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 Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥

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MessageSujet: Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥   Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥ Icon_minitimeMer 10 Oct 2012 - 15:15




Nickolas & Hazel

« Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte. »


Cela faisait environ trois mois que nous filions le parfait Amour Nick et moi. Et je dis bien Amour, avec un grand « A » car après s’être tournés autour pendant trois longues années, nous avions enfin sauté le pas et ce beau mâle, ce magnifique dieu russe était enfin à moi et moi à lui. Et j’étais enfin comblée de bonheur. Tout allait bien dans ma vie. J’avais réussis mon concours de psycho, ma famille allait pour le mieux, la coloc’ tournait bien et Nickolas et moi étions enfin réunis. Je n’avais donc aucune raison d’aller mal en clair. Sauf qu’un petit détail vint bouleverser cette paisible quiétude : mon retard. Pendant un mois nous n’avions fait que baiser comme des lapins, faut dire que ça faisait un bout de temps qu’on attendait ça comme des cons – à rien se dire, fallait vraiment être débiles, mais c’était de l’histoire ancienne à présent. Mais pendant ces mois, collée à mon russe, je n’avais pas vraiment fait attention. Ma pilule était oubliée au fond d’un tiroir en bazar depuis bien deux mois et Nick n’avait que très rarement mis de capotes – en y pensant, avait-il fait ça avec toutes ses conquêtes ? Pour ma part je n’avais pas l’habitude de faire l’amour sans préservatif mais j’avoue que ça faisait tellement longtemps que j’attendais cet homme que je m’en fichais complètement. Mais à ce moment précis de ma vie, mon je menfoutisme était bien loin de moi. J’étais plutôt très inquiète. Je me mis à trembler, c’est en ouvrant mon placard à tampons et autres serviettes machin chouette que je m’étais rendue compte que je ne m’en étais pas servis ce mois-ci et n’avais donc pas eu mon problème mensuel de fille. Je couru alors dans ma chambre et ouvrit mon placard où était suspendue un calendrier à l’intérieur de la porte. Je parcouru les mois des yeux rapidement, et tout me tomba alors dessus … un test. Je dévalais les escaliers – en faisant attention de ne pas m’éclater la tête comme je l’avais fait une fois – et me précipitais dans la salle de bains de mes locataires – une salle de bain qui n’était rien que pour eux. Ma meilleure amie et moi avions la notre, quand même, on ne rigole pas avec ça. Déjà quand j’habitais chez mon père, je me battais avec Liz car je ne supportais pas qu’elle prenne toute la place et tout ça, avec tout ses produits de beauté … alors partager ma salle de bain avec une ribambelle de filles qui ont des tonnes de maquillage ? JAMAIS. Pas contre je savais que dans cette salle de bain se trouvaient des tests de grossesse – que j’avais moi-même acheté pour qu’elles ne tombent pas toutes enceinte dans ma maison – comble de l’ironie n’est-ce pas ?!

Après avoir tout foutu par terre et répandu des préservatifs de partout, je tombais enfin sur les boites bleu et blanche – clear blue. Je me mis une nouvelle fois à trembler, et ce n’est que lorsque je me relevais que je réalisais que j’avais cessé de respirer. Mon dieu. Je pris ma respiration et me dirigeais dans les toilettes les plus proches avec ma petite boite en carton. J’allais devoir faire pipi sur un petit bâtonnet en plastique qui allait m’annoncer si j’allais être maman ou non. Maman … ! Ce n’était pas possible ! Je m’enfermais à double tours et pressais la tête contre le carreau froid du mur en tentant de garder une respiration régulière. En y réfléchissant bien, ce n’était pas comme si j’avais à peine seize ou dix huit ans.

Quand ça affiche une barre c’est que c’est positif, quand ça en affiche deux, c’est négatif, quand c’est positif ça affiche une barre, quand c’est négati… j’étais entrain de bouillir de l’intérieur mais restée totalement immobile en attendant que le résultat s’affiche. Le pire avec ce test de grossesse c’est que si le résultat était positif, ça affichait depuis combien de semaine … Cinq minutes, ça devait être bon. Doucement mais surement je rapprochais le bout de plastique blanc de mes yeux et … mortsubited’hazelmonroe. Non seulement j’avais UNE barre mais en plus de ça un chiffre s’affichait à côté : 5s … Je jetais tout à terre et me mis à lire la notice ... tttt … ha… « Quant à l’affichage, le test Clear Blue affiche le nombre de semaines… » … ok… J’allais défaillir sur le champs. Mon dieu. Cinq semaines …
Après avoir envoyé un message à Nick qui me répondit, plutôt bizarrement, qu’il arrivait tout de suite, je ne pu faire autre chose que d’aller m’asseoir sur une chaise de la cuisine, le regard dans le vide. Cinq semaines. Enceinte. Maman. Nickolas. J’étais enceinte de cinq semaines, de Nickolas, j’allais devenir maman … Je posais la tête sur le bois usé et attendis que ça passe. Nickolas devait se dépêcher.

