait qu’il a réussi. Elle a atteint son premier orgasme grâce à lui.

Nickolas était fier. Un sourire narquois accroché aux lèvres, il embrassa une dernière fois (pour l’instant), le pubis de Hazel, et remonta vers elle, pour l’embrasser sur la bouche. C’était plus calme, posé. Hazel et ses joues roses avait l’air d’être dans un autre monde, et Nick’ s’en félicitait. Le baiser tout d’abord doux s’intensifia un peu. La pression dans son pénis était redescendue, et il sentait que s’il le voulait, il pourrait lui faire l’amour toute la nuit. Joueur, provocateur, il murmura alors à l’oreille d’Hazel :

    « 1-0 pour moi, bébé ! »



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Dernière édition par Nickolas D. Ainsworth le Sam 22 Sep 2012 - 16:07, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16]   My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16] Icon_minitimeDim 26 Aoû 2012 - 22:37




Nickolas & Hazel

« My body needs a hero, come and save me ! »


Combien de fois avais-je entendu les conquêtes de mon père hurler de plaisir, taper contre le mur tellement c’était délicieux. Je ne pouvais même pas les compter sur les dix doigts de mes mains. C’était lui qui m’avait appris à être si libérée et ouverte à tout. Si j’étais si épanouie c’était parce que mon père m’avait créait ainsi. Et qu’on se le dise, papa Monroe adorait pratiquer le ski de chambre, si vous voyez ce que je veux dire. Mais à présent, pendant que Nickolas ne cessait de jouer avec sa langue, la tête entre mes cuisses, je ne cessais de remercier dieu. Jamais je n’avais connu pareil délices, et pourtant ce n’était pas peu dire. J’en avais connu des mecs d’un soir, si seulement vous pouviez vous imaginer … mais Nickolas, est un dieu Russe, doué dans tout ce qu’il fait, autant construire des maisons, sauver des vies que faire jouir une blonde éperdument amoureuse de lui. Alors qu’il m’amena jusqu’au septième ciel, mes cuisses se refermèrent brusquement sur son crane, mes ongles s’enfoncèrent dans mes paumes et je sentis le gout de la rouille dans ma bouche : un trou s’était formé sur les deux côtés de ma langue, le bonheur avait été un peu trop intense pour moi. La tranquillité, la béatitude, voilà ce que j’aimais dans le sexe aussi. Cet après coup qui te fait planer aussi bien qu’un joint – même mieux. Une chaleur vraiment très agréable se propagea dans mon corps, partant d’abord de mon bas ventre, puis monta et je sentis le sang faire pulser mes lèvres, autant celles d’en haut et celles du bas. C’était un pur délice. Comment allais-je pouvoir rivaliser à présent ? J’étais une véritable lionne, remplie de fougue et d’audace. Je n’avais pas peur, loin de là. On m’appelait « l’experte » mais j’avais tellement attendu ce moment avec impatience que je me retrouvais vidée de toute énergie. Mon russe pouvait abuser de moi autant que ça lui plaisait. Une équipe de football américain pouvait me passer dessus que je n’aurais pas la force de