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MessageSujet: Re: Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥   Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥ Icon_minitimeSam 3 Nov 2012 - 23:11





« Hazel and Nickolas »

« Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte. »


Nickolas n’avait jamais vraiment eu de famille. Tout son côté maternel était inexistant, puisque sa mère l’avait laissé sous le porche de la maison de son père avant ses six mois, et il ne l’avait jamais revue, et ça faisait bien longtemps que son père ne faisait plus vraiment partie de sa vie (depuis qu’il avait emménagé il y a six ans à Middle Fawkes, en réalité …). Mais depuis qu’il était avec Hazel, tout était différent, son monde était comme renversé. Il avait rencontré son père, les amis de son père, sa marraine toute sa famille, et il ne pouvait bizarrement s’empêcher de se dire « Elias Monroe est mon beau-père », ou encore « Liz est ma belle-sœur », alors que ça ne faisait que quelques mois qu’Hazel et lui étaient ensemble et filaient le parfait amour, et surtout, ils n’étaient pas mariés ! Mais ce n’était certainement pas ça, le problème. Nickolas n’avait pas besoin d’anneaux pour se sentir proche d’Hazel. Il n’avait pas besoin de mariage pour avoir l’impression d’être en famille avec elle. Elle était sa famille, c’était comme une évidence.

Il était à l’agence, quand il reçut le SMS. Il était déjà tard, 20 heures passées, mais il avait vraiment besoin de bosser sur quelques plans de maisons, et il ne reculait jamais devant le travail. Il était plongé dans la confection des sous-sols d’une certaine madame Loopers quand son portable vibra, et annonça un message de Bébé. Etait-ce un signe avant-coureur ? Il n’attendait jamais, pour ouvrir un message de son amoureuse, elle ne faisait pas partie de cette catégorie de personne dont on pouvait oublier le sms. Il l’ouvrit alors immédiatement, s’attendant à n’importe quoi, sauf ce qu’il vit sur l’écran. C’était un mms. Mais pas n’importe quel mms, pas une photo d’une partie de son corps nue, où d’un « jeu » qu’elle avait acheté, ou d’un bain qu’elle avait fait couler, non, ça n’avait rien n’à voir, non non. C’était sa main. Sa main sur laquelle reposaient deux tests de grossesses barrés d’un unique trait. Même s’il ne s’y connaissait pas en test de grossesse, et qu’il ne savait pas si un trait voulait dire enceinte ou non, c’était sans importance. Suffisait que Hazel lui envoie cette photo, accompagnée de la petite légende Je crois qu'il faut que tu viennes vite à la coloc'. pour qu’il comprenne. Son Iphone lui glissa des mains, tomba au milieu de ses plans, éparpillants ses crayons et marqueurs sur tout le bureau. Si quelqu’un avait été dans l’agence à ce moment-là, il/elle aurait certainement voulu lui donner une claque, pour le réveiller : il avait les yeux exorbités, la bouche a demi ouvertes, les mains au-dessus de sa table de travail comme s’il avait toujours en main son portable, et il bégayait des sons inintelligibles, sans bouger un seul autre muscle de son corps. Il resta ainsi une demi-minute (c’est long, 30 secondes), avant de se rendre compte de son état second, de se secouer le crâne, et de répondre, tout tremblant, à sa moitié, lui disant qu’il arrivait. Il glissa son portable dans sa poche, se leva, manquant dans la précipitation de renverser son bureau, attrapa au vol ses clés accrochées à l’entrée, par simple reflexe, parce que arrivé devant sa jaguar, il se rendit compte qu’il n’était certainement pas en état de conduire, entre ses mains moites et ses jambes qui tremblaient. Il se mit donc à courir, en direction de la grande colocation de Hepburn Street, pas si loin que ça, mais à 15 bonnes minutes en marche tranquille. S’il parvenait à garder un rythme constant et une bonne respiration, il serait auprès de son amoureuse en … 8 minutes. Merci les entraînements de pompiers qui lui avaient donné une bonne endurance.

Cette course de pleine nuit, le vent automnal en pleine face, lui permit de retrouver un peu ses esprits. Elle avait fait deux tests, les deux avaient une petite barre. Ça voulait dire que c’était sûr ! Zeus, elle était vraiment enceinte, alors que ça faisait cinq mois qu’ils étaient ensemble ! Cinq mois qui étaient passés incroyablement vite, mais pas assez pour envisager l’arrivée d’un bébé ! Un bébé ! Un petit être, né de sa chair et de son sang, qui faisait caca partout et mangeait et pleurait tout le temps ! Ca y’est, il paniquait … Et il voyait surtout un futur qui était peut-être bien loin de la réalité… Peut-être que Hazel ne voulait pas de ce bébé ! En même temps, quoi de plus normale, elle était bien trop jeune ! 22 ans ! En plein dans ses études de psycho, çà non, ce n’était vraiment pas le moment opportun, loin de là ! Et c’était pareil pour lui, son agence commençait à peine à bien fonctionner, il devait travailler jusqu’à tard le soir et enchaîner avec des petits boulots pour arrondir ses fins de moi, bref, Hazel était tout en droit de dire non ! Mais lui, qu’est-ce qu’il voulait, lui ?

La porte de la coloc était fermée, il lui suffit de la pousser pour l’ouvrir. Il croisa des regards connus, de toute façon il connaissait tout le monde, maintenant, à force de passer ses nuits et ses matinées là-bas (les journées colociales étaient plus rares), mais ne salua personne. Il se contenta de gueuler :
    « AMOUR ? »

Une petite voix derrière lui chouina : cuisine. Il ne savait pas qui s’était, mais glissa un merci, et comme hypnotisé par le couloir qui menait à la cuisine, il fila. Il poussa la porte de la cuisine en bois, qui portait encore les marques du coup de poing qu’il lui avait donné, coup de sang du tout début de leur histoire d’amour. Son amour, sa moitié, sa vie, était seule, assise sur une chaise. Il se précipita vers elle, s’agenouilla près de ses jambes, attrapa son visage entre ses mains, et planta ses yeux dans les siens. Quand il croisa ses iris bleus, un sourire s’agrandit sur son visage. Il déposa un baiser sur sa bouche, très doux. Il murmura :
    « Enceinte, alors ? »

Il attrapa ses mains, se leva et la fit se lever avec lui, fit un signe de tête, et ajouta :
    « On va en parler dans ta chambre ? On sera plus tranquille … »




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MessageSujet: Re: Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥   Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥ Icon_minitimeMer 28 Aoû 2013 - 10:01




Nickolas & Hazel

« Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte.  »  



Être maman, devenir maman, ce n’est pas quelque d’anodin, que l’on décide sur un coup de tête. C’est quelque chose qui se réfléchit, à laquelle on pense longuement, il faut voir sur le long terme et alors des tonnes de questions se posent à nous : saura-t-on élever cet enfant correctement et lui enseigner les bonnes choses ?! Aura-t-on assez d’amour à donner ?! Pourra-t-on lui offrir une belle vie ?! Et surtout pourra-t-on le nourrir correctement tous les jours, lui payer des habits, des jouets et surtout des études ?! C’est à ça qu’il faut songer et non à  « est-ce-que mon bébé sera beau ?! J’espère qu’il sera blond avec les yeux bleu … » Et en ce moment, toutes ces questions tournaient dans ma tête, m’empêchant de voir ce qu’il se passait autour de moi. Si nous décidions – oui, nous, il m’était plus qu’impossible de décider seule, le bébé qui était en moi était aussi celui de Nick – de le garder, allais-je être une bonne mère ? Saurai-je répondre aux attentes d’un nourrisson ?!  Et si je n’y parvenais pas, me l’enlèverait-on ? Ces questions, je me les posais déjà, mais deux sortaient du lot : Nick voudrait-il que nous ayons déjà un enfant ensembles ?! et moi, souhaitai-je déjà être mère ? Ces questions demeuraient sans réponses, du moins la seconde. La première serait peut-être réglée à l’arrivée de Nick.