leur dire non – quoi que, cette idée déplairait certainement à mon mâle. Mon mâle … oui, il était à moi à présent, et comme si j’étais une joueuse de Rugby avec son ballon, j’allais le serrer contre moi, le tenir, le garde pour moi toute seule aussi longtemps qu’il voudrait bien de moi. Car oui, je n’allais pas l’obliger à m’aimer. Le plus homme de la terre – qui se retrouvait à présent au dessus de moi – vint m’embrasser. Mes mains parcoururent ses bras puis remontèrent le long de ses épaules, puis passèrent sur ses omoplates – aussi musclés qu’un joueur de tennis – pratiquait-il l’équitation ? Et puis mes doigts glissèrent jusque sur son dos, la cambrure de son bassin pour enfin arriver à ses fesses de mec pratiquant la boxe depuis un millénaire. Ho dieu que j’étais la plus chanceuse. Son sexe aussi tendu qu’une perche alla se loger contre mon pubis encore bouillant. Puis il osa me glisser à l’oreille : « 1-0 pour moi, bébé ! » je lui donnais une petite claque sur le fessier avant de lui crier : « Si tu penses que je vais te laisser gagner aussi facilement, tu n’es qu’un raton laveur mauvais joueur … tu ne sais pas à qui tu t’adresses là, petit. » S’il pensait que j’étais le genre de fille à faire la planche et attendre que tout se passe, il se fourrait le doigt dans l’œil. J’étais toujours dans les starting-block – d’ailleurs à la fin de mes ébats, j’avais toujours l’impression d’avoir couru un 100 mètres avec saut de hais et tout le bordel. Alors, avec ma technique habituelle, je plaquais mes épaules contre son torse, donnais une poussée assez forte avec mes fesses et mon dos et le fis pivoter sur le matelas. A présent Je dominais la situation et pour bien lui faire comprendre, je lui mis mon joli petit bonnet D sous le nez. J’étais prête à le killer comme si nous étions en plein combat de Aïkido. Mon corps se mit à vibrer sous l’excitation qui m’animait, l’énergie revint en moi, et je me mis à onduler sur lui, je dansais même au rythme des battements de son cœur. D’habitude c’était facile pour moi de me lâcher avec les mecs, je me fichais de ce qu’ils pouvaient penser de moi. J’étais une lionne n’ayant pas bouffé depuis des semaines. Mais avec Nickolas, je ne sais pas … je n’y arrivais pas vraiment, j’avais trop peur qu’il me juge, qu’il me trouve finalement trop bizarre, pas assez à son goût. Car au final, on ne connait pas une fille mieux qu’au lit. En clair, ça faisait beau cinq ans que nous nous côtoyons, la phase finale se trouvait maintenant. C’était à présent qu’il pouvait décider si oui ou non il voulait continuer avec moi. Et j’avais beaucoup trop peur de faire un mauvais pas. Pourtant il m’avait vu dans des situations carrément honteuse – complètement ivre morte à moitié nue au milieu de la rue, vomissant par ci par là et autres scénarios tout aussi désastreux. Mais le sexe, c’était vital dans la vie d’un couple – personne ne peut dire le contraire ! Et si je foirais tout maintenant, je le perdais.