Nickolas Ainsworth ou également nommé : « l’homme de ma vie ». Des années durant je l’avais attendu et adulé en secret sans que jamais rien ne se fasse entre nous, jusqu’au jour où j’avais pété un câble et que tout s’était bousculé en un rien de temps, chamboulant nos vies à jamais. Et à présent cela faisait plusieurs mois que nous vivions le parfait amour avec la baise parfaite, les repas en amoureux parfaits, et les week-ends de débauches total. Le pied à chaque instant. Et à présent je lui brisais son quotidien d’homme tranquille, en lui annonçant que j’étais enceinte. Si j’avais fait un peu plus attention en pensant moins à mon vagin et plus à mes ovaires, nous n’aurions pas ce problème. Nick allait-il me laisser tomber ? Allait-il me quitter parce que je n’avais pas fait attention ?! Mes membres se mirent à trembler et un mal de crâne pointa le bout de son nez. Je sentis déjà mon cœur s’emballer et les larmes me monter aux yeux.

Soudain la porte d’entrée s’ouvrit, un bourdonnement de voix significatif me fit comprendre que mon homme venait d’entrer dans la colocation. Des pas rapides et forts, de nouveau une porte s’ouvre mais je n’ai pas la force de relever la tête. Son odeur, son parfum musqué que j’aime tant me titille les narines mais me donne un haut le cœur. J’ai envie de vomir mais je ferme les yeux encore plus fort, pince les lèvres : ca va aller. Si je ne supporte même plus ce parfum que j’aime tant, alors je ne veux pas être enceinte ! C’est une réflexion d’enfant, je le sais, mais j’ai juste envie de me rouler en boule et de pleurer. Mais mon amour est là, il s’agenouille près de moi, je sens son regard brulant sur moi, son corps touche le mien et ses mains entourent mon visage. Il me soulève celui-ci et me dit : « Enceinte, alors ? », d’une voix douce et sensuelle comme toujours, et comme à chaque fois des papillons volètent dans mon bas ventre. C’est fou l’effet que me fait cet homme ! Un incroyable sourire illumine son visage. Il est … heureux que je sois enceinte ?! Déboussolée, pendant un instant je ne sais plus quoi faire, plus quoi dire, je me contente simplement de fixer ces merveilleuses prunelles vertes dans lesquelles j’adorais me noyer. Un doux baiser sur mes lèvres et quelques secondes plus tard, il me prenait les mains pour me faire lever avec lui. Je ne pu résister à la chaleur de son corps, et une fois debout je me jetai contre son torse. Semblait-il vouloir me quitter ? Tout était incertain, mais s’il ne voulait plus de moi, pourquoi était-il venu ?! Il fallait que l’on parle de ce qui venait de nous tomber sur le coin du nez : « On va en parler dans ta chambre ? On sera plus tranquille … » J’acquiesçai d’un signe de tête, visiblement nous venions d’avoir la même idée.

Nickolas connaissait la maison comme sa poche, fallait dire que la plupart du temps il était ici. Alors il passa devant, me tirant doucement par la main, et me mena vers les escaliers qui desservaient le premier étage – là où se trouvaient les chambres de mes locataires – puis le deuxième étage – mon étage. Lorsque nous entrâmes dans ma chambre, les deux tests de grossesse se trouvaient encore sur mon lit. Une vague de nausée me terrassa et je lâchais précipitamment la main de mon homme pour courir jusqu’à la salle de bain, mon autre main plaquée sur ma bouche. Je fis claquer la porte et me jetai à terre, la tête au dessus de la cuvette des chiottes. Mon dieu c’était donc ça d’être enceinte ?!
Je me redressais, encore vaseuse, et sans forces. Je m’appuyais contre le bord du meuble de la salle de bain, et me rinçais le visage à l’eau froide avant de me laver les dents rapidement. S’il y avait bien une chose que je ne voulais pas faire devant Nick, c’était me laisser aller. Lorsque je ressortis de la salle de bain, fraîche comme un cardon, j’affichais un sourire – histoire de rassurer mon homme et surtout moi en réalité – mes les larmes menaçaient de couler à chaque seconde. Quelques pas me suffirent à me rapprocher de l’amour de ma vie. Lentement je plaçais mes mains sur son torse avant de lui dire, dans un chuchotement : « Je suis terriblement désolée Amour, et je comprendrai que tu ne veuilles pas d’enfant maintenant … » Les hommes avaient faillis rester coincés dans ma gorge, mais j’avais réussi à les déloger, car il fallait bien que nous en parlions à un moment ou à un autre. Nous étions un couple, et peut-être de futurs parents… mais ce dernier point était justement le motif de notre discussion.

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MessageSujet: Re: Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥   Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥ Icon_minitimeJeu 5 Sep 2013 - 23:29





« Hazel and Nickolas »

« Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte.  »


Hazel et Nickolas étaient officiellement ensemble depuis, allez, quatre mois (c’était son truc à elle de connaître par cœur leur date d’anniversaire, lui faisait du plus-ou-moins) mais, officieusement, ça faisait combien de temps qu’ils s’aimaient ? Ils s’étaient rencontrés il y a trois ans, et du côté de Nickolas du moins, ça avait été un coup de foudre. Bien sûr, il ne l’avait dit à personne, pas même à lui-même, mais en réalité, Nickolas et Hazel étaient presque en couple depuis trois ans. Presque. Mais même au bout de trois ans, c’est trop tôt, bien trop tôt pour avoir un gosse. Certes, ils n’étaient pas non plus des adolescents, Nickolas avait 28 ans, Hazel 25, c’était plus ou moins l’âge d’en faire, m’enfin si vite, sans que ça soit réfléchit ? L’Amour dure trois ans, paraît-il, et si il se fanait, justement, hein ? Nickolas avait des millions de doutes, et la première était celle-ci : tout ceci n’était pas supposé arriver. Nickolas aimait avoir le contrôle. Il n’était pas contre la vitesse à laquelle allaient leur relation, mais il aimait savoir ce qu’il allait vivre le lendemain, et avec qui. Quatre mois et ils vivaient quasiment déjà ensemble, c’était rapide, mais ça avait été discuté. Ce bébé était un imprévu. Evidemment qu’il aurait fallu s’y attendre, à force d’oublier les capotes et/ou la pilule du lendemain, le corps humain fonctionne ainsi, pénis plus vagin égal spermatozoïde qui rencontre ovule, égal bébé. L’équation était évidente, et pourtant aucun des deux n’avait pensé à la résoudre, et les voilà aujourd’hui, face à une situation très inattendue.

Le cœur de Nickolas battait à mille à l’heure, évidemment. Dès qu’il voyait Hazel, de toute façon, c’était ainsi, comme s’il retrouvait la vie. Sensation étrange, n’est-ce pas ? Ne la comprendront que ceux qui ont déjà aimé, et ça, soyez-en sûr, Nick aime son Hazel comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma. Bref, il l’avait retrouvée, enfin. Elle lui avait envoyé le fameux mms à peine une quinzaine de minutes plus tôt, et bien sûr, pour elle, il avait lâché son boulot pour la retrouver. Comment autrement, il n’aurait pas réussi à se concentrer plus longtemps, de toute façon. Il lui proposa dès qu’il la trouva assise dans la cuisine de monter dans sa chambre pour discuter, parce que les jeunes qui vivaient là avaient la fâcheuse tendance d’écouter aux portes, curieux qu’ils étaient, mais ils savaient que le deuxième étage leur était interdit, c’était celui d’Hazel – et puis désormais le sien …
Il prit la jeune femme par la main, l’entraînant donc vers son antre, au deuxième. Ses gestes étaient doux, Hazel paraissait en effet extrêmement fragile. Lui aussi aurait pu s’effondrer à tout moment, mais il tâcha de ne pas trop le montrer, il devait être fort, pour elle. Néanmoins, à peine ils entrèrent dans sa chambre que Nickolas commença clairement à paniquer. Sur le lit, encore défait, il y avait les deux tests de grossesses, mais ce ne fut pas cela, le plus troublant : ce qui le fut, c’était Hazel qui fonçait vers la salle de bain, vider ses tripes dans la cuvette des toilettes. Nickolas en resta coi, se tenant comme un idiot là où elle l’avait lâchée, la bouche un peu ouverte, les yeux écarquillés. Zeus, mais qu’était-il en train de leur arriver, hein ? Et depuis quand les femmes enceintes vomissaient en début de soirée, hein, ce n’était pas supposé arriver le matin ? Merlin, était-ce normal ? Allait-elle bien ? Ou vomissait-elle d’émotion ? Hazel, vomir d’émotion, elle qui déjà ne vomissait pas bourrée ? Et pourquoi restait-il planté-là, plutôt que d’aller lui tenir les cheveux ? Yahoo, Nick, bouge-toi le cul, tu fous quoi ? Ah ben, trop tard, la voilà qui ressort de la salle de bain. Et un sourire aux lèvres, en plus, son haleine diffusant une odeur de menthe fraîche dans toute la pièce.