Alors que je continuais de me frotter à lui, ou plutôt d’onduler, je sentis sa main aussi grande qu’une raquette de tennis m’agripper la hanche, comme s’il voulait m’obliger à bouger plus contre son sexe que je sentie d’ailleurs durcir d’un coup. Je m’arque boutais contre lui, de façon à l’épouser un peu plus ainsi que le regarder dans les yeux. Ces yeux de braise que j’aimais tant, qui m’avaient fait chavirer le cœur la première fois que son regard s’était accroché au mien. Nous étions faits pour être ensembles, c’était une simple évidence. Comme la vache aime l’herbe. Puis, prise dans mon élan, je me positionnais de sorte à faire rentrer son pénis rapidement et profondément en moi. On aurait presque dit que je faisais une position relaxante de yoga. Relaxante pas vraiment, surtout très excitante. Il était enfin en moi et je n’avais même pas pris le temps de le faire pénétrer doucement, délicatement, histoire de nous faire languir l’un l’autre. Non je n’avais pas eu envie de ça. J’étais plutôt comme une experte en natation, je fonçais tête baissée et savourais les biens faits après. Ce coup sec venait de m’émoustiller. Son membre brulant épousait parfaitement mon vagin, je le savais. Il le remplissait, je n’étais pas blasée de sentir qu’il y avait encore de l’espace. Bien au contraire, j’étais comblée et c’est le cas de le dire. Mon apollon se mit alors à m’agripper plus fermement les fesses, me faisant bouger au rythme de ses coups de bassin. En clair ce n’était pas moi qui menais la danse, j’aimais ça, oh ça oui, j’adorais. Mais je voulais qu’il me laisse faire. J’avais envie de lui montrer de quoi j’étais capable aussi – mis à part les pipes du siècle. Ma bouche alla rencontrer la sienne, avide. Avec fougue nous nous embrassâmes alors que j’ondulais telle une sirène, provocante, insolente, je l’obligeais à me laisser faire. J’avais l’impression de charmer un serpent, lui indiquant le chemin à suivre. Puis le rythme s’accéléra, cette fois je n’ondulais plus, je frottais littéralement à lui, cherchant à faire pénétrer son sexe au plus profond de moi. Je voulais qu’il comprenne que j’étais à lui, pour lui. Je m’offrais.
Je nous fis faire une nouvelle roulade pour qu’il se retrouve sur moi, malaxant mes fesses de patineuse. Quant à moi, je ne me lassais pas de regarder ce magnifique torse sculpté. Je me mis à l’embrasser, jouant avec ses tétons roses. Puis ma tête alla s’enfouir dans son cou où je pu humer ce merveilleux parfum que j’affectionnais, son odeur à lui. Mes lèvres rencontrèrent la peau, puis ma langue alla récolter les quelques perles salées. C’était un savant mélange de pur mâle et de passion. Retirant ma tête, je lui jetais un regard lubrique et me mordis la lèvre inférieure, signe que j’approchais grandement du point de non retour. J’étais fichu. Et je comptais bien l’entrainer avec moi dans ma chute. Je me mis à pousser de petits cris de jouissance qui n’étaient jusque là que des soupirs de plaisirs. Mais l’excitation était à son comble. La jouissance était proche et je ne pouvais m’empêcher de hurler tellement c’était bon. Son nom m’échappa plusieurs fois, finissant dans un soupir. Mes ongles griffèrent son dos, et j’accélérais une nouvelle fois le mouvement contractant mon périnée pour maintenir son sexe prisonnier de mon corps. Il allait craquer, je sentais la tension de son membre, dans tous ses muscles. Il me désirait tout autant que moi. Et le coup de bassin qu’il me donna fut le coup assassin. Un hurlement de plaisir sortit de ma gorge, jouissance extrême. Je soulevais mon fessier de sorte à rester coller à son bassin, mais il continuait de bouger. Il avait craqué lui aussi. Une onde d’électricité me parcourut le corps, sous la peau. Je me sentis frissonner. Nous restâmes quelques minutes ainsi, lui posé sur moi. Puis je lui dis dans l’oreille : « Je suis le Usain Bolt du sexe, pas vrai bébé ? 1-1 » Nous allions continuer comme ça toute la nuit, je le savais d’avance. Mais je crois que j’allais m’évanouir avant la fin des festivités. Je n’avais encore jamais connu d’extase telle que celle là. Comme quoi, faire l’amour avec l’être aimé, ça change tout. Je l’aimais.