Nick sembla respirer à nouveau, quand Hazel débarqua à nouveau dans la pièce. Ca fait crétin, si je vous dit qu’elle était son oxygène ? Peut-être, mais à ce moment-là, elle l’était. Ses yeux étaient humides, il la connaissait tellement bien. Ce sourire étrange qu’elle affichait voulait dire « me pose pas de question sinon je vais m’effondrer en sanglots et je ne veux pas que tu me voies comme ça, Nick, je suis une femme forte. », plutôt que « mais oui, je vais très bien ! ». Et puis, elle se mit à parler.

    « Je suis terriblement désolée Amour, et je comprendrai que tu ne veuilles pas d’enfant maintenant … »


Trop d’informations dans une même phrase, Nickolas sentait presque ses jambes défaillir, il ne les maintenait en place qu’à la force de son cerveau, mais s’il arrêtait de se concentrer dessus, il tomberait, ses muscles le lâcheraient très certainement. Elle voulait le garder, ce gosse. Et lui ? Telle était en réalité la question, était-il prêt, aimait-il Hazel pour qu’elle le fasse père de leur enfant ? En même temps, il s’était fait tout seul père de leur enfant, me direz-vous, m’enfin … La question restait la même : était-il prêt ? Le voulait-il ? Etait-ce agir en adulte responsable que de lui dire de ne surtout pas aller se faire avorter ? Après tout, ce qu’elle avait dans le ventre n’était qu’un tas de cellules sans système nerveux, il ne ressentirait rien, et ça serait certainement mieux pour eux, non ? Zeus, que faire, que dire ? Nickolas ne savait pas. Alors il rapprocha encore plus Hazel de lui – elle avait déjà ses petites mains posées contre son torse – pour finir par l’enlacer de ses bras, et la serrer contre lui. Sans le vouloir vraiment, il sentit sa tête se loger dans son cou, pour ne plus vouloir quitter cet emplacement doux et chaud. Et oui, Nick était tendre, parfois, en particulier avec la femme de sa vie.  Ils restèrent quelque temps ainsi. Les lèvres de Nick touchaient son cou, sa nuque, et il l’embrassait doucement, sans y faire vraiment attention. En réalité, il se vidait l’esprit. Logé là, il ne pensait plus à rien, pendant les quelques secondes que durèrent cette étreinte (ou minutes, peut-être) il avait la tête vide. Puis, finalement, toujours dans ses bras, il fit :

    « T’excuses pas Amour. Sur ce coup-là, je suis aussi responsable que toi. »


C’était la réalité. Pourquoi aurait-elle à s’en vouloir, alors qu’en soit il avait aussi un rôle dans cette conception de bébé : un ovule tout seul, ça ne fait pas un bébé. Il faut un spermatozoïde,  et c’était lui qui le fournissait. Il fallait qu’elle le sache, il ne lui en voulait pas, pas le moins du monde. Il s’écarta ensuite un peu d’elle, attrapa se petites paumes, noua ses doigts aux siens. A vrai dire, il ne savait pas vraiment quoi faire, quels mots prononcer. La vérité, peut-être, c’était un bon plan, ça, dire la vérité ?

    « Je … je … j’avais pas prévu ça, Haz. J’veux dire, on n’en n’avait pas vraiment parlé … Ca nous tombe dessus … Mais … mais tu sais, tu es ma famille. Je ne m’imagine pas passer mes jours avec quelqu’un d’autre que toi »


Nickolas décrocha une de ses mains de celle d’Hazel, et la porta à son beau visage. Il caressa sa joue du bout de son pouce, le visage bizarrement neutre.

    « Aller demain chez le docteur pour que tu te fasses avorter, voilà ce qui est le plus raisonnable. Tu viens de terminer tes études, j’enchaîne les boulots pour gagner ma vie, et puis … ça fait trois mois qu’on est ensemble, Haz … Trois mois. »


Nick s’interrompit à nouveau. Il disait n’importe quoi, tentant de se convaincre qu’être raisonnable était le mieux. Tentant de se convaincre, oui … Est-ce qu’il y arrivait ? Point du tout.

    « Mais, Amour, tu es la seule qui puisse faire de moi un père. Je crois que je suis prêt à l’être, mais seulement si c’est toi la mère. Alors maintenant, ou dans un ou deux ans … Je veux qu’on ait des enfants. Pourquoi pas maintenant, alors ? »

Pourquoi pas, hein ?


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MessageSujet: Re: Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥   Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte ○ Nickhaz ♥ Icon_minitimeVen 6 Sep 2013 - 7:13




Nickolas & Hazel

« Tomber par terre, tomber amoureuse, tomber ... enceinte.  »  



La tête qui tourne, les jambes flageolantes – voire limite en coton – les larmes aux yeux, la gorge serrée, les mains qui tremblent. L’hésitation, voilà ce que c’était mais surtout la peur de tout perdre. La peur de perdre Nick à cause de ce fœtus mal venu – ou du moins à cause de cette grossesse imprévue – et puis au fond, cette peur de perdre ce bébé qui représentait tout pour moi. Tout ce dont j’avais toujours rêvé. Sur combien de feuille de classeur – lorsque j’étais en cours – avais-je écrit : Nickolas Ainsworth + Hazel Monroe = LOVE ?! Ou même encore : Hazel Ainsworth MonroeHazel Monroe Ainsworth ! … HAZEL AINSWORTH.. J’avais vu ma relation avec Nickolas comme un conte de fée, un rêve. J’étais sa princesse et il était mon prince charmant – à la chevelure flamboyante – sur son beau destrier blanc, venu me sauver. C’était ce qu’il s’était réellement passé. Alors pour moi, c’était prédestiné. Tout ce qui se passait devait arriver et j’avais la conviction que Nick était l’homme de ma vie. Et que quiconque ose me dise le contraire … je serais capable de tuer. Alors ce bébé … c’était … impossible de trouver les mots.

Lorsque je réapparu – après être allée vomir à cause des émotions qu’avait provoqué la vue des tests de grossesse sur mon lit – mon russe semblait déboussolé, perdu voire même pas à sa place. Pour tout dire ça me perturbé de le voir dans cet état, lui qui était toujours si sure de lui. C’était l’homme de toutes les situations. Quoi qu’il arrive, Nick était apte à gérer – et la situation et moi. Quand je vous dis qu’il était l’homme de ma vie, le pilier de mon existence. Comme on dit, si la famille se défait, la maison tombe en ruine … dans mon cas c’était, si Nickolas plaque tout, Hazel tombe en ruine.

Mes mains sur son torse, sentir la chaleur que son corps diffusait. On dit que les Russes ont le sang chaud, je peux confirmer. Nickolas était la personne la plus chaude que je connaisse – dans tous les sens du terme. J’avais craqué pour lui à peine l’avais-je vu. Sa beauté n’avait pas été le seul déclencheur – non, je n’étais pas le genre de fille qui ne voyait que ça – mais ce qu’il dégageait, sa bienveillance, son ardeur, sa passion, tout ce qui faisait qu’il était Nick, une personne extraordinaire et unique. Mon seul et unique coup de foudre. Mon cœur avait dû faire un arrêt lorsque je l’avais vu, dans ma chambre d’hôpital – ça avait dû se voir sur le moniteur d’ailleurs.

Soudain mon homme m’enlaça, me pressant contre lui, fourrant son visage dans ma nuque, provoquant une montée de désir en moi. Nick avait le don de me faire des choses qui réveillaient mon corps entier. Comme si, à chaque fois qu’il me touchait, posait le doigt sur une zone plus qu’érogène – et pourtant dieu seul sait comme je connaissais bien mon corps. Comme quoi, cet homme était fait pour moi.

« T’excuses pas Amour. Sur ce coup-là, je suis aussi responsable que toi. » son souffle sur ma peau me fit frissonner. Inconsciemment je me remis à respirer. C’était déjà ça, il ne me tenait pas pour unique responsable – même si, après tout, j’aurais dû prendre ma pilule correctement, surtout que depuis le temps que je la prenais, ce n’était pas comme si je n’y connaissais rien. Doucement il s’écarta de moi pour prendre mes mains dans les siennes. La chaleur de ses paumes me réchauffa le cœur. Prudemment je cherchais ses yeux du regard, lorsque nous nous captâmes enfin, j’eu envie de me noyer dans son regard bleu glacial. « Je … je … j’avais pas prévu ça, Haz. J’veux dire, on n’en n’avait pas vraiment parlé … Ca nous tombe dessus … Mais … mais tu sais, tu es ma famille. Je ne m’imagine pas passer mes jours avec quelqu’un d’autre que toi » Haz … ce n’était jamais vraiment bon quand on commençait à s’appeler par les surnoms « communs », que tout le monde nous donnait. C’était pour parler de choses vraiment sérieuses, quand nous voulions bien nous faire comprendre par l’autre, lorsque nous n’étions pas vraiment sur la même longueur d’ondes … je retins ma respiration. Il était vrai que nous n’avions jamais abordé ce sujet, fallait dire aussi que ça n’était pas vraiment au programme … il avait raison … Cependant, ce qu’il me dit me rassura quelque peu, j’étais sa famille et il ne voyait pas quelqu’un d’autre partager sa vie, à ma place. Un léger sourire s’afficha sur mon visage.