fiche par century sex.


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» potins : 352
» age : 37
» emploi/étude : Architecte & Agent immobilier, prof de maths particulier et Pompier Volontaire
» numéro de maison : Sur Madison Avenue, au dessus de son agence

Can you keep a secret ?
greatest fear ?:
what Bee's thinking.:
Nickolas D. Ainsworth
OMG! Nickolas D. Ainsworth is gorgeous!

Nick'orette, Arrêtez de fumer!
MessageSujet: Re: My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16]   My body needs a hero, come and save me ♥ Nick&Haz [-16] Icon_minitimeSam 22 Sep 2012 - 16:05

My body needs a Hero, come and save me
Ft. Hazel & Nickolas

    « Si tu penses que je vais te laisser gagner aussi facilement, tu n’es qu’un raton laveur mauvais joueur … tu ne sais pas à qui tu t’adresses là, petit. »

Quelques minutes plus tard....
    « Je suis le Usain Bolt du sexe, pas vrai bébé ? 1-1 »


Nickolas était dans son immense lit complètement sans dessus dessous. Les draps étaient compléments froissés, un coin s'était détaché, la couette et les couvertures étaient par terre, la moitié des oreillers et coussins (il en avait une dizaine) avaient disparu de la circulation. Après le rire qu'avait provoqué cette phrase complètement incongrue et bien digne de Hazel chez Nickolas, le calme était arrivé. Calme après la tempête, après une successions de soupirs, de cris perçants, de grognements animaux. Zeus. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas connu telle extase, et il se demandait même si un jour il l'avait connu. Il roula sur le côté, s'allongea sur le dos, collé à son amour, une main sur son sexe trempé, l'autre derrière sa propre tête, et il réfléchit. Non jamais. Jamais l'orgasme avait été si fort, jamais tant de liquide séminal avait été propulsé de son membre par la magie d'un vagin, jamais. Le sexe chez l'homme est assez primitif, mécanique. Une fille, ou un homme d'ailleurs, à son goût, quelques va et viens et puis pouf, éjaculation. Pouvait-on la considérer comme un orgasme, toujours, cette éjaculation ? Parce que sérieusement, si on la comparait à ce que vivaient parfois les femmes, ça n'avait rien à voir. Combien de fois, il avait vu une femme entre ses bras rentrer dans une sorte de transe mystérieuse, hurler de plaisir alors que lui éprouvait juste la sensation d'être ... Vidé, d'une manière pire qu'agréable, c'est vrai, m'enfin ... ? Plein de fois. Nan, Nickolas en était sûr, l'éjaculation n'était pas forcément orgasmique. Ce constat fait, il se dit que si Hazel continuait à lui faire ce qu'elle lui faisait, il allait avoir très très souvent de magnifiques orgasmes digne de ceux des femmes. Parce que putain. Cette nana était magique. Est-ce que tout était lié ? L'amour, le sexe, le plaisir ? Non, ça se saurait. Mais Nickolas ne pouvait trouver d'autre explication. Il n'avait jamais été aussi amoureux qu'il ne l'était de Hazel, il n'avait jamais eu autant envie de faire l'amour à une femme qu'avec Hazel, et il n'avait jamais éprouvé autant de plaisir qu'avec Hazel. Oh. Pourquoi avait il ruiné tant de temps à tourner autour du pot alors qu'il aurait pu avoir depuis un bail de telles parties de jambes en l'air ? Pourquoi avait-il tant attendu pour être heureux ? Un an, ce n'était pas trop long, mais deux, TROIS ? Nickolas ne pouvait s'empêcher de se traiter d'être stupide. Et puis il repensa à son secret. Qu'il ne lui avait toujours pas avoué. Mais il chassa cette idée de son esprit, sinon il allait encore vouloir tout arrêter, culpabiliser, et ce n'était plus possible.

Apres quelques minutes de ce silence et de ce calme, Nickolas bascula à nouveau, se mit a quatre pattes au dessus d'elle, les mains posés des deux côtés de sa tête, et ses mollets touchants son bassin encore chaud, et il dit :

    « Heureusement que moi — Il embrassa son cou transpirant — je suis pas Usain Bolt, hein chérie ? — ses lèvres se déplacèrent vers son oreille — 9 secondes 45, qu'est ce que tu ferais de ça ? — il fit glisser une de ses mains le long de son pubis imberbe, glissa un doigt dans son antre détrempée, commença de légers vas-et-viens — qu'est ce que tu dirais, si j'éjaculais au bout de 9 secondes, me dis pas que tu serais satisfaite ... — il huma son cou, y déposa quelque baisers, puis pris ses lèvres en otage contre les siennes — nan, toi tu vises plus haut, hein ... — alors qu'il venait de glisser un deuxième doigt dans son vagin et qu'il accélérait le mouvement, il les retira tranquillement, se releva, sorti du lit et dit : — je ne suis pas un raton laveur mauvais joueur, ou alors toi tu es ... Une tigresse en chaleur. Nan, ça c'est ce que tu es vraiment. Une déesses du sexe ? Nan, ça aussi c'est vrai ... Une petite cochonne. Hmpf, à méditer. Nan, si moi je suis un raton laveur mauvais joueur, tu es ... Une truite frigide ! Tu veux un truc à boire ? »