Sa main lâcha la mienne, doucement, mais j’écarquillais tout de même les yeux, me demandant pourquoi. Mais ce n’était que pour mieux me caresser le visage. Fermant quelques secondes les yeux, je pressais ma joue dans le creux de sa main, jamais je ne supportais qu’il arrête de faire ça. On n’avait jamais été tendre de la sorte avec moi, c’était la première fois que je me sentais aimée, chérie et désirée. Même mon père n’avait jamais été aussi tendre avec moi. Mais au fond de moi, j’avais toujours autant peur que Nick m’abandonne. « Aller demain chez le docteur pour que tu te fasses avorter, voilà ce qui est le plus raisonnable. Tu viens de terminer tes études, j’enchaîne les boulots pour gagner ma vie, et puis … ça fait trois mois qu’on est ensemble, Haz … Trois mois. » La boule grossit, grossit et grossit encore dans ma gorge, les larmes me piquèrent les yeux, me troublèrent la vue, ma bouche s’ouvrit mais aucun son ne sortit. Avorter. Il voulait que j’avorte. Je le savais. Il ne voulait pas de cet enfant. C’était compréhensible au fond… Hazel, c’était évident, comprends putain, comprends ! j’essayais tant bien que mal de m’auto-raisonner, mais ses mots résonnaient trop fort dans ma tête : « Aller demain chez le docteur pour que tu te fasses avorter… Ca fait trois mois qu’on est ensembles, Haz … ». Merde. Mon monde s’effritait doucement. Oui que trois mois … il fallait que je le comprenne … ça ne faisait QUE trois mois que nous étions ensembles … Hazel Comprend le bordel ! Je baissais rapidement la tête, fixant, d’une vision brouillée, le sol. Les larmes, brulantes, coulèrent sur mes joues et les perles salées allèrent s’écraser sur le sol.

« Mais, Amour, tu es la seule qui puisse faire de moi un père. Je crois que je suis prêt à l’être, mais seulement si c’est toi la mère. Alors maintenant, ou dans un ou deux ans … Je veux qu’on ait des enfants. Pourquoi pas maintenant, alors ? » Je ne compris pas tout de suite et un sanglot m’échappa. J’avais envie de tomber à genoux au milieu de la chambre et de pleurer sans jamais m’arrêter … mais enfin les mots prirent leur sens dans ma tête et avant que je ne me laisse trop aller, je relevais la tête, toujours muette comme une carpe. « Ne me dis pas ça parce que je pleure Nickolas … » Je le fixais comme si c’était la première fois que je le voyais – enfin bon, je ne voyais pas non plus grand-chose avec les larmes plein les yeux. Mais visiblement il affichait une mine sérieuse et pas déboussolée ou prévenante. Ce qu’il disait était la vérité, du moins, ce qu’il voulait vraiment faire et non pas ce que mes larmes l’obligeait à faire. Alors voulait-il vraiment garder cet enfant ?! « C’est vrai ?! Tu le veux vraiment ? … Nickolas, si tu veux que j’av … » Il m’était difficile de prononcer ce mot, surtout lorsqu’on parlait d’avorter du bébé que je portais, de notre enfant, de bébé de Nick … « Si tu veux vraiment que j’avorte … je le ferais … je ne veux pas que ce bébé soit un fardeau pour toi … que tu te sentes obligé … et qu’au final tu ne l’aimes pas ou que tu … » C’était tellement dur de parler de tout ça, d’imaginer l’éventualité où j’avorterai de ce bébé … d’imaginer un avenir sans Nickolas. Mon cœur battait à tout rompre, mais il fallait que je lui dise ce que j’avais sur le cœur : « … tu ne veuilles plus de moi, de nous. Je ne veux pas que tu fuis. Je ne veux pas que tu m’abandonnes ! Je n’y survivrai pas Nickolas ! » Voilà, c’était dit, d’une voix plus qu’éraillée et hésitante, mais j’avais dit ce que j’avais sur le cœur – enfin une partie …

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