Nickolas, nu comme un dieu grec, se dirigeai vers sa cuisine, exposant en corps à qui voulait bien le voir, vu les baies vitrées qui remplaçaient les traditionnelles fenêtres dans tout son appart. Même s'il pouvait entendre l'écho de ses pas, il aurait tout de même juré qu'il planait à quelques centimètres du sol. Par Zeus, rien que sortir de la chambre, pour chercher un verre d'eau, et il s'inquiétait déjà de la perdre. Et si tout cela n'était qu'un rêve ? Un effet de son imagination suite à une trop forte consommation de la Marie-Jeanne cachée dans son armoire ? Non, impossible, il n'avait rien fumé, même s'il avait certain de ses effets secondaires : la sensation de planer, d'être le plus heureux des hommes, de pouvoir faire n'importe quoi, et particulièrement pour elle. Elle étant la femme de sa vie, Hazel Monroe, la femme qui le faisait aussi bien rire que pleurer et qu'il voulait rendre heureuse, et il le voulait par dessus tout, surtout cela passait par lui donner une dizaine d'orgasmes par nuit ...

Il but de longues gorgées de l'eau très fraiche, et puis ramena un verre à la chambre, pour Hazel. Il sentait qu'il reprenait du poil de la bête, à peine la vit-il, allongée sur le ventre, les fesses en l'air, ses cheveux blond tombant en cascade sur son dos cambrer, qu'un frisson lui parcourait l'échine, et puis un autre réchauffa son bas-ventre quand elle se retourna, s'assit en tailleur dans les draps, sa poitrine complètement libérée, ses tétons pointant le ciel.

Tandis qu'elle buvait, il s'assit derrière elle, la tête posée sur une de ses épaules, mordant, léchant et embrassant son cou encore humide de chaleur humaine. Milles et unes odeurs naturelles et artificielles se devaient se dégager de la chambre de Nickolas, et il s'en délectait, ravi pour une fois d'avoir son odeur à elle, si proche de lui, et pas celle d'une stupide nana sans importance. À peine avait-elle finit son verre que déjà, toujours assis derrière elle, il passa sa main dans ses longs cheveux blonds, tira légèrement dessus de manière à ce que sa tête tourne vers la sienne, il planta ses yeux dans les siens, se senti tomber encore plus amoureux, si c'était possible, et l'embrassa nouveau, en pleine bouche. On aurait pu prendre une photo devant tant de sensualité. Il avait une main dans ses cheveux, l'autre sur son sein, leur respiration était forte, haletante, le tension remontait déjà entre les deux, et Nickolas était prêt pour un second round que cette fois, il comptait gagner haut la main.

Pour cela, il fallait qu'il aie un peu plus le contrôle de la situation, et ce n'était pas derrière elle qu'il allait y arriver (enfin derrière elle et pas dans une position particulièrement sexuelle...). Il interrompit donc le baiser, se plaça face à elle, le sexe à nouveau dressé, fier, attrapa son visage entre ses mains, planta ses yeux dans les siens, et dit :

    « On a trois ans à rattraper. Trois ans de rêves, de fantasmes, de désirs inassouvis. Trois ans de conneries à se tourner autour comme des idiots. Mais j'ai l'intention de me rattraper, et je ne compte pas te laisser quitter cet appart pendant au moins trois jours, tant pis pour la fac, tant pis pour mon agence, je te ve ux pour moi tout seul. Je veux qu'on rattrape les trois années où j'ai fais la connerie de pas te dire que je t'aimais, que je t'aime et que je t'aimerais toujours... »


Il l'embrassa à nouveau, langoureusement, fiévreusement, sentait des frissons de chaleur parcourir tout son corps, il sentait la poitrine de Hazel durcir contre son torse tandis qu'elle se frottait littéralement à lui, comme inlassée et inlassable de ces parties de jambes en l'air absolument divines. Bientôt, le drap du matelas était complètement enlevé, tant les galipettes étaient agitées, et tout l'immeuble réveillé par les cris de jouissances incessants. Ça dura toute la nuit, continua jusqu'au petit matin, où tous les deux, exténués, finirent par s'endormir, heureux.





Bon, j'ai carrément fait avancer le shmilblick, mais j'ai hâte qu'on passe à un nouveau RP en fait ! Si tu préfères que je change la fin, pas de problème, dis moi :)



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